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Marie-Grassouillette

Marie-Grassouillette, assise sur sa banquette,
À l’abri des dettes, la vie lui paraît chouette.
Pendant que le peuple crève sans plus de cacahuète,
Elle nous fait la morale, cette bavarde mouette.

On est tous là, sans brioches ni baguettes,
Mais elle, dans ses dorures, brille comme une alouette.
On crie famine, on n'a plus de galettes,
Mais pour eux, tout est simple, c’est tous les jours la fête.

Hé, Marie-Grassouillette, écoute donc les trompettes,
Le peuple a faim, sa rage devient tempête.
On n’est pas des oies à manger en brochettes,
On veut de la justice, pas tes miettes en cachette.

Ces abrutis d’en haut et leurs fausses larmichettes,
Pensent qu'on se taira encore, qu’on acceptera la disette.
Mais ici, dans nos rues, on est tous des Cosettes,
On est fatigués d'être traités comme vos noires marionnettes.

Nous, on demande juste du vrai dans nos assiettes,
Pendant qu’ils jouent les rois, les reines, à la cour des sornettes.
Leurs arrogances qui nous plongent dans une diète,
Mais bientôt viendra l'heure, de la grande reconquête.

Hé, Marie-Grassouillette, écoute donc les trompettes,
Le peuple a faim, sa rage devient tempête.
On n’est pas des oies à manger en brochettes,
On veut de la justice, pas tes miettes en cachette.

Ils se croient puissants, ces pantins en collerette !
Ils piaillent et bêlent comme la Blanchette !
Marie-Grassouillette, agite bien ta clochette,
Le peuple est en marche, c’est pas juste une pirouette !

On est fatigués de vos fiscales recettes,
À force de nous voler, de nous fourrer rosettes.
On s’organise, c’est pas une devinette,
C’est l’heure de notre histoire, de jouer les casse-noisettes !

Hé, Marie-Grassouillette, écoute donc les trompettes,
Le peuple a faim, sa rage devient tempête.
On n’est pas des oies à manger en brochettes,
On veut de la justice, pas tes miettes en cachette.

Marie-Grassouillette, regarde bien ta charrette,
Loin de l’Élysée, elle mènera ta silhouette.
Tu ne devrais pas détourner les voix des jolies suffragettes,
Tu n'es pas Roméo et nous pas des Juliettes !

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La fièvre

Ils nous parlent de justice, ils nous parlent de droits,
Mais à chaque fois, c’est toujours le 49.3.
La fièvre qui monte, qui cible nos espoirs,
On perd nos voix sous leurs coups de poignards.

Ça pique, ça brûle, dans nos cœurs ça se tord,
Chaque décret qu'ils signent nous rapproche du décor.
Ils disent qu’ils protègent, qu’ils font pour le bien,
Mais la fièvre 49.3 ne vise que les pauvres, c'est certain.

La fièvre 49.3, ça nous ronge, ça nous prend,
Ils nous taxent, nous saignent, comme du bétail mourant.
Toujours plus, sans écoute, sans répit ni combat,
L’autoroute vers la dictature, c’est là qu’on s’en va.

Ils tirent les ficelles dans les salons dorés,
Pendant que nous, on crève sous leurs lois imposées.
La fièvre monte et nos vies s’effondrent,
Dans ce jeu truqué, nos rêves se fondent.

Les gènes des pauvres sont ciblés, c’est leur science,
La fièvre 49.3, c’est la fin de la chance.
On lutte, on crie, mais ça fait pas un pli,
Ils nous tiennent par les lois, et par leur maudit écrit.

La fièvre 49.3, ça nous ronge, ça nous prend,
Ils nous taxent, nous saignent, comme du bétail mourant.
Toujours plus, sans écoute, sans répit ni combat,
L’autoroute vers la dictature, c’est là qu’on s’en va.

Leur fièvre monte, elle est partout, elle se répand,
Dans chaque parole, dans chaque instant.
Ils disent que c’est pour mieux gouverner,
Mais c’est juste la fièvre du pouvoir, rien à sauver.

La fièvre 49.3, ça nous ronge, ça nous prend,
Ils nous taxent, nous saignent, comme du bétail mourant.
Toujours plus, sans écoute, sans répit ni combat,
L’autoroute vers la dictature, c’est là qu’on s’en va.

La fièvre 49.3, elle ne s'arrête jamais,
Elle cible nos vies, nos rêves, nos palais.
Mais on lutte, on résiste, même dans la tempête,
Car cette fièvre 49.3, jamais elle ne s'arrête.

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Social pervers

Ils parlent de soutien, d’écoute bienveillante,
Mais derrière leurs sourires, les menaces sont cinglantes.
Ces pseudo-assistantes, petits maîtres en enfer,
Nous tirent vers le bas, vers leurs gouffres amers.

Leurs conseils pourris, leurs ordres qui nous blâme,
Nous poussent dans des cages, c’est toujours le même drame.
Tu te révoltes, tu cries, ils te ferment les portes,
Famine en retour, et la folie qu’ils t’apportent.

Social pervers, ils règnent sur les damnés,
Ces rois des égouts qui gouvernent nos journées.
Ils te menacent, te jugent, te traînent dans la boue,
Leur cour des miracles, c’est la honte à genoux.

Ils te disent quoi faire, comment vivre ta vie,
Référents en carton, avec leurs fausses envies.
Toujours les mêmes rengaines, les mêmes directives,
Un contrôle déguisé, dans leurs lois défectives.

Tu t’opposes, tu refuses, ils te mettent à genoux,
T’envoient chez des psychiatres, te traitent comme un fou.
Leur système pervers ne pond que des martyres,
Te font croire que sans eux, tu n’as plus d’avenir.

Social pervers, ils règnent sur les damnés,
Ces rois des égouts qui gouvernent nos journées.
Ils te menacent, te jugent, te traînent dans la boue,
Leur cour des miracles, c’est la honte à genoux.

Et pendant ce temps, dans leur cour des rois,
Ils festoient, se gavent, dansent comme des bourgeois.
Ils prétendent nous sauver, mais nous plongent plus bas,
Le socle de la pyramide est un puits sans éclats.

Social pervers, ils règnent sur les damnés,
Ces rois des égouts qui gouvernent nos journées.
Ils te menacent, te jugent, te traînent dans la boue,
Leur cour des miracles, c’est la honte à genoux.

Les rois des égouts, dans l’éternel tourment,
Nous traînent, nous brisent, sous leurs masques souriants.
Ils sont déjà jugés, dans le grand cri final,
Car le social pervers n’est qu’un mal infernal.

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Révolution

Mmmmmmm

Allons enfants de la patrie !

Mmmmmmm

Quand le pouvoir s’abîme dans la folie,
Et que les droits du peuple sont engloutis,
L’insurrection devient notre cri,
Le droit sacré que l’Histoire nous a dit.

On se lève, on marche, on refuse le silence,
Ce devoir brûlant, cette immense résistance.
Nos chaînes se brisent sous nos poings serrés,
L’article 35, c’est la clé pour nous libérer.

Mmmmmmm

Allons enfants de la patrie !

Mmmmmmm

Quand le gouvernement trahit ses lois,
Le devoir du peuple, c’est la voix des rois.
Le droit sacré, l’appel de nos cœurs,
C’est l’insurrection qui ramène la lueur.

Ils ont violé nos droits, nos espoirs,
Mais nous avons en nous la force de l’histoire.
Pour chaque homme, chaque portion du peuple uni,
L’insurrection devient notre seul pari.

On brandit nos droits, on rallume les flammes,
Le devoir résonne dans nos âmes,
Le gouvernement est sourd à nos douleurs,
L’insurrection vient sonner l’heure.

Mmmmmmm

Allons enfants de la patrie !

Mmmmmmm

Quand le gouvernement trahit ses lois,
Le devoir du peuple, c’est la voix des rois.
Le droit sacré, l’appel de nos cœurs,
C’est l’insurrection qui ramène la lueur.

Chaque injustice, chaque coup porté,
Rend plus fort le besoin de liberté.
L’article nous rappelle que la lutte est juste,
Face à leurs abus, c’est notre victoire qu’on ajuste.

Mmmmmmm

Allons enfants de la patrie !

Mmmmmmm

Quand le gouvernement trahit ses lois,
Le devoir du peuple, c’est la voix des rois.
Le droit sacré, l’appel de nos cœurs,
C’est l’insurrection qui ramène la lueur.

Le plus sacré des droits, le devoir des braves,
C’est de se lever quand le pouvoir nous entrave.
L’insurrection est un chant, une révolution,
L’article 35, c’est la clé de l’émancipation.

Mmmmmmm

Allons enfants de la patrie !
Le jour de gloire est arrivé !

Mmmmmmm

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La grande bouffonnerie

Mmmmmmm

Attention, saluez le drapeau !

Mmmmmmm

On nous vend des mots comme des promesses,
Égalité, Fraternité, Liberté en liesse.
Mais quand on creuse sous leurs discours dorés,
C’est la farce amère qu’on vient nous donner.

Les riches rient sous leurs dorures,
Les pauvres s’écrasent sous les censures.
Et cette devise, elle résonne en vain,
Sous les coups de ceux qui tirent les liens.

Mmmmmmm

Attention, saluez le drapeau !

Mmmmmmm

Égalité, une blague bien ficelée,
Fraternité, entre ceux qui sont bien placés,
Liberté, pour qui sait payer.
Voilà la grande bouffonnerie qu’ils nous ont léguée.

Dans les palais, on trinque au succès,
Pendant qu’en bas, la misère fait ses progrès.
Fraternité ? C’est entre copains millionnaires,
Les autres restent dans leurs galères.

Les chaînes invisibles brillent en plein jour,
Égalité des droits ? Un vilain détour.
Et Liberté, qu’ils disent à haute voix,
Mais seulement pour ceux qui plient sous leurs lois.

Mmmmmmm

Attention, saluez le drapeau !

Mmmmmmm

Égalité, une blague bien ficelée,
Fraternité, entre ceux qui sont bien placés,
Liberté, pour qui sait payer.
Voilà la grande bouffonnerie qu’ils nous ont léguée.

On nous dit de croire en la République,
Mais c’est un théâtre comique, une tragédie cynique.
Les mots sont creux, les actes sont lourds,
Ils nous tiennent en laisse, toujours, toujours.

Mmmmmmm

Attention, saluez le drapeau !

Mmmmmmm

Égalité, une blague bien ficelée,
Fraternité, entre ceux qui sont bien placés,
Liberté, pour qui sait payer.
Voilà la grande bouffonnerie qu’ils nous ont léguée.

Ils brandissent leurs valeurs comme un étendard,
Mais dans les rues, c’est un autre regard.
Égalité, Fraternité, Liberté ?
Des illusions que le peuple ne peut toucher.

Mmmmmmm

Attention, saluez le drapeau !
Un peu de respect, messieurs, levez votre chapeau !

Mmmmmmm

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Le droit de parler

Mmmmmmm

Écoutez bien le son de ma Foi,

Mmmmmmm

Je prends ma plume, je fais entendre ma voix,
Sans chaînes, sans peur, c’est mon droit.
Dans un monde où les mots deviennent censure,
Je refuse le silence, j’écris sans mesure.

On nous dit de nous taire, de plier sous le joug,
Mais ma liberté, je la défends coûte que coûte.
Les idées volent, traversent les murs,
Et mes chansons seront toujours les murmures.

Mmmmmmm

Écoutez bien le son de ma Foi,

Mmmmmmm

J’ai le droit de parler, de dire ce que je veux,
Le droit de chanter, de briser les cieux.
Aucune frontière n’arrêtera mes idées,
Je revendique ce droit, je n’ai rien à cacher.
Je chante pour ceux qu’on voudrait bâillonner,
Et je crie pour ceux qu’on a voulu effacer.

Dans mes mots, je porte l’espoir et la colère,
Je n’ai jamais demandé la permission d’être sincère.
Les puissants voudraient que je baisse les yeux,
Mais c’est mon chant qui s’élève, toujours plus audacieux.

Chercher, recevoir, et tout partager,
C’est un droit sacré, je viens le rappeler.
Que leurs lois tentent de fermer les portes,
Je trouverai toujours la route, je suis plus fort.

Mmmmmmm

Écoutez bien le son de ma Foi,

Mmmmmmm

J’ai le droit de parler, de dire ce que je veux,
Le droit de chanter, de briser les cieux.
Aucune frontière n’arrêtera mes idées,
Je revendique ce droit, je n’ai rien à cacher.
Je chante pour ceux qu’on voudrait bâillonner,
Et je crie pour ceux qu’on a voulu effacer.

Ce droit d’expression, c’est la lumière,
Dans un monde qui nous rend parfois amers.
Mes chansons sont mes armes, mon cri d’existence,
Un appel à l’amour, à la résistance.

Mmmmmmm

Écoutez bien le son de ma Foi,

Mmmmmmm

J’ai le droit de parler, de dire ce que je veux,
Le droit de chanter, de briser les cieux.
Aucune frontière n’arrêtera mes idées,
Je revendique ce droit, je n’ai rien à cacher.
Je chante pour ceux qu’on voudrait bâillonner,
Et je crie pour ceux qu’on a voulu effacer.

Je revendique ce droit, en chaque note, en chaque son,
Car l’expression est le souffle de ma rébellion.
Quoi qu’ils disent, quoi qu’ils fassent,
Je serai toujours là, je ne lâche pas la place.

Mmmmmmm

Écoutez bien le son de ma Foi,
C'est juste la sagesse qui cri au désarroi !

Mmmmmmm

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Dans les ronces

On m’oblige à rentrer dans des cases trop étroites,
Le système me broie, m'enferme dans des boîtes.
Ils veulent que je suive un chemin tracé d’avance,
Mais ce n’est pas ma route, ce n’est pas ma chance.
Ils me disent quoi faire, comment penser,
Mais dans leurs plans, je me sens étranger.
Ils ferment les yeux sur mes blessures,
Et je suffoque dans leur froideur obscure.

Les visages sont vides, les cœurs anesthésiés,
Ils me regardent tomber sans même vaciller.
Leurs règles, leurs normes, m’écrasent au sol,
Je suis fatigué d'obéir à ces tristes bestioles.

La France me crache dans le caniveau,
Elle me vomit dans une ruelle sombre par de tristes cerveaux.
Elle me chie dans les ronces, m’abandonne là, pantois.
Et même si je hurle ma rage, personne n’entend ma voix.
Ce pays me tue, il m’étouffe sans rémission,
Je suis en colère, perdu dans cette prison.

Ils sont là, ces robots aux sourires figés,
Leurs mots sont vides, leurs âmes enchaînées.
Ils avancent tout droit, sans jamais douter,
Aveugles à mes larmes, sourds à mes vérités.
Ils dictent des vies qu’ils ne connaissent pas,
Et moi, je me noie dans leur fratrie d’état.
Je suis un pion dans leur jeu insensé,
Mais je refuse de plier, je refuse d’accepter.

Les rapports, les dossiers, tous ces faux semblants,
Ils veulent m’étouffer dans leurs cadres déments.
Je crie ma douleur, mais rien ne bouge,
Je suis seul dans cette nuit qui me recouvre de rouge.

La France me crache dans le caniveau,
Elle me vomit dans une ruelle sombre par de tristes cerveaux.
Elle me chie dans les ronces, m’abandonne là, pantois.
Et même si je hurle ma rage, personne n’entend ma voix.
Ce pays me tue, il m’étouffe sans rémission,
Je suis en colère, perdu dans cette prison.

