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La musique est une des plus belles création de l'humanité ! Elle a toujours été un support idéal pour exprimer mes joies et mes douleurs.

Anges et démons
[23 Musiques]

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L'être humain est marqué par une dualité profonde, oscillant constamment entre le bien et le mal. En nous cohabitent des aspirations angéliques de compassion, d'amour et de justice, et des inclinations démoniaques de jalousie, de haine et de cupidité. Cette lutte interne façonne notre existence, influençant nos choix et nos actions. Trop souvent, l'humanité penche davantage vers le mal. Les actualités sont remplies de conflits, de violences et d'injustices, témoignant de notre penchant destructeur. Les structures de pouvoir et les systèmes économiques favorisent l'égoïsme et l'exploitation, exacerbant cette tendance négative. Pourtant, des moments de pure bonté existent, où des gestes altruistes et des sacrifices pour le bien commun révèlent notre potentiel angélique. Reconnaître cette dualité est crucial pour tenter de rééquilibrer la balance. En cultivant la conscience, l'empathie et la responsabilité, nous pouvons espérer diminuer l'emprise du mal et laisser davantage de place à la lumière. L'humanité est à la croisée des chemins, et chaque individu porte la responsabilité de choisir la voie du bien, malgré les ombres qui l'entourent. Pour afficher les informations correspondantes, cliquez sur les titres. Pour voir les paroles, cliquez sur 'paroles'.

Paroles, composition, musique : Patrick Courbin / Hobookan - Tous droits réservés


Présenté sur YouTube

Huit ans déjà
Poupées de chiffons
Quelques milliers seulement
Rien est fait
Brique par brique
Qui nous sauvera
Un monde d'émotions
Ma prière
Ô Dieu
Intelligence du cœur
Tant de leur poids

Piste audio
Titre
Paroles
Durée
YouTube
  • 01
    Quelques milliers seulement
    00:06:21

    Un ange surveille, en silence, depuis les cieux,
    Observe l'humanité, cherche un signe, un lieu.
    Des milliards d'âmes, perdues dans le néant,
    Il guette celle ou celui, qui le remarquera, seulement.

    Il voit la corruption, la haine qui s'étend,
    Les cœurs déchirés, les âmes sans lendemain.
    Tout est écrit, le destin scellé,
    Quelques milliers d'élus, c'est tout ce qui est donné.

    Un ange veille, l'humanité en perdition,
    Quelques milliers d'élus, pour la rédemption.
    Sur des milliards, c'est une goutte dans l'océan,
    Cherche l'âme pure, parmi tant de mécréants.

    Les hommes se perdent, dans leurs vices, leurs peurs,
    Ils courent après l'ombre, ignorent la lueur.
    L'ange les observe, chaque jour un peu plus,
    Déçu par la folie, par ce qu'ils ont en plus.

    Les guerres, les trahisons, la misère et le mal,
    Les cœurs endurcis, les esprits amers, bancals.
    Il cherche désespérément, une étincelle de pureté,
    Mais tout semble sombre, l'humanité est dénaturée.

    Un ange veille, l'humanité en perdition,
    Quelques milliers d'élus, pour la rédemption.
    Sur des milliards, c'est une goutte dans l'océan,
    Cherche l'âme pure, parmi tant de mécréants.

    Chaque jour, il espère, un changement soudain,
    Un réveil, une lueur, dans ce monde malsain.
    Mais les ténèbres dominent, les cœurs sont fermés,
    Quelques milliers d'élus, c'est le chiffre prédestiné.

    Il continuera à veiller, malgré le désespoir,
    Espérant un miracle, un signe quelque part.
    Car même dans l'ombre, il croit en la lumière,
    Un jour, peut-être, l'humanité sera moins sévère.

    L'ange garde la foi, même si tout est écrit,
    Quelques milliers d'élus, un espoir infini.
    Il surveille, il attend, il ne désespère pas,
    Car chaque âme pure, peut changer le combat.

    Un ange veille, l'humanité en perdition,
    Quelques milliers d'élus, pour la rédemption.
    Sur des milliards, c'est une goutte dans l'océan,
    Cherche l'âme pure, parmi tant de mécréants.

    L'ange continuera, à veiller sur ce monde,
    Espérant un éveil, que l'humanité réponde.
    Quelques milliers d'élus, c'est peu mais c'est l'espoir,
    Un jour, peut-être, on sortira du noir.