Je ne veux plus de leurs chaînes, de leurs mensonges,
Je refuse leur monde où l’espoir me ronge.
Ils me poussent à bout jusqu'à l’agonie,
Je hurle jusqu'au trépas ma fatale atonie.

La France me crache dans le caniveau,
Elle me vomit dans une ruelle sombre par de tristes cerveaux.
Elle me chie dans les ronces, m’abandonne là, pantois.
Et même si je hurle ma rage, personne n’entend ma voix.
Ce pays me tue, il m’étouffe sans rémission,
Je suis en colère, perdu dans cette prison.

Je refuse de mourir dans leur système brisé,
Je reprends ma liberté, je vais me relever.
Qu’ils tente de m’étouffer, de me briser encore,
Ils n'éfleurent mon esprit, n'égratignent que mon corps !

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Dignité

Mmmmmm

Oooooooo Triste France

Oooooooo France je t'aimais

Mmmmmm

On parle de vertus, de talents, de mérites,
Mais ils construisent des murs autour des élites.
Le peuple se bat toujours pour sa dignité sacrée,
Mais dans leurs tours d'ivoire les puissants restent figés.

Sans autre distinction, qu'ils nous disent fièrement,
Mais dans les faits, la vérite, tout est bien différent.

Mmmmmm

Oooooooo Triste France

Oooooooo France je t'aimais

Mmmmmm

La dignité, c'est pour nous, c'est pour vous,
Pas un luxe réservé aux puissants et aux loups.
Selon nos capacités, nos vertus et nos fières oriflammes,
Chaque citoyen mérite d'être protégé des drames.

La place des critiques, les vraies tiques qui nous piquent,
S'entoure de barbelés, de morale acérées et de fous politiques.
Les talents sont noyés par les bonnes statistiques,
Ils domestiquent les vrais esprits, les ancestraux celtiques.

Sans autre distinction, que celle des valeurs,
Mais la réalité n’est que peur et douleur.

Mmmmmm

Oooooooo Triste France

Oooooooo France je t'aimais

Mmmmmm

La dignité, c'est pour nous, c'est pour vous,
Pas un luxe réservé aux puissants et aux loups.
Selon nos capacités, nos vertus et nos fières oriflammes,
Chaque citoyen mérite d'être protégé des drames.

Le droit d'être admis, dans les rangs de l'honneur,
C'est un rêve perdu dans les mains des vainqueurs.
Mais nous, on réclame, ce qui est notre dû,
L'égalité des chances dans un monde trop tordu.

Mmmmmm

Oooooooo Triste France

Oooooooo France je t'aimais

Mmmmmm

La dignité, c'est pour nous, c'est pour vous,
Pas un luxe réservé aux puissants et aux loups.
Selon nos capacités, nos vertus et nos fières oriflammes,
Chaque citoyen mérite d'être protégé des drames.

L’article 6 brille dans la nuit des oubliés,
Nous, les citoyens, ne resterons plus cachés.
Notre dignité, nos talents méritent la lumière,
Nous arracherons nos droits, dans cette ère de misère.

Mmmmmm

Oooooooo Triste France

Oooooooo France je t'aimais

Mmmmmm

La dignité, c'est pour nous, c'est pour vous,
Pas un luxe réservé aux puissants et aux loups.
Selon nos capacités, nos vertus et nos fières oriflammes,
Chaque citoyen mérite d'être protégé des drames.

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Le cri du peuple

Le peuple descend, le pavé brûle sous nos pieds,
La coupe est pleine, on ne peut plus reculer.
Les discours sont vides, les regards méprisants,
Ils nous traitent de fous, de bruyants mécontents.

Où est la justice, où est la justesse ?
Quand l’État n’entend que sa propre ivresse.

C’est le cri du peuple, qui réclame son dû,
Mais l’État lui envoie des CRS dans la rue.
Plus de promesses, plus de politique,
On réclame nos droits, pas des mots cyniques.
Élus par le peuple, pour le peuple, tu te souviens ?
Mais tu nous laisses crever, sous ton poing de fer et rien !

Leurs longs discours n’ont plus de sens,
Juste des mots creux, pleins d’arrogance.
La colère gronde dans nos veines,
Ils ont oublié qu’on est la chaîne humaine.

Où est la justice, où est la justesse ?
Quand la rue devient le dernier espace de promesse.

C’est le cri du peuple, qui réclame son dû,
Mais l’État lui envoie des CRS dans la rue.
Plus de promesses, plus de politique,
On réclame nos droits, pas des mots cyniques.
Élus par le peuple, pour le peuple, tu te souviens ?
Mais tu nous laisses crever, sous ton poing de fer et rien !

Les camions avancent, la répression bat son plein,
Mais on ne lâchera pas, on tiendra le chemin.
La rue est notre arme, la colère est notre voix,
Et dans chaque cri, résonne notre foi.

Le peuple n’oubliera pas, le jour où tu l’as trahi,
Dans nos cœurs brûle une rage que rien n’assagit.
Justice, on la prendra, avec nos propres mains,
Car l’État nous a laissé tomber, comme des chiens.

La rue s'embrase, la coupe est pleine,
Le peuple s'éveille, réclame sa peine.
Trop de promesses envolées au vent,
L’État dépasse les bornes, c’est le temps du sang.

Plus de discours, plus de mensonges,
Le peuple en feu ne peut plus attendre.

Nous descendons, les rues grondent de justice,
Face aux camions de CRS, notre rage se tisse.
L’État a oublié, il est sourd à nos cris,
Élu par le peuple, mais il a trahi.

Plus de politique, des paroles usées,
On ne veut plus de leurs visages figés.
Des regards qui jugent, des rages fanatiques,
Le peuple en marche, c’est bien plus que symbolique.

Ils ont oublié d’où viennent les voix,
C’est le peuple qui fait, qui brise les lois.

Nous descendons, les rues grondent de justice,
Face aux camions de CRS, notre rage se tisse.
L’État a oublié, il est sourd à nos cris,
Élu par le peuple, mais il a trahi.

On ne veut plus de tes tanks dans les rues,
On ne veut plus des mensonges qu’on a tous entendus.
C’est la justice qu’on réclame, pas ta violence,
Ton pouvoir se noie dans nos souffrances.

Nous descendons, les rues grondent de justice,
Face aux camions de CRS, notre rage se tisse.
L’État a oublié, il est sourd à nos cris,
Élu par le peuple, mais il a trahi.

Tu étais là pour nous, pour nous protéger,
Mais maintenant, tu nous frappes, tu as oublié.
Le peuple descend, c’est lui qui décide,
Nous voulons la justice, c’est notre guide.

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La marche des oubliés

Dans les rues désertées, les voix se sont tues
Mais la colère gronde, et rien n’est résolu
Les visages effacés, trop longtemps ignorés
Aujourd'hui, les oubliés viennent se lever

On avance, la tête baissée
Des ombres dans la foule, on est fatigués
On nous a volé nos rêves, nos droits
Effacés, trahis, on n’existe pas

Mais la rue résonne sous nos pas
Le silence se brise, on est là
Le feu dans nos poings, on refuse de plier
On est les oubliés, prêts à tout renverser

C’est la marche des oubliés, entends-nous crier
On réclame justice, plus rien à sacrifier
On reprend notre place, plus jamais effacés
C’est la marche des oubliés, on va tout balayer

Nos cris résonnent, on ne se rendra pas
On est fatigués de courber le dos pour l’État
Le système nous use, nous piétine chaque jour
Mais ce soir, on reprend tout, on écrit notre retour

Mais la rue résonne sous nos pas
Le silence se brise, on est là
Le feu dans nos poings, on refuse de plier
On est les oubliés, prêts à tout renverser

C’est la marche des oubliés, entends-nous crier
On réclame justice, plus rien à sacrifier
On reprend notre place, plus jamais effacés
C’est la marche des oubliés, on va tout balayer

On a trop longtemps attendu le réveil
Les promesses trahies, le soleil en sommeil
Mais maintenant, l’insurrection est là
On est prêts, on avance, on ne tremble pas

Le vent de la rue souffle fort
Le silence se brise dans le décor
On réclame la lumière, la vérité
Les oubliés sont debout, prêts à tout renverser

C’est la marche des oubliés, entends-nous crier
On réclame justice, plus rien à sacrifier
On reprend notre place, plus jamais effacés
C’est la marche des oubliés, on va tout balayer

Les rues grondent, les pas résonnent
La marche des oubliés, une révolte qui tonne
On efface les mensonges, on réécrit l’histoire
Car les oubliés ne veulent plus croire

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Au bord du gouffre

Le sol tremble sous nos pieds, la terre s’effondre
On vit au bord du gouffre, prêt à tout confondre
On nous pousse, on nous presse, on ne peut plus reculer
La chute est proche, mais on refuse de tomber

Les promesses cassées, des mensonges en rafale
L’État nous écrase, nous pousse vers la dalle
On est à bout de souffle, à bout de nerfs
Mais la révolte est là, brûlant notre air

Au bord du gouffre, on est là, enragés
Les poings serrés, prêts à tout revendiquer
Plus de mensonges, plus d’illusions
La chute approche, mais on change de direction

Au bord du gouffre, on crie pour survivre
Ils nous poussent, mais on refuse de les suivre
On est debout, face au vent, déterminés
Au bord du gouffre, prêts à tout défier

Ils pensent qu’on se rendra, qu’on courbera l’échine
Mais c’est eux qui vacillent, on voit les signes
Leurs discours en boucles, leurs faux sourires
Ne peuvent plus cacher que tout va partir

Au bord du gouffre, on est là, enragés
Les poings serrés, prêts à tout revendiquer
Plus de mensonges, plus d’illusions
La chute approche, mais on change de direction

Au bord du gouffre, on crie pour survivre
Ils nous poussent, mais on refuse de les suivre
On est debout, face au vent, déterminés
Au bord du gouffre, prêts à tout défier

La rue se soulève, la révolte est là
On ne veut plus plier sous leurs lois
Les visages fatigués se dressent en silence
Car au bord du gouffre, on refuse la souffrance

Au bord du gouffre, on est là, enragés
Les poings serrés, prêts à tout revendiquer
Plus de mensonges, plus d’illusions
La chute approche, mais on change de direction

Au bord du gouffre, on crie pour survivre
Ils nous poussent, mais on refuse de les suivre
On est debout, face au vent, déterminés
Au bord du gouffre, prêts à tout défier

La chute n’est pas pour nous, c’est pour eux
On se relève, plus forts, plus audacieux
Au bord du gouffre, on marche droit
Vers un avenir où le peuple aura sa loi

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La grande illusion

Ils nous vendent leurs rêves d’or et de paix
Mais derrière ces sourires, la vérité s’efface
La grande illusion est leur seul refrain
Mais le peuple voit clair, il déchire leur dessein

Les discours de façade, des promesses sans fond
Ils parlent d’égalité, mais rien ne change en profondeur
On est pris dans leurs filets, leurs beaux mensonges
Mais l’illusion se brise, et on reprend le front

La grande illusion s’effondre sous nos yeux
Ils pensaient nous contrôler, nous garder silencieux
Mais les chaînes se rompent, les cœurs s’allument
Le peuple s’éveille, la lumière s’assume

On déchire le voile de leur illusion
Ils pensaient nous dompter, mais on prend position
La grande illusion ne tient plus en place
Le peuple se lève, et brise leur impasse

Des années de faux espoirs, de belles paroles
Ils nous endorment, nous vendent des rôles
Mais derrière les rideaux, la farce est trop claire
Le peuple voit la vérité, et la colère éclaire

La grande illusion s’effondre sous nos yeux
Ils pensaient nous contrôler, nous garder silencieux
Mais les chaînes se rompent, les cœurs s’allument
Le peuple s’éveille, la lumière s’assume

On déchire le voile de leur illusion
Ils pensaient nous dompter, mais on prend position
La grande illusion ne tient plus en place
Le peuple se lève, et brise leur impasse

Ils pensaient nous maintenir dans leur rêve creux
Mais on voit clair à travers leurs jeux
L’avenir n’est pas écrit par leurs mains
C’est le peuple qui trace son propre chemin

La grande illusion s’effondre sous nos yeux
Ils pensaient nous contrôler, nous garder silencieux
Mais les chaînes se rompent, les cœurs s’allument
Le peuple s’éveille, la lumière s’assume

On déchire le voile de leur illusion
Ils pensaient nous dompter, mais on prend position
La grande illusion ne tient plus en place
Le peuple se lève, et brise leur impasse

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La lumière d'HOBOOKAN

Quand le monde semble lourd et que la nuit est longue,
Il y a une lumière qui nous guide, un endroit auquel nous appartenons tous.

Pour les cœurs fragiles qui tremblent dans l'obscurité,
HOBOOKAN est le refuge où la guérison laisse sa marque.
Pour les âmes fidèles qui ne se sont jamais égarées,
Nous nous tenons debout avec espoir et gentillesse, chaque jour.

HOBOOKAN, nous sommes là pour arranger les choses,
En apportant l'amour et la justice à la lumière.
Pour le sourire de chaque enfant, pour chaque larme que nous séchons,
Ensemble, nous nous élèverons, avec la lumière d'Hobookan.

Quand le monde devient froid et que les rêves commencent à s'estomper,
Nous combattrons l'obscurité, en brillant à travers l'ombre.

Nous construirons un avenir main dans la main,
Un endroit où l'amour peut comprendre.
Pour chaque cœur brisé que nous réparons,
HOBOOKAN, la lumière ne s'éteindra jamais.

Pour ceux qui recherchent la vérité, qui marchent sur le chemin de la grâce,
Nous resterons unis, unis dans cet espace sacré.
Pour la justice, la paix et tous les droits de l'homme,
Nous marcherons ensemble, guidés par la lumière.

HOBOOKAN, nous sommes là pour arranger les choses,
En apportant l'amour et la justice à la lumière.
Pour chaque sourire d'enfant, pour chaque larme que nous séchons,
Ensemble, nous nous élèverons, avec la lumière d'Hobookan.

À chaque pas que nous faisons, à chaque rêve que nous poursuivons,
La lumière d'HOBOOKAN nous guidera tout au long de la course.

Quand le monde semble lourd et que la nuit est longue,
La lumière d'HOBOOKAN nous gardera forts.

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Graines d'amour

Vous tenez une vie, une graine fragile dans votre main,
Elles ne sont pas destinées à être façonnées par des règles ou des exigences.

Vous tenez une vie, une graine fragile dans votre main,
Elles ne sont pas destinées à être façonnées par des règles ou des exigences.
Elles viennent avec des rêves, avec des merveilles dans leurs yeux,
Mais trop nombreux sont ceux qui essaient de leur couper les ailes, de faire taire leur ciel.
Ce monde les poussera, les façonnera jusqu'à son noyau,
Mais elles sont plus que des engrenages dans la guerre de quelqu'un d'autre.
Elles ont besoin de votre cœur, de votre confiance, de votre doux guide,
Pour s'épanouir dans la vérité, pour grandir à partir de ce qu'il y a à l'intérieur.

Plantez les graines de l'amour, pas la peur ou le contrôle,
Laissez-les trouver leur chemin, laissez-les chercher leur âme.
Nourrissez chaque don, chaque étincelle qu'ils possèdent,
Les graines de l'amour pousseront toutes seules.
Ne les rabaissez pas pour qu'ils entrent dans le moule de la société,
Leur lumière est pure, leur cœur est en or.

Elles n'appartiennent pas aux rêves que vous avez construits auparavant,
Leur chemin est le leur, pas seulement celui que vous avez porté.
Écoutez leur rire, la chanson qu'ils chantent,
Ce n'est pas votre avenir, c'est leur épanouissement.
Apprenez-leur la gentillesse, montrez-leur les étoiles,
Laissez-les danser librement, laissez-les guérir leurs cicatrices.
Elles n'ont pas besoin de perfection, Elles n'ont pas besoin de se battre,
Aimez-les simplement dans leur intégralité et laissez-les briller.

Vous tenez une vie, une graine fragile dans votre main,
Elle n'est pas destinée à être façonnée par des règles ou des exigences.

Plantez les graines de l'amour, pas de la peur ou du contrôle,
Laissez-les trouver leur chemin, laissez-les chercher leur âme.
Nourrissez chaque don, chaque étincelle qu'ils possèdent,
Les graines d'amour pousseront d'elles-mêmes.
Ne les coupez pas pour s'adapter au moule de la société,
Leur lumière est pure, leur cœur est en or.

Le monde essaiera de les plier, de les rendre petites,
Mais avec l'amour, elles s'élèveront, elles se tiendront debout.
Guidez-les avec compassion, ne coupez pas leurs ailes,
Laissez-les être libres, laissez leur esprit chanter.

Plantez les graines de l'amour, pas la peur ou le contrôle,
Laissez-les trouver leur chemin, laissez-les chercher leur âme.
Nourrissez chaque don, chaque étincelle qu'ils possèdent,
Les graines d'amour pousseront d'elles-mêmes.
Ne les coupez pas pour s'adapter au moule de la société,
Leur lumière est pure, leur cœur est or.

Alors plantez les graines de l'amour et regardez-les pousser,
Dans le jardin de leur cœur, la vérité se révélera.
Elles sont l'avenir, la lumière dans le ciel,
Guidez-les avec amour et ils ne demanderont jamais pourquoi.

Vous tenez une vie, une graine fragile dans votre main,
Elle n'est pas destinée à être façonnée par des règles ou des exigences.

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Les buissons ardents

Je n’ai peur d’aucune montagne, d’aucun sommet trop haut,
D’aucun désert aride sous un ciel trop sombre et faux.
Je traverserai les ombres, les vallées du désespoir,
Affronterai les dangers, sachant que tu es là, quelque part.
La douleur ne me brisera pas, la souffrance ne m’enchaînera,
Car au sommet, c’est la paix que je trouverai.
Je poursuivrai les flammes qui apaisent mon âme,
Les buissons ardents qui calment mes drames.

Je gravirai les hauteurs, je braverai les combats,
À travers les nuits sombres, pour la lumière qui bat.
Plus je monte, plus je peux voir,
Les flammes de l’amour qui me libèrent ce soir.
Aucune peur, aucune douleur n’arrêtera ma quête,
Car au sommet, je trouverai enfin ma paix.

Les vents peuvent hurler, les falaises être abruptes,
Mais je continuerai, le chemin ne sera pas une chute.
Car au-delà des nuages, au-delà des tourments,
Il y a une lumière qui m’appelle sous l’orage violent.
Ce n’est pas le danger qui me rend plus fort,
Mais l’amour qui me guide et m’apporte du réconfort.
Au sommet, dans la lueur brûlante,
Je trouverai la paix éclatante.

Je gravirai les hauteurs, je braverai les combats,
À travers les nuits sombres, pour la lumière qui bat.
Plus je monte, plus je peux voir,
Les flammes de l’amour qui me libèrent ce soir.
Aucune peur, aucune douleur n’arrêtera ma quête,
Car au sommet, je trouverai enfin ma paix.

Alors je continuerai de grimper, peu importe la pente,
Car le buisson ardent est une promesse réconfortante.
Dans les flammes, je trouverai ma grâce,
Au sommet, enfin, je connaîtrai ma place.

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Toujours pour Lui

Dans le silence, je sens ses larmes,
Il regarde d’en haut, portant tous nos drames.
Il a donné son amour, ils ont rendu le mépris,
Trahi par ceux qu'Il a voulu avertir ici.
Mais je suis là, bras ouverts,
Pour Le serrer fort, Le préserver des revers.
Quand le monde oublie, moi je resterai,
À Ses côtés, peu importe ce qu’il adviendra.

Toujours pour Lui, à travers chaque tempête,
Dans mes propres épreuves, que mon cœur s'apprête.
Mon cœur est à Lui, quel qu'en soit le prix,
Dans un amour sans faille, je suis à Lui.
Quand mes jours s’éteindront, et que mon âme partira,
Je L’aimerai encore, jusqu'à mes derniers pas.

S’Il revient purifier cette terre,
Je garderai Son chemin d’un geste sincère.
Car dans Ses yeux, je vois le fardeau,
De chaque blessure que l'amour ne peut guérir aussitôt.
Je serai sa force, quand le monde le lassera,
Dans Son chagrin silencieux, je L'aiderai à voir.
Ils ne comprendront pas, ils n’ont jamais su,
Mais je marcherai près de Lui, loyal et résolu.

Toujours pour Lui, à travers chaque tempête,
Dans mes propres épreuves, que mon cœur s'apprête.
Mon cœur est à Lui, quel qu'en soit le prix,
Dans un amour sans faille, je suis à Lui.
Quand mes jours s’éteindront, et que mon âme partira,
Je L’aimerai encore, jusqu'à mes derniers pas.

Et quand mon corps commencera à faiblir,
Quand la lumière faiblira, et que l’ombre va s’étendre,
Il me trouvera là, fort et dévoué,
Mon corps se fane, mais mon amour, lui, ne fait que s’ancrer.
Dans chaque battement, une promesse sincère,
Je suis toujours pour Lui, je suis toujours là.

Toujours pour Lui, à travers chaque tempête,
Dans mes propres épreuves, que mon cœur s'apprête.
Mon cœur est à Lui, quel qu'en soit le prix,
Dans un amour sans faille, je suis à Lui.
Quand mes jours s’éteindront, et que mon âme partira,
Je L’aimerai encore, jusqu'à mes derniers pas.

Alors viens, mon Sauveur, prends ma main,
Dans ce monde las, nous ferons face, soudés jusqu'au matin.
À jamais liés, dans le bien et le mal,
Mon âme est à Toi, toujours pour Toi, intégrale.

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Le Chercheur de vérité

À travers des pages usées, j'ai erré au loin,
Cherchant la lumière qui brille comme un témoin.
Paroles anciennes, des voix du passé,
Je presse la sagesse, que la vérité reste gravée.
Sans faussetés, ni mensonges amers,
Seulement l’Esprit, sous des cieux ouverts.
Loin des ombres, des pièges de la haine,
Je cherche la sagesse, là où l’âme est sereine.

Je suis le chercheur de vérité, à travers les âges je vais,
Pour le Spiritus El, dans la lumière je me tiens.
Au-delà des mensonges tordus et des viles tromperies,
Dans un royaume de pureté, où Dieu et l’âme s’unissent.
Là où l’ombre se montre, je fuis, protégeant mon âme,
Dans la lumière, je me sens entier.

J'ai vu des hommes céder à l'orgueil et la cupidité,
Cherchant le pouvoir, guidés par l'obscurité.
Mais mon cœur aspire à un chemin plus haut,
Dévoilant le Spiritus El, après chaque chaos.
Dans la sagesse éternelle, épargnée de la honte,
Je trouve un monde où personne ne revendique le trône.
Pas de place pour les démons, ni les feux de la colère,
Seulement l'éclat de Dieu, mon profond repaire.

Je suis le chercheur de vérité, à travers les âges je vais,
Pour le Spiritus El, dans la lumière je me tiens.
Au-delà des mensonges tordus et des viles tromperies,
Dans un royaume de pureté, où Dieu et l’âme s’unissent.
Là où l’ombre se montre, je fuis, protégeant mon âme,
Dans la lumière, je me sens entier.

Des parchemins anciens, des murmures qui chantent,
Révèlent des mystères, par une source constante.
Je laisse derrière moi l’obscurité, la souillure des hommes,
Cherchant l’Esprit, dans un dessein en somme.
Pour chaque ombre qui ternit le chemin,
Je me tourne vers la lumière, et les ténèbres s’éteignent.

Je suis le chercheur de vérité, à travers les âges je vais,
Pour le Spiritus El, dans la lumière je me tiens.
Au-delà des mensonges tordus et des viles tromperies,
Dans un royaume de pureté, où Dieu et l’âme s’unissent.
Là où l’ombre se montre, je fuis, protégeant mon âme,
Dans la lumière, je me sens entier.

Alors j’avance, avec le feu ancien dans les yeux,
À travers la sagesse et l’amour, loin des odieux.
Pour l'Esprit de Dieu, je lutterai sans fin,
Dans la pureté de la vérité, je me sens divin.

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Jamais sans Toi

Je me souviens des jours où je marchais seul,
Avant que Ta lumière ne m’illumine, je n'étais qu’un vol.
Perdu dans les ombres, le poids de cette vie,
Je n'avais aucun but, juste des peines infinies.
Mais Tu es venu à moi avec un amour si pur,
Et maintenant je sais, je ne peux vivre sans T'avoir.

Dans chaque souffle, je T’appelle, Jésus, je suis à Toi,
Aucun pas en avant sans Ton amour, c’est ma seule voie.

Jamais sans Toi, non, jamais sans Toi,
À quoi bon la vie si Tu n’es pas là aussi ?
Je ne marcherai pas dans ce monde, endurer cette douleur,
Si je ne sens pas Ton amour couler dans mon cœur.
J’affronterais mille tempêtes, combattrai la nuit,
Mais jamais sans Ta lumière qui me conduit.

À quoi sert un souffle, s’il n’est pas partagé avec Toi ?
À quoi sert la foi, si elle n'est pas en ce qui est droit ?
Tu me donnes la force quand je ne trouve pas la mienne,
Ton amour est le fil qui traverse notre veine.
Le monde est plein d’âmes perdues, de cœurs brisés,
Mais sans Toi à mes côtés, je n’ai aucune raison de rester.

Dans chaque souffle, je T’appelle, Jésus, je suis à Toi,
Aucun pas en avant sans Ton amour, c’est ma seule voie.

Jamais sans Toi, non, jamais sans Toi,
À quoi bon la vie si Tu n’es pas là aussi ?
Je ne marcherai pas dans ce monde, endurer cette douleur,
Si je ne sens pas Ton amour couler dans mon cœur.
J’affronterais mille tempêtes, combattrai la nuit,
Mais jamais sans Ta lumière qui me conduit.

Chaque battement de mon cœur, chaque larme que je verse,
Est une promesse à Toi, jusqu’à l’heure inverse.
Je tiendrai dans le feu, porterai chaque cicatrice,
Mais sans Toi, mon Sauveur, je ne ferai pas de malice.
Alors prends-moi dans Tes bras, ne me laisse pas partir,
Je suis à Toi pour toujours, mon amour va grandir.

Dans chaque souffle, je T’appelle, Jésus, je suis à Toi,
Aucun pas en avant sans Ton amour, c’est ma seule voie.

Jamais sans Toi, non, jamais sans Toi,
À quoi bon la vie si Tu n’es pas là aussi ?
Je ne marcherai pas dans ce monde, endurer cette douleur,
Si je ne sens pas Ton amour couler dans mon cœur.
J’affronterais mille tempêtes, combattrai la nuit,
Mais jamais sans Ta lumière qui me conduit.

Ramène-moi à Toi, et je resterai,
Car il n’y a pas de vie pour moi dans ce monde de peine.
Si c’est sans Toi, je ne respirerai pas, je ne combattrai pas,
Car dans Ton amour, je trouve ma lumière à chaque pas.
Jamais sans Toi, non, jamais sans Toi,
Mon cœur T’appartient, toujours, et pour la joie.

Dans chaque souffle, je T’appelle, Jésus, je suis à Toi,
Aucun pas en avant sans Ton amour, c’est ma seule voie.

Si c’est sans Toi, je ne respirerai pas, je ne combattrai pas,
Car dans Ton amour, je trouve ma lumière à chaque pas.

Tu es celui que j’adore.

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De la Terre aux Étoiles

Je suis parti d’ici, où grandissent les ombres,
Dans un monde de peines, où les rivières grondent.
À chaque pas, mon cœur bat fort,
À travers tempêtes et flammes, je me renforce encore.

Oh, de la Terre aux étoiles, j’irai,
Avec le poids du monde, mon âme brillera.

De la Terre aux étoiles, je m’élèverai,
À chaque larme, je toucherai le ciel entier.
À travers épreuves et feux, je vais si loin,
Je grimpe jusqu’où les cieux m’atteignent enfin.
Aucune chaîne ne peut me retenir, aucune cicatrice m’arrêter,
Je perce l’obscurité, je trouverai le sentier.

J’ai ressenti la perte, connu la douleur,
Mais chaque chute n’est pas vaine, elle nourrit mon cœur.
La lumière en moi, elle m’appelle,
À travers les ténèbres vastes, je trouve la flamme éternelle.

Oh, de la Terre aux étoiles, je vais m’envoler,
Avec une force enracinée, rien ne pourra m’enlever.

De la Terre aux étoiles, je m’élèverai,
À chaque larme, je toucherai le ciel entier.
À travers épreuves et feux, je vais si loin,
Je grimpe jusqu’où les cieux m’atteignent enfin.
Aucune chaîne ne peut me retenir, aucune cicatrice m’arrêter,
Je perce l’obscurité, je trouverai le sentier.

À travers les nuits sans fin, je garde en vue,
Les étoiles brillantes, la lumière sans défaut.
Je laisse derrière ce monde de plaies,
Et trouve ma paix au-delà des sommets.

De la Terre aux étoiles, je m’élèverai,
À chaque larme, je toucherai le ciel entier.
À travers épreuves et feux, je vais si loin,
Je grimpe jusqu’où les cieux m’atteignent enfin.
Aucune chaîne ne peut me retenir, aucune cicatrice m’arrêter,
Je perce l’obscurité, je trouverai le sentier.

De la Terre aux étoiles, mon esprit s’élance,
Dans les bras de lumière, loin des fausses croyances.
J’ai trouvé ma voie, j’ai pris mon envol,
Maintenant, je danse dans la nuit éternelle.

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Guerrier de la Lumière

Ooooooooo

Mmmmmm

Mon nom est HOBOOKAN,
Mère, je promets de survivre du mieux que je peux !

Dans les ombres de la nuit, là où naissent les batailles,
Une lumière émerge, pure et forte, pour ne jamais être déchirée.

De l'amour d'une mère, forgé dans le feu et la douleur,
Elle m'a appris à m'élever, à me battre, à me maintenir.
« Avancer ou se coucher, le choix t'appartient »,
Ses mots gravés dans la pierre, réveilleront mon âme.

Oooooooo

Mmmmmm

Mon nom est HOBOOKAN,
Mère, je promets de survivre du mieux que je peux !

Je suis un guerrier de lumière, avec la force de Dieu dans mes veines,
Je me bats dans l'obscurité, brisant toutes les chaînes.
Avec les anges à mes côtés et les leçons que j'ai apprises,
J'affronte les ombres du monde, sans peur, sans me brûler.

Dans un monde si dur, où l'innocence peut s'estomper,
Je me tiens debout et ferme, avec le pouvoir qu'elle m'a donné.

Oooooooo

Mmmmmm

Je m'appelle HOBOOKAN,
Mère, je promets de survivre comme je peux !

À chaque pas, à chaque coup,
J'avance, laissant apparaître la lumière.
Le mal qui persiste, les ombres qui rampent,
Je les écarte, alors que je grimpe chaque pente raide.