  • 02
    Les démons rôdent
    00:06:19

    Dans l'ombre ils avancent, invisibles à l'œil nu,
    De vrais démons incarnés, rôdent dans la rue.
    Ils glanent des âmes, sèment le mal sans répit,
    Récoltent les peines, plongent les cœurs dans la nuit.

    Du sud au nord, de l'est à l'ouest, ils se répandent,
    Une grande invasion, les ténèbres nous pendent.
    Ils infiltrent nos vies, nos esprits en détresse,
    Les vrais démons rient, dans cette froide allégresse.

    Partout ils rôdent, dans la nuit sans fin,
    Les vrais démons glanent, dans ce monde incertain.
    Sèment le mal, récoltent la douleur,
    Ils sont parmi nous, semant la terreur.

    Ils prennent des visages, se cachent parmi les gens,
    Des masques de normalité, des sourires innocents.
    Ils sapent l'espoir, éteignent la lumière,
    Dans leurs ombres noires, l'humanité se perd.

    Les âmes sont fragiles, leur proie préférée,
    Ils les brisent, les consument, les jettent sans pitié.
    Leurs rires résonnent, dans le silence de la nuit,
    Ces vrais démons incarnés, dans l'ombre s'épanouissent.

    Partout ils rôdent, dans la nuit sans fin,
    Les vrais démons glanent, dans ce monde incertain.
    Sèment le mal, récoltent la douleur,
    Ils sont parmi nous, semant la terreur.

    Regarde autour de toi, les signes sont présents,
    Ils sont là, tapis, guettant le bon moment.
    Leurs yeux brûlent de haine, leurs cœurs de pierre,
    La grande invasion, l'humanité sous terre.

    Mais malgré tout, l'espoir doit subsister,
    Face à ces vrais démons, il ne faut pas céder.
    Le courage et l'amour sont les armes contre l'ombre,
    Pour briser leurs chaînes et sortir de ce sombre.

    Nous devons nous unir, face à cette invasion,
    Pour protéger nos âmes, notre dernière mission.
    Les vrais démons incarnés, ne doivent pas gagner,
    L'humanité doit se lever, pour enfin briller.

    Partout ils rôdent, dans la nuit sans fin,
    Les vrais démons glanent, dans ce monde incertain.
    Sèment le mal, récoltent la douleur,
    Ils sont parmi nous, semant la terreur.

    Lève-toi et bats-toi, ne laisse pas l'ombre t'engloutir,
    Car même dans la nuit, une étoile peut luire.
    Les vrais démons incarnés, ne gagneront pas,
    Car l'humanité, dans son cœur, portera la foi.

  • 03
    Rien est fait
    00:04:46

    On stagne, on régresse, l'humanité en panne,
    Nos âmes sont en souffrance, nous ne sommes que des ânes.
    Autour de nous, tout est sombre, tout est chaos,
    Rien n'est acquis, rien n'est offert, c'est la misère qui prévaux.

    Les rêves s'effondrent, sous le poids de la réalité,
    Sans efforts individuels, rien ne peut avancer.
    La haine, la colère, plus fortes que jamais,
    Les suppôts du mal sont actifs, les anges se taisent.

    Rien ne changera, rien ne disparaîtra,
    Enchaînés par des crédits comme des rats.

    Tout a été dit, tout a été fait,
    Personne n'a suivi, l'humanité est perdue.
    La misère gagne, la haine prolifère,
    Rien ne changera, quoi qu'il advienne.

    Les espoirs éteints, sous des cendres d'illusions,
    Les cœurs se durcissent, perdus dans la confusion.
    Le mal s'infiltre, là où la lumière faiblit,
    Les ténèbres s'étendent, nos âmes en agonie.

    Rien ne pousse, rien ne fleurit, tout se fane,
    Les voix de la sagesse se perdent dans le vacarme.
    On erre sans but, dans un monde désolé,
    Les efforts sont vains, tout semble figé.

    Rien ne changera, rien ne disparaîtra,
    Enchaînés par des salaires comme des rats.

    Tout a été dit, tout a été fait,
    Personne n'a suivi, l'humanité est perdue.
    La misère gagne, la haine prolifère,
    Rien ne changera, quoi qu'il advienne.

    Les mots sont vains, les actions insignifiantes,
    Chaque jour qui passe, l'espoir s'évapore lentement.
    Les promesses oubliées, les rêves en poussière,
    L'humanité dérive, sans cap, sans lumière.

    On regarde en arrière, et tout semble pareil,
    Les mêmes erreurs, les mêmes écueils.
    Les efforts dispersés, comme des grains de sable,
    Le mal progresse, nos luttes sont instables.