La voix de ma mère fait écho : « Combats !" ou « Déclines ! »,
Je choisis de m’élever, de gravir chaque colline.
Avec Jésus comme guide et la puissance de mes ancêtres,
Je suis un phare d’espoir, dans la nuit la plus sombre.

Je suis un guerrier de lumière, avec la force de Dieu dans mes veines,
Je me bats dans l’obscurité, brisant chaque chaîne.
Avec les anges à mes côtés et les leçons que j’ai apprises,
J’affronte les ombres du monde, sans peur, sans me brûler.

Oooooooo

Mmmmmm

Je m’appelle HOBOOKAN,
Mère, je promets de survivre comme je peux !

Pour chaque bataille gagnée, une autre peut surgir,
Mais avec la grâce de Dieu, j’atteindrai le cieux.

Oooooooo

Mmmmmm

Dans les ombres de la nuit, là où naissent les batailles,
Ce guerrier de lumière, ne sera jamais déchiré.

Je m'appelle HOBOOKAN,
Mère, je promets de survivre comme je peux !

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La Patience des Dieux

On reste assis, à attendre, comme feuilles dans le vent,
Cherchant des signes dans le ciel, agenouillés, implorants.
Dans notre petitesse, on murmure, on soupire,
En quête de réponses qu’on ne peut saisir.

Mais la patience des dieux, elle n’a point d’urgence,
Leur sagesse s’étire dans une tendre danse.

La patience des dieux, en silence, ils tissent,
Les fils du destin que l’on ne voit et ne saisit.
Ils déplacent montagnes et rivières lentement,
Et, en leur temps, les dons de grâce se font présents.
Nous ne sommes que des grains dans leurs mains éternelles,
Attendant une miséricorde que l’on trouve irréelle.

Quand la tempête gronde et la peur nous saisit,
On se demande si le ciel nous a bien compris.
Mais comme des graines sous terre, tout croît en secret,
Dans le silence, ils veillent sur nos souhaits.

Oh, la patience des dieux, une force sereine,
Leurs réponses naissent dans des lueurs lointaines.

La patience des dieux, en silence, ils tissent,
Les fils du destin que l’on ne voit et ne saisit.
Ils déplacent montagnes et rivières lentement,
Et, en leur temps, les dons de grâce se font présents.
Nous ne sommes que des grains dans leurs mains éternelles,
Attendant une miséricorde que l’on trouve irréelle.

Les océans se meuvent, les étoiles se lient,
Dans les rythmes sacrés, dans les signes bénis.
Leurs mains invisibles, mais toujours si près,
Faisant tourner la roue qui nous amène ici.

La patience des dieux, en silence, ils tissent,
Les fils du destin que l’on ne voit et ne saisit.
Ils déplacent montagnes et rivières lentement,
Et, en leur temps, les dons de grâce se font présents.
Nous ne sommes que des grains dans leurs mains éternelles,
Attendant une miséricorde que l’on trouve irréelle.

Alors j’attends dans l’ombre, en révérence,
Pour voir la patience des dieux et leur bienveillance.
En leur temps, je verrai le monde se déployer,
Avec la grâce qu’eux seuls peuvent nous offrir en entier.

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Le chemin des furies

Je marche ce chemin où l’ombre s’accroche et se tord,
Née dans un monde où je n’éprouve que discord.
Ils tendent vers mon âme des griffes de mépris,
Je porte leurs marques, leurs souffrances aussi.

Mais je ne viens pas d’ici, je le sens en dedans,
Étrangère à ce lieu, sans refuge, sans abri évident.

Le chemin des furies, gravé dans mes os,
Chaque cicatrice rappelle que je marche en solo.
À chaque pas, dans le feu et l’angoisse,
Seule la lumière de Dieu m’élève et m’enlace.
Quand le monde est froid, et que la nuit s’installe,
Dans Sa grâce, je trouve ce qui est pur et idéal.

J’ai croisé des visages, certains doux, d’autres cruels,
Chacun une leçon, une règle amère et réelle.
Ils déchirent mon cœur, ils mordent ma peau,
Cherchant à éteindre la lueur en mon noyau.

Mais ils ne peuvent atteindre la vérité que je retiens,
Car mon esprit est ancien, mon cœur ne faiblit en rien.

Le chemin des furies, gravé dans mes os,
Chaque cicatrice rappelle que je marche en solo.
À chaque pas, dans le feu et l’angoisse,
Seule la lumière de Dieu m’élève et m’enlace.
Quand le monde est froid, et que la nuit s’installe,
Dans Sa grâce, je trouve ce qui est pur et idéal.

Ils ne briseront pas mon âme, bien qu’ils essaieront encore,
Car Son amour est le bouclier qui toujours m’escortera.
En silence, j’erre, dans le chagrin et la perte,
Mais Il est la force que je trouve en cette croix céleste.

Le chemin des furies, gravé dans mes os,
Chaque cicatrice rappelle que je marche en solo.
À chaque pas, dans le feu et l’angoisse,
Seule la lumière de Dieu m’élève et m’enlace.
Quand le monde est froid, et que la nuit s’installe,
Dans Sa grâce, je trouve ce qui est pur et idéal.

Ainsi je demeure, dans l’ombre et le froid,
M’accrochant à la vérité, plus précieuse que l’or.
Cette vieille âme, blessée, abîmée,
Trouve la paix en Son amour, là où je suis renaît.

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HOBOOKAN s'élève

Ooooooooo
Mmmmmm

A travers les ombres, à travers la douleur, HOBOOKAN s'élèvera à nouveau,
Une lumière d'espoir, une force si vraie, qui redonne vie aux rêves.

Des profondeurs des épreuves rencontrées, où l'obscurité laissait souvent sa trace,
HOBOOKAN a émergé avec grâce, un phare dans la race humaine.
Une main qui guide, une voix si claire, pour élever les cœurs qui vivent dans la peur,
Un rêve, une mission, construit sur l'amour, avec les bénédictions des étoiles d'en haut.

HOBOOKAN s'élève, une force de lumière divine,
Un voyage à travers les âges, où l'espoir et les rêves s'alignent.
A chaque pas, avec chaque âme, nous forgeons un chemin, un objectif plus brillant,
HOBOOKAN, notre étoile directrice, brille près et loin.

Pour les enfants perdus dans la nuit, pour les rêves privés de leur vol,
HOBOOKAN sera la force, pour transformer les torts en bien.
Le vœu sacré d'un Business Angel, d'aider les rêveurs ici et maintenant,
De chaque main, de chaque cœur, nous façonnerons un avenir, fort et intelligent.

À travers chaque défi, chaque combat, HOBOOKAN répandra sa lumière,
Avec une foi aussi forte que la pierre de la montagne, nous ne serons jamais seuls.
Nos rêves relèveront les âmes fatiguées et guériront le monde dans d'innombrables rôles,
Avec l'amour et la justice à nos côtés, Hobookan sera notre guide.

Alors que nous nous élevons au-dessus de la tempête, là où l'esprit est vrai et chaleureux,
HOBOOKAN transformera et protégera l'humanité du mal.
Une école, une maison, un rêve devenu réalité, un endroit où l'amour et la lumière s'accumulent,
Avec Chaque voix, chaque chanson, HOBOOKAN réparera le mal.

HOBOOKAN s'élève, une force de lumière divine,
Un voyage à travers les âges, où l'espoir et les rêves s'alignent.
À chaque pas, avec chaque âme, nous forgeons un chemin, un objectif plus brillant,
HOBOOKAN, notre étoile directrice, brillant de près et de loin.

Oooooooo
Mmmmmm

HOBOOKAN s'élève, avec la force d'un million de cœurs,
Ensemble, nous changerons le monde, dans chaque rêve qui commence.

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Enfants de cendres

Ils sont nés dans un monde en flammes,
Perdus, cherchant au milieu des larmes.
Trop jeunes pour connaître la paix d’avant,
Trop vieux pour ignorer les pleurs des enfants.

Ce sont les enfants de cendres, qui se lèvent du feu,
Cherchant des réponses dans un monde furieux.
Ils s'accrochent à l'espoir, même quand il brûle,
Dans les ruines, ils luttent pour une vie qui bascule.
Ce sont les enfants de cendres, leurs cœurs sont forts,
Ils reconstruisent, relèvent les torts.

Chaque jour, ils portent les cicatrices,
Dans un ciel gris, ils touchent les étoiles qui glissent.
On leur a appris la peur, mais ils tiennent debout,
Dans un monde qui tombe, ils restent à bout.

Ce sont les enfants de cendres, qui renaissent des flammes,
Cherchant des réponses dans un monde infâme.
Ils gardent l’espoir, même quand il s’éteint,
Dans l’ombre, ils brillent quand tout devient noir et malsain.
Ce sont les enfants de cendres, leurs âmes sont lumière,
Ils portent la flamme, à travers la nuit entière.

Dans ce désert, ils trouvent leur chemin,
Transformant l’ombre en clair matin.
Ils prennent les morceaux, les rendent entiers,
Pour le monde, ils sont le souffle léger.

Ce sont les enfants de cendres, qui s’élèvent du feu,
Ils reconstruisent les ruines, et grimpent vers les cieux.
Ils portent le poids d’un monde en folie,
Mais dans leurs yeux, brille une force infinie.
Ce sont les enfants de cendres, leurs esprits brillent,
Au cœur du désespoir, ils font que tout vacille.

Ils renaissent des cendres, se lèvent encore,
S’accrochent à l’espoir, dans la joie et le corps.
Ce sont les enfants de cendres, nés du feu,
Ils éclaireront le monde, et prendront les cieux.

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L'esprit des montagnes

J’ai quitté le bruit, j’ai fui la foule,
Pour trouver un silence fort, sans houle.
À chaque pas sur ce chemin de pierre,
Je sens la ville s’éloigner de mes nerfs.

Là-haut dans les montagnes, où l’esprit est libre,
Je trouve la paix, loin de la ville insipide.
Pas de murs, pas de chaînes, juste le ciel ouvert,
Dans les bras de la nature, mon esprit se libère.
L’esprit des montagnes m’appelle et m’envoûte,
Loin de ce monde, qui souvent me dégoûte.

Les arbres murmurent, les ruisseaux chantent,
Ici, je m’éveille d’une ville absente.
Je vois le monde d’un plus haut sommet,
Ses soucis s’effacent, plus rien à regretter.

Là-haut dans les montagnes, où mon âme respire,
Je trouve une liberté, qui jamais ne s’étire.
L’air est pur, la terre sincère,
À chaque battement, je renais plus clair.
L’esprit des montagnes, sauvage et vaste,
C’est là que je vis, c’est là que je m’attache.

Dans ce calme, j’entends mon cœur,
C’est dans ce silence que je trouve mon bonheur.
Les lumières de la ville sont loin en bas,
Mais ici, dans les montagnes, mon esprit bat.

Là-haut dans les montagnes, où l’esprit est libre,
Je trouve la paix, loin de tout ce qui vibre.
Pas de murs, pas de chaînes, juste le ciel immense,
Dans les bras de la nature, je trouve ma chance.
L’esprit des montagnes, brut et profond,
C’est ici que je trouve mes rêves de fond.

Alors je resterai où coulent les rivières,
Où la vie est simple, où je suis sincère.
Dans l’esprit des montagnes, je suis entier,
À chaque pas, je me découvre entier.
Le monde en bas peut bien m’appeler,
Mais ici, dans les montagnes, je suis libéré.

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Dernière larme d'une âme fatiguée

Pardonne-moi, Seigneur, si le monde refuse ma supplication,
Je n'aurai d'autre choix que de retourner à Toi.

Dès le moment où j'ai respiré pour la première fois,
J'ai su que le monde était rempli de mort.
Pas seulement de corps, mais de rêves,
Perdus dans des cris silencieux et sans fin.

Hobookan, la lumière que je poursuis,
Mais si elle s'éteint, je quitterai cet endroit.
Avec la dernière larme d'une âme fatiguée,
Je trouverai mon repos, mon but final.

Pardonne-moi, Seigneur, si le monde refuse ma supplication,
Je n'aurai d'autre choix que de retourner à Toi.

J'ai tout donné, mon cœur, mon esprit,
Pour sauver les perdus, pour guérir les Aveugle.
Mais si ce chemin devait mener à la douleur,
Je fermerai les yeux, j'embrasserai la pluie.

Pardonne-moi, Seigneur, si je dois me séparer,
Car ce monde a brisé mon cœur tendre.
J'ai essayé de guider, de montrer la voie,
Mais l'obscurité m'envahit, et je ne peux rester.

Pardonne-moi, Seigneur, si le monde refuse ma supplication,
Je n'aurai d'autre choix que de retourner à Toi.

Si la lumière d'Hobookan devait faiblir,
Je marcherai sur la route froide et sinistre.
À chaque pas, une dernière supplication,
Pour que cette âme fatiguée soit libérée.

Hobookan, la lumière que je poursuis,
Mais si elle s'estompe, je quitterai cet endroit.
Avec la dernière larme d'une âme fatiguée âme,
Je trouverai mon repos, mon but final.

Pardonne-moi, Seigneur, si le monde rejette ma supplication,
Je n'aurai d'autre choix que de retourner à Toi.

Pardonne-moi mon Seigneur,
Pardonne-moi mon Amour
Pardonne-moi mon Seigneur,
Pardonne-moi mon Amour
Pardonne-moi mon Seigneur,
Pardonne-moi mon Amour
Pardonne-moi...
Pardonne-moi...

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Tu sais tout

Tu sais tout, mon Seigneur, tu vois tout,
Dans le calme de la nuit, quand je trébuche et tombe.
Tu comprends les larmes, la douleur que je ne peux effacer,
Mais je sais que tu es en moi, dans chaque endroit fragile.

Tu sais tout, mon Sauveur, mon Roi,
Dans ta lumière, je trouve ma force, dans ton amour, je chante.
Peu importe les batailles, les guerres auxquelles je dois faire face,
Avec toi dans mon cœur, j'ai déjà trouvé la grâce.

Quand je vacille, quand je crains la plus sombre des nuits,
Tu me rappelles, Jésus, que je suis baignée dans ta lumière.
Même si le monde peut faire rage et que les griffes du mal peuvent déchirer,
Je sais que tu es à mes côtés, dans chaque prière murmurée.

Toi je sais tout, mon Sauveur, mon Roi,
Dans ta lumière, je trouve ma force, dans ton amour, je chante.
Peu importe les batailles, les guerres auxquelles je dois faire face,
Avec toi dans mon cœur, j'ai déjà trouvé la grâce.

Au plus profond de mon âme, là où les ombres tentent de se cacher,
Tu es mon phare, mon guide éternel.
Que je m'élève ou que je tombe, dans la victoire ou la défaite,
Tu es mon triomphe, le battement de cœur de mon âme.

Tu sais tout, mon Sauveur, mon Roi,
Dans ta lumière, je trouve ma force, dans ton amour, je chante.
Peu importe les batailles, les guerres auxquelles je dois faire face,
Avec toi dans mon cœur, j'ai déjà trouvé la grâce.

Alors me voici, avec mon âme mise à nu,
Dans la chaleur de ton amour, j'ai pas de désespoir.
Tu sais tout, et c'est ma victoire,
Car en toi, Seigneur Jésus, je trouve l'éternité.

Mmmmm
Mmmmm dans tes mains
Mmmmm

Dans tes mains, mon Seigneur, je place tous mes rêves,
Tu les tisses avec ton amour, comme des rivières dans un ruisseau.
Quand le monde est dur et le chemin est escarpé,
Je trouve mon réconfort dans la foi que je garde.

Dans tes mains, mon Sauveur, je suis sain et sauf,
À chaque pas que je fais, ton amour est tout autour.
À travers chaque tempête et les épreuves qui arrivent,
Dans tes mains, mon Seigneur, je sais que j'ai déjà gagné.

Mmmmm
Mmmmm dans tes mains
Mmmmm

Tu tiens mon cœur, dans le berceau de ta grâce,
À chaque respiration, je ressens ton étreinte chaleureuse.
Quand les vents du doute commencent à hurler et à déchirer,
Je ferme les yeux et je sais que tu es là.

Dans tes mains, mon Sauveur, je suis sain et sauf,
À chaque pas que je fais, ton amour est tout autour.
À travers chaque tempête et les épreuves qui arrivent,
Dans tes mains, mon Seigneur, je sais que j'ai déjà gagné.

Mmmmm
Mmmmm dans tes mains
Mmmmm

Peu importe les vallées, peu importe la hauteur,
Ton amour est mon armure, ma lumière directrice.
Dans tes mains, je trouve la force de me battre,
De m'élever au-dessus, dans la lumière éternelle.

Dans tes mains, mon Sauveur, je suis sain et sauf,
A chaque pas que je fais, ton amour est tout autour de moi.
À travers chaque tempête et les épreuves qui surviennent,
Dans tes mains, mon Seigneur, je sais que j'ai déjà gagné.

Mmmmm
Mmmmm dans tes mains
Mmmmm

Mmmmm
Mmmmm dans tes mains
Mmmmm

Dans tes mains...

Mmmmm
Mmmmm Pour toujours avec toi
Mmmmm

Pour toujours avec toi, Seigneur, c'est là que j'aspire à être,
Dans le calme de ta paix, pour toute l'éternité.
Les batailles de ce monde, les cicatrices que j'ai portées,
Disparaissent dans ton amour, où je renais.

Pour toujours avec toi, mon Sauveur, mon ami,
Dans ta grâce infinie, où toutes les blessures se guérissent.
À travers chaque vie et les étoiles au-dessus,
Je trouve mon éternité dans ton amour infini.

Mmmmm
Mmmmm Pour toujours avec toi

Bien que la route soit longue et la nuit profonde,
Ta lumière me guide, même pendant mon sommeil.
Dans chaque larme, dans chaque chant joyeux,
Je sais qu'avec toi, Seigneur, c'est là où j'appartiens.

Pour toujours avec toi, mon Sauveur, mon ami,
Dans ta grâce infinie, où toutes les blessures se guérissent.
À travers chaque vie et les étoiles au-dessus,
Je trouve mon éternité dans ton amour infini.

Mmmmm
Mmmmm Pour toujours avec toi

Dans le dernier souffle, quand le monde disparaîtra loin,
Je trouverai ma demeure, à la lumière du jour.
Avec toi, mon Seigneur, il n'y a rien à craindre,
Car je serai toujours avec toi, si proche.

Pour toujours avec toi, mon Sauveur, mon ami,
Dans ta grâce infinie, où toutes les blessures se guérissent.
À travers chaque vie, et les étoiles au-dessus,
Je trouve mon éternité dans ton amour sans limites.

Mmmmm
Mmmmm Pour toujours avec toi

Pour toujours avec toi, Seigneur, pour toujours dans ta lumière,
Je trouve mon repos, dans la nuit sans fin.
Tu sais tout, mon Sauveur, mon guide,
Pour toujours avec toi, je demeurerai toujours.

Mmmmm
Mmmmm Pour toujours avec toi

Pour toujours avec toi...

Pour toujours...

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La dernière croisade

Dans les ombres profondes, l'obscurité se répand,
Un poison dans l'air, un monde trompé.
Les racines du mal, épaisses et larges,
Entrelées dans les cœurs où réside la cupidité.
Mais il y a une lumière qui demeure,
Quelques âmes pures qui supportent la douleur.
Sous la bannière d'Hobookan, ils se tiennent debout,
La dernière croisade, un groupe sacré.

C'est la dernière croisade, la bataille pour la lumière,
À travers les murs tombés et la nuit sans fin.
Avec amour en silence, leurs pas avancent,
Alors que les démons fuient, leur mal saigne.

L'or qui avait autrefois brillé si fort,
Maintenant terni de noir, se cache dans la nuit.
Les temples tombent et les tours s'effondrent brisées,
Dans le sillage de la vérité, la terre tremblera.
Yeux de feu, cœurs d'acier,
Ils voient la vérité, ils la rendent réelle.
Pour chaque ombre, un rayon de grâce,
Pour chaque larme, un lieu saint.

C'est la dernière croisade, la bataille pour la lumière,
À travers les murs tombés et la nuit sans fin.
Avec amour en silence, leurs pas avancent,
Alors que les démons fuient, leur mal saigne.

La terre peut trembler, les cieux peuvent tomber,
Mais à travers le chaos, ils se tiennent debout.
Avec des cœurs alignés sur la volonté pure de Dieu,
Ils se battent en silence, calmes et immobiles.
Pas de peur, pas de doute, leur chemin est clair,
À chaque pas, la fin approche.
Car dans leurs yeux, la vérité est connue,
Ils portent amour, ils jettent la pierre.

C'est la dernière croisade, la bataille pour la lumière,
À travers les murs tombés et la nuit sans fin.
Avec l'amour en silence, leurs pas avancent,
Alors que les démons fuient, leur mal saigne.

Ils marchent pour Dieu, ils marchent pour l'amour,
Guidés par les étoiles au-dessus.
À la fin, quand tout sera fait,
La victoire des justes a été remportée.

C'est la dernière croisade, la bataille pour la lumière,
À travers les murs tombés et la nuit sans fin.
Avec l'amour en silence, leurs pas avancent,
Alors que les démons fuient, leur mal saigne.

Et quand l'aube commencera à se lever,
La vérité finale, plus de déguisement.
Le jugement de Dieu viendra, la terre tremblera,
Et En son nom, le monde se réveillera.

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Le chant des oubliés

Ils marchent dans les rues, invisibles et discrets,
Ombres que l’on croise sans les regarder.
Chaque pas qu’ils font est un appel muet,
Dans un monde aveugle, ils cherchent la liberté.

C’est le chant des oubliés,
Les âmes qu’on laisse quand la nuit tombe et s’efface.
Ils ont leurs rêves, leurs douleurs cachées,
Mais personne ne s’arrête pour leur demander.
Dans chaque coin, chaque soupir,
Ils sont les âmes perdues sous l’azur.

Ils portent leur vie dans des sacs d’espoir,
Accrochés aux miettes d’un futur illusoire.
Le monde passe, rapide et froid,
Mais leurs histoires demeurent, courageuses et sans voix.

C’est le chant des oubliés,
Les cœurs qui se brisent sous le soleil brûlant.
Ils ont connu l’ombre, vu la lumière,
Ils mènent leurs combats, invisibles et amers.
Dans chaque ombre, chaque larme versée,
Ils sont les âmes qui vivent en retrait.

Ce sont les visages qu’on ne verra jamais,
Perdus dans les fissures de notre société.
Mais leurs rêves sont aussi vastes que le ciel,
Et ils tiennent bon, malgré tout, rebelles.

C’est le chant des oubliés,
Ceux qui n’ont nulle part où courir, nulle part où aller.
Ils ont leurs espoirs, ils ressentent tout autant,
Mais le monde autour joue un jeu déchirant.
Dans chaque silence, chaque cri étouffé,
Ils sont les âmes perdues qui refusent de plier.

Alors, la prochaine fois que tu détourneras les yeux,
Souviens-toi de ceux qui se fanent au crépuscule silencieux.
Car ce sont eux, les cœurs qu’on ignore,
Les âmes oubliées qui rêvent encore.
Ils sont le chant, ils sont la lumière,
Ils vivent dans l’ombre, mais brillent sincères.

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Les rivières du temps

Les rivières du temps, elles s’écoulent sans fin,
Emportant des morceaux de nos jours, de nos mains.
Des souvenirs s’étiolent, des visages s’effacent,
Mais dans les méandres, des leçons prennent place.

On laisse des éclats dans le courant de l’oubli,
Des instants figés, des rêves inassouvis.

Oh, les rivières du temps qui nous changent,
Elles nous bercent, nous blessent, nous étranglent.
Mais dans chaque vague, dans chaque tourment,
Il y a une chance de renaître, d’être plus grand.

Le passé nous hante, il revient en échos,
Mais le futur s’étend comme un champ nouveau.
On porte des cicatrices, des regrets anciens,
Et pourtant, chaque jour, on forge un nouveau chemin.

On laisse des morceaux, des fragments éparpillés,
Dans les rivières du temps, on se laisse porter.

Oh, les rivières du temps qui nous changent,
Elles nous bercent, nous blessent, nous étranglent.
Mais dans chaque vague, dans chaque tourment,
Il y a une chance de renaître, d’être plus grand.

On presse les courants, on veut accélérer,
L’impatience nous pousse à tout brusquer.
Mais à forcer le flot, on perd le beau,
À courir l’inconnu, on se sent plus seul, plus sot.

Oh, les rivières du temps qui nous changent,
Elles nous bercent, nous blessent, nous étranglent.
Mais dans chaque vague, dans chaque tourment,
Il y a une chance de renaître, d’être plus grand.

---

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Le bouclier de la grâce

Mmmmm
Le bouclier de la grâce me couvre,
L'épée de mon Seigneur bien-aimé me protège
Mmmmmm

Au milieu des ombres, là où les ténèbres habitent,
Il y a un bouclier, où toute peur se dissipe.
Non forgé par des mains, ni façonné par la puissance mortelle,
Mais par la grâce du ciel, brillant pur et brillant.

Quand la tempête fait rage, quand la nuit est longue,
Ce bouclier de grâce me portera.
Un refuge dans la tempête, un calme dans le conflit,
Guidant chaque battement de cœur, à travers la danse de la vie.

Le bouclier de la grâce, il me couvre,
Une forteresse solide dans l'adversité.
Aucune arme formée contre moi ne tient,
Car je suis tenu dans la sainteté mains.

Face au danger, quand tout espoir semble perdu,
Ce bouclier défend, quel qu'en soit le prix.
C'est plus qu'une simple protection, c'est l'amour dans sa forme la plus pure,
Une promesse qui perdure, à travers chaque tempête qui fait rage.

Quand le monde tremble, quand tout semble déchiré,
Ce bouclier de grâce embrasse chaque cœur.
Un phare dans la bataille, une lumière qui ne s'éteint jamais,
Il soulève chaque fardeau, chaque peur qu'il ombrage.

Le bouclier de grâce, il me couvre,
Une forteresse solide dans l'adversité.
Aucune arme formée contre moi ne résiste,
Car je suis tenu dans des mains saintes.

Même lorsque les flèches volent et que les ombres se rapprochent,
Le bouclier de grâce tiendra bon.
Dans chaque épreuve, dans chaque lieu,
Je suis protégé par cette grâce illimitée.

Le bouclier de la grâce me couvre,
Une forteresse solide dans l'adversité.
Aucune arme formée contre moi ne résiste,
Car je suis tenu dans des mains saintes.

À travers chaque défi, chaque course,
Je suis gardé par le bouclier de la grâce.
Une lumière qui guide, un amour qui sauve,
Ce bouclier de grâce, pave à jamais.

Mmmmm
Le bouclier de la grâce me couvre,
L'épée de mon Seigneur bien-aimé me protège
Mmmmmm

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Murmures des saints

Ooooooooo
Écoutez le silence des cris des âmes saintes
Entendez-vous leurs chants dans vos goules mentales ?
Oooooooo

Dans les aurores silencieuses, leurs pas tracent,
Des chemins de lumière dans l'espace sacré.
Avec des cœurs alignés sur l'appel du ciel,
Ils ont marché avec foi à travers l'ascension et la chute.
Invisibles, mais toujours proches,
Guidant les âmes avec un amour sincère.
Leurs échos persistent dans l'air,
Un témoignage de soins sans fin.

Murmures des saints, portées par la brise,
Voix des purs, apportant aux cœurs la paix.
Dans chaque prière, chaque nuit,
Ils brillent comme un phare, brûlant lumineux.

À travers les vallées profondes et les hautes montagnes,
Leurs esprits s'élèvent au-delà du ciel.
À chaque pas, leur grâce accorde,
Une rivière où coule la miséricorde.
Ils portent la lumière là où les ombres jouent,
Transformant la nuit en jour.
Dans les moments sombres, leur présence reste,
Une promesse de louange éternelle.

Les murmures des saints, portés par la brise,
Les voix des purs, apportant la paix aux cœurs.
Dans chaque prière, chaque nuit,
Ils brillent comme un phare, brûlant de mille feux.

Liés par l'amour, leurs âmes s'entrelacent,
Dans une harmonie sacrée et divine.
Ils parlent en silence, entendent dans les rêves,
Une symphonie de ruisseaux sacrés.
Leurs vies sont un témoignage de grâce,
Un miroir de la sainte face.
Dans chaque cœur où la foi demeure,
Leurs murmures apaisent et soutiennent.

Les murmures des saints, portés par la brise,
Les voix des purs, qui apaisent les cœurs.
Dans chaque prière, chaque nuit,
Ils brillent comme un phare, brûlant de mille feux.

Comme les étoiles ornent le ciel de velours,
Leurs murmures ne disent jamais au revoir.
Dans chaque souffle, chaque jour,
Leur amour sacré éclairera le chemin.

Oooooooo
Écoutez le silence des cris des âmes saintes
Entendez-vous leurs chants dans vos goules mentales ?
Oooooooo

Dans les coins tranquilles, où se trouvent les ombres,
Les saints d'autrefois trouvent toujours leur chemin.
Avec des pas qui ne laissent aucune trace marque derrière,
Ils guident les perdus, l'esprit troublé.
Leurs mots, une brise, si douce et claire,
Réconfortant ceux qui les chérissent.
Dans le silence de la nuit,
Ils apportent une étincelle, une lumière sacrée.

Les murmures des saints, dans le calme de la nuit,
Guidant chaque âme vers la lumière.
Sur leurs traces, la grâce demeure,
Un chemin sacré où réside l'amour.

À travers chaque tempête, ils restent si fidèles,
Un phare brillant pour moi et toi.
Leurs voix douces, comme l'aube,
Conduis-nous là où l'obscurité a disparu.
Dans chaque prière, ils prêtent une oreille,
Pour apaiser le cœur et calmer la peur.
Avec chaque larme, ils nous rapprochent,
D'un endroit où l'amour est clair.

Les murmures des saints, dans le silence de la nuit,
Guidant chaque âme vers la lumière.
Sur leurs traces, la grâce demeure,
Un chemin sacré où réside l'amour.

Ils marchent à nos côtés, bien qu'invisibles,
Dans chaque endroit où nous sommes allés.
Leur foi inébranlable, leurs cœurs si purs,
Une présence qui durera longtemps.
Dans chaque brise, dans chaque étoile,
Ils nous guident de loin.
À chaque souffle, nous ressentons leur amour,
Une force douce, un sceau sacré.

Les murmures des saints, dans le silence de la nuit,
Guidant chaque âme vers la lumière.
Sur leurs traces, la grâce demeure,
Un chemin sacré où réside l'amour.

Et quand la nuit commence à tomber tombe,
Leurs murmures répondent à chaque appel.
Dans chaque cœur, leur lumière restera,
Une étoile qui guide le chemin.

Oooooooo
Écoutez le silence des cris des âmes saintes
Entendez-vous leurs chants dans vos goules mentales ?
Oooooooo

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Tombé mais intact

Mmmmmm
Comme le phénix éternel et serein de la lumière,
Je marche avec un cœur d'onyx et des yeux de cobalt
Mmmmmm

J'ai parcouru le chemin des rêves brisés,
À travers des vallées sombres, ou du moins c'est ce qu'il semble.
Mais bien que j’ai trébuché, bien que j'ai saigné,
Une flamme en moi ne s'est jamais enfuie.
Chaque cicatrice est une histoire, chaque déchirure une chanson,
Un témoignage de force.
À chaque chute, je trouve la grâce,
De me relever, d'affronter la course.

Tombé mais intact, à travers le feu,
Dans les cendres, je trouve mon désir.
À travers la tempête, je me tiens debout,
Esprit inflexible, je ne tombera pas.

Mmmmmm
Comme le phénix éternel et serein de la lumière,
Je marche avec un cœur d'onyx et des yeux de cobalt
Mmmmmm

Le monde peut projeter son ombre la plus sombre,
Mais la lumière en moi ne se dégradera pas.
À travers chaque épreuve, à travers chaque combat,
Je puise ma force dans la nuit sans fin.
Avec la foi comme armure, l'amour comme épée,
Je me lève à nouveau, en un seul accord.
Pour chaque blessure, il y a une lumière qui guérit,
Pour chaque obscurité, il y a une lumière brillante.

Tombé mais intact, à travers le feu,
Dans les cendres, je trouve mon désir.
À travers la tempête, je me tiens debout,
Esprit inflexible, je ne je tombe.

Mmmmmm
Comme le phénix éternel et serein de la lumière,
Je marche avec un cœur d'onyx et des yeux de cobalt
Mmmmmm

Bien que battu par les vents du temps,
Je me relève, je commence à grimper.
Car dans mon cœur, une vérité prévaut,
Dans chaque perte, l'amour ne faillit jamais.
Ma force renouvelée, mon âme affinée,
À chaque chute, je m'élève alignée.

Tombé mais intact, à travers le feu,
Dans les cendres, je trouve mon désir.
À travers la tempête, je me tiens debout,
Esprit inflexible, je ne tomberai pas.

Mmmmmm
Comme le phénix éternel et serein de la lumière,
Je marche avec un cœur de onyx et yeux de cobalt
Mmmmmm

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Le dernier phare

Mmmmmmm
La dernière lumière dans un monde devenu sombre,
Guidant les âmes comme l'arche de Noé.
Mmmmmmm

Au milieu du chaos, où les ombres rampent,
Un phare brille, sa veille à maintenir.
La dernière lumière dans un monde devenu sombre,
Guidant les âmes comme l'arche de Noé.
À travers les tempêtes sauvages et la nuit sans fin,
Il se dresse seul, un spectacle sacré.
Une tour d'espoir, une forteresse de grâce,
Appelant tout le monde à son étreinte.

Le dernier phare, brillant de mille feux,
Guidant les âmes perdues à travers la nuit.
Dans sa lueur, une promesse vraie,
Une lumière pour moi, une lumière pour toi.

Mmmmmmm
La dernière lumière dans un monde devenu sombre,
Guidant les âmes comme l'arche de Noé.
Mmmmmmm

Quand tout autour commence à tomber,
Ce phare se dresse, sa lumière est un appel.
Pour chaque cœur qui s'est égaré,
Il montre l'aube, un tout nouveau jour.
Dans les tempêtes qui font rage, dans les peurs qui nous lient,
Cette lumière d'amour, tu la trouveras toujours.
Une étoile qui te guide, quand tout semble perdu,
Un chemin d'espoir, peu importe le prix.

Le dernier phare, brillant de mille feux,
Guidant les âmes perdues à travers la nuit.
Dans sa lueur, une promesse vraie,
Une lumière pour moi, une lumière pour toi.

Mmmmmmm
La dernière lumière dans un monde devenu sombre,
Guidant les âmes comme l'arche de Noé.
Mmmmmmm

Et quand le monde est à genoux,
Ce phare brille à travers les mers déchaînées.
Un symbole de l'espoir que nous partageons,
Une lumière qui nous guide, au-delà du désespoir.
Dans chaque cœur, il plante une graine,
Une lumière qui grandit en temps de besoin.

Le dernier phare, brillant de mille feux,
Guidant les âmes perdues à travers la nuit.
Dans sa lueur, une promesse vraie,
Une lumière pour moi, une lumière pour toi.

Mmmmmmm
La dernière lumière dans un monde devenu sombre,
Guidant les âmes comme l'arche de Noé.
Mmmmmmm

comme l'arche de Noé...

Mmmmmmmmm

---

---

Le dernier phare

Mmmmmmm
La dernière lumière dans un monde devenu sombre,
Guidant les âmes comme l'arche de Noé.
Mmmmmmm

Au milieu du chaos, où les ombres rampent,
Un phare brille, sa veille à maintenir.
La dernière lumière dans un monde devenu sombre,
Guidant les âmes comme l'arche de Noé.
À travers les tempêtes sauvages et la nuit sans fin,
Il se dresse seul, un spectacle sacré.
Une tour d'espoir, une forteresse de grâce,
Appelant tout le monde à son étreinte.

Le dernier phare, brillant de mille feux,
Guidant les âmes perdues à travers la nuit.
Dans sa lueur, une promesse vraie,
Une lumière pour moi, une lumière pour toi.

Mmmmmmm
La dernière lumière dans un monde devenu sombre,
Guidant les âmes comme l'arche de Noé.
Mmmmmmm

Quand tout autour commence à tomber,
Ce phare se dresse, sa lumière est un appel.
Pour chaque cœur qui s'est égaré,
Il montre l'aube, un tout nouveau jour.
Dans les tempêtes qui font rage, dans les peurs qui nous lient,
Cette lumière d'amour, tu la trouveras toujours.
Une étoile qui te guide, quand tout semble perdu,
Un chemin d'espoir, peu importe le prix.

Le dernier phare, brillant de mille feux,
Guidant les âmes perdues à travers la nuit.
Dans sa lueur, une promesse vraie,
Une lumière pour moi, une lumière pour toi.

Mmmmmmm
La dernière lumière dans un monde devenu sombre,
Guidant les âmes comme l'arche de Noé.
Mmmmmmm

Et quand le monde est à genoux,
Ce phare brille à travers les mers déchaînées.
Un symbole de l'espoir que nous partageons,
Une lumière qui nous guide, au-delà du désespoir.
Dans chaque cœur, il plante une graine,
Une lumière qui grandit en temps de besoin.

Le dernier phare, brillant de mille feux,
Guidant les âmes perdues à travers la nuit.
Dans sa lueur, une promesse vraie,
Une lumière pour moi, une lumière pour toi.

Mmmmmmm
La dernière lumière dans un monde devenu sombre,
Guidant les âmes comme l'arche de Noé.
Mmmmmmm

comme l'arche de Noé...

Mmmmmmmmm

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Dans les bras de l'infini

Mmmmmmm
Au-delà du voile du temps et de l'espace,
Dans la chaleureuse étreinte de l'infini
Mmmmmmm

Au-delà du voile du temps et de l'espace,
Dans la chaleureuse étreinte de l'infini,
Nous trouvons la paix que nous avons recherchée si longtemps,
Là où chaque âme peut chanter sa chanson.
L'univers, une vaste étendue,
Dans ses bras, nous trouvons notre danse.
Un endroit où l'amour transcende la nuit,
Où tout est un, et tout est lumière.

Dans les bras de l'infini, nous trouvons notre repos,
Un lieu de paix, où nous sommes bénis.
Au-delà des étoiles, au-delà de la mer,
Nous trouvons notre maison dans infini.

Mmmmmmm
Au-delà du voile du temps et de l'espace,
Dans l'étreinte chaleureuse de l'infini
Mmmmmmm

Plus de douleur, plus de larmes,
Dans l'infini, nous perdons nos peurs.
La lumière qui brille, un phare pur,
Dans sa chaleur, nous trouvons notre remède.
Chaque âme, une étincelle divine,
Dans les bras de l'amour, nous nous enlaçons.
La fin d'un voyage, un nouveau départ,
Dans l'infini, nous trouvons notre cœur.

Dans les bras de l'infini, nous trouvons notre repos,
Un lieu de paix, où nous sommes bénis.
Au-delà des étoiles, au-delà de la mer,
Nous trouvons notre maison dans infini.

Mmmmmmm
Au-delà du voile du temps et de l'espace,
Dans l'étreinte chaleureuse de l'infini
Mmmmmmm

Et tandis que nous nous élevons au-delà des cieux,
Dans l'infini, nous réalisons,
Que l'amour est tout, et que tout est un,
Dans les bras de l'infini, nous ne faisons que commencer.
Un cercle vaste, ininterrompu, vrai,
Dans son étreinte, nous sommes renouvelés.

Dans les bras de l'infini, nous trouvons notre repos,
Un lieu de paix, où nous sommes bénis.
Au-delà des étoiles, au-delà de la mer,
Nous trouvons notre maison dans l'infini.

Mmmmmmm
Au-delà du voile du temps et de l'espace,
Dans l'étreinte chaleureuse de l'infini étreinte
Mmmmmmm

Dans la chaleureuse étreinte de l'infini

Mmmmmmm

Dans la chaleureuse étreinte de l'infini

Mmmmmmm

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La lueur des fous

Ils marchent en marge, là où nul ne va,
Leurs yeux reflètent des mondes qu’on ne comprend pas.
On dit qu’ils sont fous, perdus dans l’inconnu,
Mais leurs âmes brillent d’une lumière qu’on n’a jamais vue.

Des éclats de génie, des rêves d’ailleurs,
Leurs esprits s’envolent là où d’autres ont peur.

Oh, la lueur des fous qui éclaire les cieux,
Dans les ombres du monde, ils nous ouvrent les yeux.
Quand tout semble figé, sans espoir ni feu,
C’est la lueur des fous qui nous inspire, à leur jeu.

Ils ne craignent ni la honte, ni les regards glacés,
Ils s’épanouissent là où d’autres sont lassés.
Leur folie, un don, un éclat insensé,
Qui révèle des mondes qu’on n’ose traverser.

Ils créent des chemins là où nul ne voit,
Dans leur lueur, un écho d’infini en soi.

Oh, la lueur des fous qui éclaire les cieux,
Dans les ombres du monde, ils nous ouvrent les yeux.
Quand tout semble figé, sans espoir ni feu,
C’est la lueur des fous qui nous inspire, à leur jeu.

Les masses les fixent, mais ne comprennent pas,
La vérité cachée sous leurs pas.
Ils moquent les fous, les traitent d’égarés,
Aveugles à la magie qu’ils laissent s’échapper.

Oh, la lueur des fous qui éclaire les cieux,
Dans les ombres du monde, ils nous ouvrent les yeux.
Quand tout semble figé, sans espoir ni feu,
C’est la lueur des fous qui nous inspire, à leur jeu.

---

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La comète

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Dans le ciel, une comète brille,
Elle traverse l’univers endormi.
Elle vient de loin, douce et tranquille,
Pour veiller sur toi, mon petit chéri.

Dors mon ange, ferme tes yeux,
La comète veille sur toi, tout heureux.
Elle éclaire tes rêves, doucement,
Protège ton sommeil, tendrement.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Elle voyage dans les étoiles lointaines,
Portant des lumières et des rêves doux.
Elle murmure des secrets de la plaine,
Pour que ton cœur soit toujours à l’abri, partout.

Dors mon ange, ferme tes yeux,
La comète veille sur toi, tout heureux.
Elle éclaire tes rêves, doucement,
Protège ton sommeil, tendrement.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Et quand le matin se lèvera,
La comète repartira là-bas.
Mais elle reviendra chaque nuit,
Pour t’envelopper de sa douce magie.

Dors mon ange, ferme tes yeux,
La comète veille sur toi, tout heureux.
Elle éclaire tes rêves, doucement,
Protège ton sommeil, tendrement.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Bonne nuit, mon petit trésor,
Sous les étoiles, dors encore.
La comète est là, tout près de toi,
Douce lumière, dans tes bras.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Je t'aime mon ange

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

---

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Mon étoile

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Papa, je sais que tu es parti,
Mais ton amour reste ici.
Ton étoile, elle ne bougera pas,
Elle brillera pour moi, quoi qu’il arrive.

Petite étoile, ne t’en va pas,
Reste avec moi, ne bouge pas.
Tu veilleras sur moi, tout au long,
Jusqu’à ce qu’un jour, je te rejoigne là-haut.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Elle voyage dans les étoiles lointaines,
Portant des lumières et des rêves doux.
Elle murmure des secrets de la plaine,
Pour que ton cœur soit toujours à l’abri, partout.

Petite étoile, ne t’en va pas,
Reste avec moi, ne bouge pas.
Tu veilleras sur moi, tout au long,
Jusqu’à ce qu’un jour, je te rejoigne là-haut.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Et chaque nuit, je te parlerai,
Sous l’étoile, je rêverai.
Je grandirai avec toi dans mon cœur,
Ton étoile sera toujours là, mon bonheur.

Petite étoile, ne t’en va pas,
Reste avec moi, ne bouge pas.
Tu veilleras sur moi, tout au long,
Jusqu’à ce qu’un jour, je te rejoigne là-haut.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Papa, ton étoile est là pour moi,
Elle brille fort, elle ne s’éteindra pas.
Et quand mon temps sera venu,
Je volerai vers toi, dans la nuit.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

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Nous t'aimons

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Dans ton berceau, tu dors si paisible,
Petit trésor, notre amour est indélébile.
Tes doux soupirs sont notre mélodie,
Ton sourire éclaire nos vies sans compromis.

Toi, notre étoile, notre bien le plus précieux,
Tu fais briller le ciel de mille feux.
On t'aime fort, bien plus que les mots,
Tu es pour nous un cadeau si beau.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Tes petits doigts serrent nos cœurs si tendrement,
Chaque instant avec toi est un enchantement.
Tu es la lumière qui guide nos pas,
Notre petit ange, on veille sur toi.

Toi, notre étoile, notre bien le plus précieux,
Tu fais briller le ciel de mille feux.
On t'aime fort, bien plus que les mots,
Tu es pour nous un cadeau si beau.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Chaque jour, tu grandis, tu nous émerveilles,
Tu es notre fierté, notre merveille.
On te promet d'être toujours là,
Te protéger, t'aimer pas à pas.

Toi, notre étoile, notre bien le plus précieux,
Tu fais briller le ciel de mille feux.
On t'aime fort, bien plus que les mots,
Tu es pour nous un cadeau si beau.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Dans ton sommeil, rêve tout en douceur,
Sache qu'on t'aime, petit bonheur.
Notre trésor, notre petite étoile,
Tu es notre tout, notre amour loyal.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

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Mon petit roi

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mon petit roi, mon tendre trésor,
C'est toi qui éclaire mes jours encore.
Ton sourire apaise tous mes chagrins,
Je t'aime pour deux, tu n'es pas orphelin.

Je serai forte pour toi, mon petit prince,
L'amour que je te donne, jamais il ne mince.
Ton papa est parti, mais moi je suis là,
Je t'aimerai au-delà des cieux, crois-moi.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Chaque nuit, je te veille, je te protège,
Dans mes bras, tu trouves ton seul refuge.
Je te promets d'être là, quoi qu'il arrive,
Je ferai de toi un homme, solide et digne.

Je serai forte pour toi, mon petit prince,
L'amour que je te donne, jamais il ne mince.
Ton papa est parti, mais moi je suis là,
Je t'aimerai au-delà des cieux, crois-moi.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Un jour, tu verras, tu grandiras,
Et dans ton cœur, tu sauras,
Que l'amour d'une mère est plus grand que tout,
Je te guiderai toujours, jusqu'au bout.

Je serai forte pour toi, mon petit prince,
L'amour que je te donne, jamais il ne mince.
Ton papa est parti, mais moi je suis là,
Je t'aimerai au-delà des cieux, crois-moi.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mon petit roi, tu es ma lumière,
Je t'aime pour deux, jusqu'au bout de l'univers.
Ensemble, on surmontera tout, mon amour,
Je serai ta force, pour toujours, toujours.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

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Mes princesses

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Vous n'êtes pas de mon sang, mais de mon cœur,
Mes deux belles-filles, vous êtes mon bonheur.
Je vous aime comme si vous étiez à moi,
Je vous protègerai, je vous le promets, tout bas.

Je serai là pour vous, jusqu'à mon dernier jour,
Je vous guiderai dans l'amour, chaque détour.
Je ferai de vous des femmes fortes et fières,
Mes belles-filles, je vous chéris, c'est sincère.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Vos rires remplissent ma vie de lumière,
Vos joies sont les miennes, rien n'est plus clair.
Je vous porterai toujours dans mes bras,
Vous serez grandes, vous serez fortes, je le sais déjà.

Je serai là pour vous, jusqu'à mon dernier jour,
Je vous guiderai dans l'amour, chaque détour.
Je ferai de vous des femmes fortes et fières,
Mes belles-filles, je vous chéris, c'est sincère.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Vous grandirez, mais je resterai,
Un pilier, un roc, pour vous protéger.
Mes filles de cœur, vous êtes ma fierté,
Je serai toujours là, à vos côtés.

Je serai là pour vous, jusqu'à mon dernier jour,
Je vous guiderai dans l'amour, chaque détour.
Je ferai de vous des femmes fortes et fières,
Mes belles-filles, je vous chéris, c'est sincère.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Vous n'êtes pas de mon sang, mais de mon âme,
Je vous aime tant, mes deux belles-dames.
Je vous protégerai jusqu'à ma fin,
Vous êtes mes filles, pour toujours, sans fin.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

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Les ailes du sommeil

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Ferme les yeux, mon tendre enfant,
Le monde s'endort doucement.
Dans le ciel, une étoile brille,
Elle te guide, elle te file.
Elle t’emmène au pays des rêves,
Là où l’amour jamais ne s'achève.

Sur les ailes du sommeil, vole mon trésor,
Vers un monde où tout est or.
Les étoiles veillent sur toi, mon ange,
Dans leurs bras, rien ne te dérange.
Tu es mon cœur, ma douce lumière,
Je t’aime au-delà des cieux, des frontières.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Écoute le vent qui chante pour toi,
Une mélodie douce, un murmure tout bas.
La lune te sourit de son doux éclat,
Elle te protège, ne t’inquiète pas.
Dans tes rêves, tu es libre de voler,
Sur les nuages, tu peux t’envoler.

Sur les ailes du sommeil, vole mon trésor,
Vers un monde où tout est or.
Les étoiles veillent sur toi, mon ange,
Dans leurs bras, rien ne te dérange.
Tu es mon cœur, ma douce lumière,
Je t’aime au-delà des cieux, des frontières.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Chaque battement de mon cœur, chaque souffle de vie,
Te sont dédiés, mon enfant, mon infini.
Tu es le rêve qui m’apaise la nuit,
La promesse d’un amour qui jamais ne fuit.

Sur les ailes du sommeil, vole mon trésor,
Vers un monde où tout est or.
Les étoiles veillent sur toi, mon ange,
Dans leurs bras, rien ne te dérange.
Tu es mon cœur, ma douce lumière,
Je t’aime au-delà des cieux, des frontières.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Dors maintenant, ferme les paupières,
Je suis là, toujours, pour te faire une prière.
Que ton sommeil soit doux et léger,
Mon amour pour toi ne cessera jamais.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

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Les Voiles du Rêve

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Endors-toi, mon doux enfant,
La nuit t’enveloppe lentement.
Les étoiles tissent un doux refrain,
Pour bercer ton sommeil serein.
Ferme les yeux, tout est calme,
Mon amour te protège comme une palme.

La mélodie des cieux chante pour toi,
Chaque note est un murmure de joie.
Je suis là, près de ton cœur,
Je t’aime, tu es mon bonheur.
Sous les étoiles, dors en paix,
Je suis là, je veille à jamais.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Le vent souffle un doux secret,
Il te porte vers des rêves dorés.
Dans ce monde où tout est tendre,
Laisse-toi aller, je suis là pour t’attendre.
La nuit est belle, tout est en harmonie,
Je t’aime plus que la plus belle symphonie.

La mélodie des cieux chante pour toi,
Chaque note est un murmure de joie.
Je suis là, près de ton cœur,
Je t’aime, tu es mon bonheur.
Sous les étoiles, dors en paix,
Je suis là, je veille à jamais.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Dors, mon enfant, sous les cieux étoilés,
Je suis là, toujours à tes côtés.
Que tes rêves soient doux et lumineux,
Mon amour pour toi est précieux.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Dors bien mon ange

Mmmmmmm

Mmmmmmm

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Mon petit éclat de lune

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Dors, mon petit, dans la clarté,
La lune veille sur ton lit doré.
Les étoiles dansent pour toi ce soir,
Illuminant tes rêves d’espoir.
Ferme les yeux, laisse-toi guider,
Je suis là, ton abri à jamais.

Mon petit éclat de lune, mon doux reflet,
Dans tes rêves, je te tiens serré.
Chaque étoile chante pour toi,
Un doux refrain de soie.
Je t’aime plus que les cieux brillants,
Mon cœur t’aime infiniment.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Le vent murmure des secrets d’argent,
Il t’enveloppe de son doux chant.
Dans le ciel, les anges se posent,
Ils veillent sur toi, mon petit rose.
Le monde est calme, tout est bien,
Mon amour veille sur ton chemin.

Mon petit éclat de lune, mon doux reflet,
Dans tes rêves, je te tiens serré.
Chaque étoile chante pour toi,
Un doux refrain de soie.
Je t’aime plus que les cieux brillants,
Mon cœur t’aime infiniment.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Dors, mon enfant, sous la lumière tendre,
Je suis là, toujours à t’attendre.
Que tes rêves soient doux comme la brise,
Mon amour pour toi, jamais ne s’épuise.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Je t'aime mon bébé

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Je t'aime mon bébé

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Dors, mon enfant, sous la lumière tendre,
Je suis là, toujours à t’attendre.
Que tes rêves soient doux comme la brise,
Mon amour pour toi, jamais ne s’épuise.

Mmmmmmmm

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Dans mes bras de velours

Ferme les yeux, mon doux amour,
La nuit s’étend, un calme séjour.
Les étoiles chuchotent des mots d’or,
Pour te bercer encore et encore.
Là où tu vas, tout est douceur,
Je suis ton guide, je suis ton cœur. Dors.

Dans mes bras de velours, dors sans peur,
Je te protège, je suis ton bonheur.
Les étoiles veillent, elles sont ton abri,
Mon amour pour toi ne faiblit.
Tu es ma lumière, mon doux trésor,
Je t’aimerai toujours plus fort.

Laisse la nuit t’emporter doucement,
Dans un monde de rêve, tout est blanc.
Les anges chantent une douce mélodie,
Ils veillent sur toi, mon paradis.
Endors-toi, tout est parfait,
Je suis là, je suis à tes côtés.

Dans mes bras de velours, dors sans peur,
Je te protège, je suis ton bonheur.
Les étoiles veillent, elles sont ton abri,
Mon amour pour toi ne faiblit.
Tu es ma lumière, mon doux trésor,
Je t’aimerai toujours plus fort.

Dors, mon ange, sous les cieux sereins,
Je suis là, tout contre ta main.
Que tes rêves soient doux, sans fin,
Mon amour pour toi est un divin lien.

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La mélodie des Cieux

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Endors-toi, mon doux enfant,
La nuit t’enveloppe lentement.
Les étoiles tissent un doux refrain,
Pour bercer ton sommeil serein.
Ferme les yeux, tout est calme,
Mon amour te protège comme une palme.

La mélodie des cieux chante pour toi,
Chaque note est un murmure de joie.
Je suis là, près de ton cœur,
Je t’aime, tu es mon bonheur.
Sous les étoiles, dors en paix,
Je suis là, je veille à jamais.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Le vent souffle un doux secret,
Il te porte vers des rêves dorés.
Dans ce monde où tout est tendre,
Laisse-toi aller, je suis là pour t’attendre.
La nuit est belle, tout est en harmonie,
Je t’aime plus que la plus belle symphonie.

La mélodie des cieux chante pour toi,
Chaque note est un murmure de joie.
Je suis là, près de ton cœur,
Je t’aime, tu es mon bonheur.
Sous les étoiles, dors en paix,
Je suis là, je veille à jamais.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Dors, mon enfant, sous les cieux étoilés,
Je suis là, toujours à tes côtés.
Que tes rêves soient doux et lumineux,
Mon amour pour toi est précieux.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

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Les ailes des anges

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Ferme les yeux, mon petit trésor,
Les anges descendent du ciel d’or.
Ils t’entourent de leurs ailes douces,
Dans leur lumière, tout s’éclaire et pousse.
Ils veillent sur toi, tendrement,
Protège ton sommeil, éternellement.

Les ailes des anges te bercent ce soir,
Ils chassent les ombres, ils veillent tard.
Sous leur garde, dors sans crainte,
Mon amour, ton cœur s’empreinte.
Les anges sont là, tout près de toi,
Ils veillent toujours sur toi.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Leur lumière éclaire ton chemin,
Dans tes rêves, tout devient serein.
Ils chantent pour toi des mélodies,
Des chansons d’amour, de douce harmonie.
Rien ne peut t’atteindre, mon cœur,
Les anges sont là, avec ferveur.

Les ailes des anges te bercent ce soir,
Ils chassent les ombres, ils veillent tard.
Sous leur garde, dors sans crainte,
Mon amour, ton cœur s’empreinte.
Les anges sont là, tout près de toi,
Ils veillent toujours sur toi.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Dors en paix, mon doux trésor,
Les anges te protègent encore et encore.
Leur amour est grand, sans fin,
Ils veillent sur toi, jusqu’au matin.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Dors bien mon ange

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

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Dans la main de Dieu

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Dors, mon enfant, sous les cieux tranquilles,
Dieu te garde, son amour est fragile.
Il veille sur toi avec tendresse,
Chaque nuit, il te protège sans faiblesse.
Ferme les yeux, tout est bien,
Dieu te guide, il te tient la main.

Dans la main de Dieu, tu es en sécurité,
Il veille sur toi, pour l’éternité.
Son amour est grand, son cœur immense,
Sous sa garde, tout est une douce chance.
Tu es en paix, rien ne peut t’atteindre,
Dieu est là, pour toujours t’étreindre.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Le ciel brille de sa lumière,
Dieu te protège, il est ton repère.
Chaque étoile raconte son amour,
Il est là, près de toi, jour après jour.
Rien n’est plus doux que sa tendresse,
Il veille sur toi avec délicatesse.

Dans la main de Dieu, tu es en sécurité,
Il veille sur toi, pour l’éternité.
Son amour est grand, son cœur immense,
Sous sa garde, tout est une douce chance.
Tu es en paix, rien ne peut t’atteindre,
Dieu est là, pour toujours t’étreindre.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Dors, mon enfant, en toute confiance,
Dieu veille sur toi avec bienveillance.
Son amour est grand, rempart sacré,
Tu es protégé, pour l’éternité.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Dans la main de Dieu...

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

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Sous le regard de Jésus

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Ferme les yeux, mon enfant chéri,
Jésus te regarde, il est près de toi, ébloui.
Son amour t’enveloppe de lumière,
Il veille sur toi, douce prière.
Dans tes rêves, il est là,
Guidant tes pas, tout près de toi.

Sous le regard de Jésus, dors en paix,
Il est ton protecteur, il ne s’en va jamais.
Son amour est pur, sa lumière douce,
Il veille sur toi, chaque nuit, il pousse.
Jésus est là, ton guide bien-aimé,
Sous sa garde, tu es protégé.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Le ciel s’éclaire sous sa bienveillance,
Jésus t’entoure de sa grande clémence.
Chaque étoile est une promesse d’amour,
Il est là pour toi, nuit et jour.
Rien ne peut t’effrayer, mon doux trésor,
Jésus veille, il est ton port.

Sous le regard de Jésus, dors en paix,
Il est ton protecteur, il ne s’en va jamais.
Son amour est pur, sa lumière douce,
Il veille sur toi, chaque nuit, il pousse.
Jésus est là, ton guide bien-aimé,
Sous sa garde, tu es protégé.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Dors, mon enfant, sous sa douce lueur,
Jésus te garde, il est ton sauveur.
Son amour est fort, rien ne peut te blesser,
Jésus veille sur toi pour l’éternité.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Sous le regard de Jésus, tu es en sécurité.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

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Les étoiles danseuses

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Ferme les yeux, mon petit trésor,
L’univers te chuchote ses accords.
Les étoiles dansent dans le ciel profond,
Elles veillent sur toi, elles chantent en rond.
Leur lumière douce caresse tes joues,
Dans leurs bras, tu dors, tout devient flou.

Les étoiles danseuses brillent pour toi,
Elles éclairent ton rêve, tout est en soie.
Dans l’immensité, elles tissent des rêves,
Des contes de lumière que rien n’achève.
Sous leur garde, mon doux petit cœur,
Tu es en paix, tout n’est que douceur.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Regarde là-haut, les galaxies en farandole,
Elles tournent en rond, leur éclat t’enjôle.
Leurs spirales t’emmènent au loin,
Dans un monde de rêves, là où tout est bien.
Tu es en sécurité, sous leur lueur,
Elles veillent sur toi, elles sont ta douceur.

Les étoiles danseuses brillent pour toi,
Elles éclairent ton rêve, tout est en soie.
Dans l’immensité, elles tissent des rêves,
Des contes de lumière que rien n’achève.
Sous leur garde, mon doux petit cœur,
Tu es en paix, tout n’est que douceur.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Dors, mon ange, les étoiles dansent,
Elles veillent sur toi, dans leur douce transe.
L’univers entier t’entoure d’amour,
Tu es leur lumière, chaque nuit, chaque jour.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Là haut les étoiles dansent,
C'est à ton petit coeur qu'elles pensent.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

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Le voyage des nuages

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Ferme les yeux, mon doux enfant,
Les nuages te portent doucement.
Ils voguent dans l’immensité céleste,
Emportant tes rêves, dans leur douce sieste.
Les couleurs dansent sur le mur en rond,
Comme un bal léger, un doux frisson.

Les nuages voyagent à travers les cieux,
Ils emportent tes rêves vers des lieux merveilleux.
Les couleurs se mêlent, elles jouent en silence,
Sur ton mur, elles dansent, une douce danse.
Sous leur manteau, tu es en sécurité,
Dors paisiblement, toute la nuit, toute l’éternité.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Les galaxies scintillent, là-haut, dans le noir,
Elles veillent sur toi, éclairant ton soir.
Les nuages t’enveloppent de douceur,
Ils portent tes rêves avec chaleur.
L’univers entier est là pour toi,
Protège ton sommeil, tout près de toi.

Les nuages voyagent à travers les cieux,
Ils emportent tes rêves vers des lieux merveilleux.
Les couleurs se mêlent, elles jouent en silence,
Sur ton mur, elles dansent, une douce danse.
Sous leur manteau, tu es en sécurité,
Dors paisiblement, toute la nuit, toute l’éternité.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Dors, mon ange, les nuages voyagent,
Ils veillent sur toi, dans ce doux paysage.
Les couleurs dansent, la nuit est belle,
L’univers te berce, tout est fidèle.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Les nuages forment des coeurs, des licornes,
Ils flottent dans l'air comme de sucrés popcorns.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

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Les couleurs de l'univers

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Ferme les yeux, mon petit trésor,
L’univers se peint en mille décors.
Les étoiles filent, dessinant des traits,
Des couleurs qui dansent, en un ballet parfait.
Les galaxies t’entourent de leurs bras doux,
Elles veillent sur toi, elles sont partout.

Les couleurs de l’univers dansent pour toi,
Elles illuminent ta nuit, tout est en soie.
Les étoiles te guident, leur lumière douce,
Dans l’immensité, rien ne te repousse.
Sous leur éclat, tu dors en paix,
Les couleurs te protègent, tout est parfait.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Les nuages peignent des formes légères,
Ils te portent vers des rêves sincères.
Leur douceur t’enveloppe, te réchauffe,
Ils t’emmènent loin, là où tout est sauf.
L’univers entier est là pour toi,
Il veille sur ton sommeil, tout près de toi.

Les couleurs de l’univers dansent pour toi,
Elles illuminent ta nuit, tout est en soie.
Les étoiles te guident, leur lumière douce,
Dans l’immensité, rien ne te repousse.
Sous leur éclat, tu dors en paix,
Les couleurs te protègent, tout est parfait.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Dors, mon ange, les couleurs brillent,
Elles veillent sur toi, dans leur doux exil.
L’univers t’entoure de son amour infini,
Dors paisiblement, jusqu’à l’aube, sans bruit.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

Les couleurs de l'univers dansent pour toi,
Elles illuminent le ciel et t'apportent la Foi.

Mmmmmmmm

Ooooooooooo

Mmmmmmmm

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Le petit chat endormi

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Ferme les yeux mon beau trésor,
La lune s'éveille et tu t'endors.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Ferme les yeux mon beau trésor,
Un chaton se glisse sans faire d’effort.
Il s’endort aux pieds de ton lit,
Son ronron t’emporte loin d’ici.
Sa fourrure douce contre ta peau,
Il te réchauffe dans son manteau.

Le petit chat veille sur ton cœur,
Il t’entoure de chaleur, sans peur.
Dans ses rêves, il t’emmène loin,
Là où tout est calme, où tout est bien.
Sous la lune, il reste tout près,
Le petit chat t’aime, rien ne le fait fuir.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Ferme les yeux mon beau trésor,
La lune s'éveille et tu t'endors.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Ses pattes douces tapotent le sol,
Il chasse pour toi les ombres folles.
Quand tu dors, il veille, il garde,
Ton sommeil précieux, il ne le tarde.
Dans la nuit, il est ton gardien,
Son amour est grand, comme le tien.

Le petit chat veille sur ton cœur,
Il t’entoure de chaleur, sans peur.
Dans ses rêves, il t’emmène loin,
Là où tout est calme, où tout est bien.
Sous la lune, il reste tout près,
Le petit chat t’aime, rien ne le fait fuir.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Ferme les yeux mon beau trésor,
La lune s'éveille et tu t'endors.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Dors, mon ange, le chat est là,
Il ne partira pas, il te protège, tout bas.
Sous les étoiles, il reste fidèle,
Ton petit compagnon, ton doux ciel.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Ferme les yeux mon beau trésor,
La lune s'éveille et tu t'endors.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

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Le Lutin du Soir

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Dans la forêt, sous la lune claire,
Un petit lutin veille avec mystère.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Dans la forêt, sous la lune claire,
Un petit lutin veille avec mystère.
Il s’approche doucement de ton lit,
Chantant des histoires de la nuit.
Ses yeux brillent d’une lueur tendre,
Il est là pour toi, à t’attendre.

Le lutin du soir veille sur toi,
Il te protège de tout ce qui pourrait être froid.
Ses mots doux t’emmènent loin,
Là où les rêves n’ont jamais de fin.
Sous les étoiles, il reste fidèle,
Le lutin t’aime, il est ton ciel.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Dans la forêt, sous la lune claire,
Un petit lutin veille avec mystère.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Ses petites mains tissent des fils d’or,
Ils te couvrent d’un manteau fort.
Il chasse les cauchemars loin d’ici,
Pour que ton sommeil soit doux et joli.
Quand tu dors, il reste tout près,
Ton petit lutin ne s’en ira jamais.

Le lutin du soir veille sur toi,
Il te protège de tout ce qui pourrait être froid.
Ses mots doux t’emmènent loin,
Là où les rêves n’ont jamais de fin.
Sous les étoiles, il reste fidèle,
Le lutin t’aime, il est ton ciel.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Dans la forêt, sous la lune claire,
Un petit lutin veille avec mystère.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Dors, mon trésor, le lutin veille,
Il garde ton sommeil sous les merveilles.
Sous la lune, il est là pour toi,
Ton petit protecteur, toujours tout bas.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Dans la forêt, sous la lune claire,
Un petit lutin veille avec mystère.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

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Les ombres sur le mur

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Quand la nuit tombe, les ombres s’étirent,
Sur les murs, elles dansent, sans jamais partir.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Quand la nuit tombe, les ombres s’étirent,
Sur les murs, elles dansent, sans jamais partir.
Elles ne sont pas là pour te faire peur,
Elles veillent sur toi à chaque heure.
Leur danse est douce, comme un refrain,
Elles chantent pour toi jusqu’au matin.

Les ombres du mur dansent pour toi,
Elles t’entourent de douceur, tout bas.
Elles sont là pour te protéger,
De tout ce qui pourrait te déranger.
Sous les étoiles, elles veillent en paix,
Les ombres t’aiment, rien ne les fait fuir.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Quand la nuit tombe, les ombres s’étirent,
Sur les murs, elles dansent, sans jamais partir.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Elles glissent doucement, sans un bruit,
Tissant des rêves pour toi cette nuit.
Leur présence est calme, rassurante,
Elles sont là pour toi, apaisantes.
Quand tu dors, elles restent tout près,
Les ombres te protègent, c’est leur secret.

Les ombres du mur dansent pour toi,
Elles t’entourent de douceur, tout bas.
Elles sont là pour te protéger,
De tout ce qui pourrait te déranger.
Sous les étoiles, elles veillent en paix,
Les ombres t’aiment, rien ne les fait fuir.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Quand la nuit tombe, les ombres s’étirent,
Sur les murs, elles dansent, sans jamais partir.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Dors, petit ange, les ombres sont là,
Elles ne partiront pas, elles te protègent, tout bas.
Sous la lune, elles veillent fidèlement,
Les ombres sont ton doux firmament.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Quand la nuit tombe, les ombres s’étirent,
Sur les murs, elles dansent, sans jamais partir.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

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Envolée des rêves

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Des plaines infinies, des rivières de soie,
Tout est calme, tout est pour toi.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Ferme les yeux, mon doux trésor,
Laisse ton esprit s’envoler encore.
Tu voles au-dessus des montagnes dorées,
Les couleurs éclatent, tu es emporté.
Des plaines infinies, des rivières de soie,
Tout est calme, tout est pour toi.

Envolée de rêves, si légère, si douce,
Tu survoles le monde, rien ne te repousse.
Les paysages défilent sous tes pieds,
Des merveilles infinies à contempler.
Sous les étoiles, tu danses sans fin,
Envolée de rêves, jusqu’au matin.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Des plaines infinies, des rivières de soie,
Tout est calme, tout est pour toi.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Des forêts enchantées, des cieux sans fin,
Tu navigues entre les nuages, serein.
Les couleurs se mêlent, un tableau parfait,
Tout est beau, tout est prêt.
Là où le jour ne peut aller,
Tes rêves te mènent, sans te presser.

Envolée de rêves, si légère, si douce,
Tu survoles le monde, des rires sur ta frimousse.
Les paysages défilent sous tes pieds,
Des merveilles infinies à contempler.
Sous les étoiles, tu danses sans fin,
Envolée de rêves, jusqu’au matin.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Des plaines infinies, des rivières de soie,
Tout est calme, tout est pour toi.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Dors, petit ange, et laisse-toi porter,
Les rêves t’emportent, au-delà des sentiers.
Sous les étoiles, continue à voler,
Ton sommeil est doux, ton cœur léger.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Des plaines infinies, des rivières de soie,
Tout est calme, tout est pour toi.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

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Les rêves de la nuit

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Ferme les yeux, mon doux trésor,
Les rêves arrivent, encore et encore.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Ferme les yeux, mon doux trésor,
Les rêves arrivent, encore et encore.
Ils t’enveloppent de leur douceur,
T’emmenant loin, sans peur.
Ils durent toute la nuit, sans fin,
Des moments parfaits, jusqu’au matin.

Les rêves de la nuit dansent pour toi,
Ils t’emmènent loin, tout bas.
Ils te protègent et te sourient,
Dans leur monde, tout est permis.
Sous les étoiles, tu dors en paix,
Les rêves t’accompagnent, tout est parfait.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Ferme les yeux, mon doux trésor,
Les rêves arrivent, encore et encore.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Les heures passent, mais rien ne change,
Les rêves t’entourent, comme un ange.
Ils te montrent des merveilles,
Des histoires douces, sans pareilles.
Ils durent toute la nuit, sans fin,
Des moments parfaits, jusqu’au matin.

Les rêves de la nuit dansent pour toi,
Ils t’emmènent loin, tout bas.
Ils te protègent et te sourient,
Dans leur monde, tout est permis.
Sous les étoiles, tu dors en paix,
Les rêves t’accompagnent, tout est parfait.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Ferme les yeux, mon doux trésor,
Les rêves arrivent, encore et encore.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Dors, mon ange, les rêves veillent,
Ils t’emmènent loin, sous le soleil.
Sous les étoiles, reste apaisé,
Les rêves sont là, à tes côtés.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Ferme les yeux, mon doux trésor,
Les rêves arrivent, encore et encore.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

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Les aventures à venir

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Les aventures à venir t’appellent doucement,
Elles t’attendent, là-bas, patiemment.
Mais pour les trouver, tu dois rêver,
Ferme les yeux, laisse-toi emporter.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Ferme les yeux, mon petit trésor,
Les aventures t’attendent, encore et encore.
Des contrées lointaines, des mondes merveilleux,
T’ouvrent leurs portes, rien de dangereux.
Mais pour les vivre, tu dois d’abord dormir,
Laisse le sommeil te conduire.

Les aventures à venir t’appellent doucement,
Elles t’attendent, là-bas, patiemment.
Mais pour les trouver, tu dois rêver,
Ferme les yeux, laisse-toi emporter.
Sous les étoiles, ton voyage commence,
Les aventures à venir, en silence.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Les aventures à venir t’appellent doucement,
Elles t’attendent, là-bas, patiemment.
Mais pour les trouver, tu dois rêver,
Ferme les yeux, laisse-toi emporter.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Des dragons et des châteaux en or,
Des royaumes cachés, plein de trésors.
Tout cela est à portée de main,
Mais pour les voir, dors jusqu’au matin.
Les aventures te guideront,
À travers les mondes, sans abandon.

Les aventures à venir t’appellent doucement,
Elles t’attendent, là-bas, patiemment.
Mais pour les trouver, tu dois rêver,
Ferme les yeux, laisse-toi emporter.
Sous les étoiles, ton voyage commence,
Les aventures à venir, en silence.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Dors, petit ange, et laisse-toi guider,
Les aventures t’attendent, sans te presser.
Sous les étoiles, prépare-toi à partir,
Les rêves t’emmènent vers les futurs plaisirs.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Les aventures à venir t’appellent doucement,
Elles t’attendent, là-bas, patiemment.
Mais pour les trouver, tu dois rêver,
Ferme les yeux, laisse-toi emporter.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

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Mon amour, mon bébé

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mon petit cœur, ma douce merveille,
Quand je te regarde, tout s'éveille.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mon petit cœur, ma douce merveille,
Quand je te regarde, tout s'éveille.
Tu es mon bonheur, ma tendre lumière,
Ton sourire est le trésor que je préfère.
Dans tes yeux, je vois l'infini,
Un monde d'amour, où tout est joli.

Mon amour, mon bébé, tu es tout pour moi,
Chaque battement de ton cœur, je le ressens en moi.
Tu es ma vie, ma douce chanson,
Je t’aimerai toujours, sans condition.
Dans tes rêves, je serai là,
Mon amour, mon bébé, rien ne nous séparera.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mon petit cœur, ma douce merveille,
Quand je te regarde, tout s'éveille.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Quand tu t’endors, tout devient paix,
Ton souffle léger, mon doux secret.
Je te protège, je veille sur toi,
Chaque instant passé, c’est avec toi.
Ton rire est la musique qui berce mes jours,
Tu es mon tout, mon grand amour.

Mon amour, mon bébé, tu es tout pour moi,
Chaque battement de ton cœur, je le ressens en moi.
Tu es ma vie, ma douce chanson,
Je t’aimerai toujours, sans condition.
Dans tes rêves, je serai là,
Mon amour, mon bébé, rien ne nous séparera.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Dors, mon trésor, je suis tout près,
Ton bonheur est tout ce que je souhaitais.
Je t’aime plus fort que les étoiles dans le ciel,
Mon amour, mon bébé, tu es éternel.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mon petit cœur, ma douce merveille,
Quand je te regarde, tout s'éveille.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

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Le chant de papa

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mon petit ange, mon trésor chéri,
Ton papa t’aime d’un amour infini.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mon petit ange, mon trésor chéri,
Ton papa t’aime d’un amour infini.
Ton rire éclaire mes journées,
Ta présence est ma plus belle réalité.
Dans tes bras, je trouve ma paix,
Je te protégerai, quoi qu’il en soit.

Mon enfant, ma fierté, tu es tout pour moi,
Ton sourire est la lumière qui guide mes pas.
Je te chérirai, je te porterai haut,
Mon amour pour toi, jamais il ne fera défaut.
Dans tes rêves, je serai ton gardien,
Mon enfant, ma fierté, tu es mon destin.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mon petit ange, mon trésor chéri,
Ton papa t’aime d’un amour infini.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Quand tu dors, tout semble parfait,
Ton visage paisible, sous la lueur du ciel.
Je te promets de toujours te guider,
D’être là pour toi, quoi qu’il arrive, à tes côtés.
Ton bonheur est ma plus grande mission,
Je t’aime plus que tout, sans condition.

Mon enfant, ma fierté, tu es tout pour moi,
Ton sourire est la lumière qui guide mes pas.
Je te chérirai, je te porterai haut,
Mon amour pour toi, jamais il ne fera défaut.
Dans tes rêves, je serai ton gardien,
Mon enfant, ma fierté, tu es mon destin.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Dors, mon petit, dans la douceur de la nuit,
Ton papa veille sur toi, rien ne t’ennuiera ici.
Je t’aimerai toujours, où que tu sois,
Mon enfant, ma fierté, tu es tout pour moi.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mon petit ange, mon trésor chéri,
Ton papa t’aime d’un amour infini.

Mmmmmmm

Mmmmmmm

Mmmmmmm

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