    Rien ne peut sauver, ce monde en ruine,
    Les âmes se perdent, dans un désert de rimes.
    L'humanité, un champ de batailles sans fin,
    Perdue pour toujours, dans ce cycle malsain.

    Rien ne changera, rien ne disparaîtra,
    Enchaînés par des mensonges comme des rats.

    Tout a été dit, tout a été fait,
    Personne n'a suivi, l'humanité est perdue.
    La misère gagne, la haine prolifère,
    Rien ne changera, quoi qu'il advienne.

  • 04
    Poupées de chiffons
    00:03:59

    Ils sont là-haut, dans leurs bureaux, bien rangés,
    Comme des poupées dans des cartons, à l'abri du danger.
    Élaborent des lois, des règles, des conditions,
    Nous créent des cases, pour mieux gérer nos vies, sans compassion.

    Soldats bien renseignés, surveillent et épient,
    Nos moindres gestes, nos moindres mots, tout est consigné.
    Nous taxent, nous plument, comme des pigeons, des dindons,
    Nous farcissent de mensonges, nous digèrent en silence, sans pardon.

    Ces élites, dans l'ombre, tirent les ficelles,
    Créent le mal, sèment la haine, détruisent les cœurs sans querelle.
    De leurs mains naissent les douleurs, partout sur terre,
    Ils contrôlent nos vies, sans lumière, sans repère.

    Ils parlent de liberté, de justice et de droits,
    Mais chaque mot qu'ils disent est un clou dans notre foi.
    Nous sommes leurs pions, sur un échiquier cruel,
    Ils jouent avec nos vies, sans jamais briser leurs ailes.

    Leurs yeux froids surveillent, chaque mouvement, chaque décision,
    Ils nous poussent à la limite, nous plongent dans la confusion.
    Nous écrasent sous le poids de leurs règles et de leurs lois,
    Ces hommes de pouvoir, créent le mal, dans chaque choix.

    Ces élites, dans l'ombre, tirent les ficelles,
    Créent le mal, sèment la haine, détruisent les cœurs sans querelle.
    De leurs mains naissent les douleurs, partout sur terre,
    Ils contrôlent nos vies, sans lumière, sans repère.

    Nous sommes des marionnettes, sous leur contrôle insidieux,
    Chaque fil qu'ils tirent, nous éloigne un peu plus de nos vœux.
    Leurs promesses creuses, leurs sourires menteurs,
    Sont les chaînes invisibles, qui nous plongent dans la torpeur.

    Ils ne voient pas nos peines, nos rêves brisés,
    Pour eux, nous sommes des chiffres, des données à manier.
    Leur indifférence froide, leur ambition sans fin,
    Créent un monde de misère, où règnent les luttes et les chagrins.

    Mais nous sommes plus que leurs chiffres, plus que leurs lois,
    Nous portons en nous la force, malgré leurs froides devises.
    Ces élites dans l'ombre, un jour perdront leur pouvoir,
    Car l'humanité se relèvera, même dans le plus noir.

    Ces élites, dans l'ombre, tirent les ficelles,
    Créent le mal, sèment la haine, détruisent les cœurs sans querelle.
    De leurs mains naissent les douleurs, partout sur terre,
    Ils contrôlent nos vies, sans lumière, sans repère.

    Nous sommes plus que leurs pions, plus que leurs statistiques,
    Dans nos cœurs brûle encore l'espoir, malgré leurs tactiques.
    Les élites peuvent tomber, leurs empires s'effondrer,
    Car la force de l'humanité, un jour, saura les dépasser.

  • 05
    Qui nous sauvera
    00:04:14

    Nulle église, nul dogme ne pourra nous sauver,
    On s'enfonce, on se défonce dans nos propres regrets.
    Des prêtres dégustent des enfants, monstres sacrés,
    Et ceux qui prêchent la mort, les cœurs se referment, désemparés.

    Les barbaresques maudites, semant terreur et chaos,
    Dans ce monde brisé, l'espoir n'a plus d'écho.
    On se ment, on se crache dessus, on se cache derrière des croyances,
    Mais rien ne pourra nous sauver de notre propre souffrance.

    Rien ne pourra nous sauver de nous-mêmes,
    Pas les dogmes, pas les églises, pas les poèmes.
    Juste la Foi, si elle est juste et sincère,
    Mais l'humanité se perd, dans des lumières artificielles, salies et amères.

    Les réverbères frappés, par des âmes égarées,
    Lumières artificielles, par les déjections ternies.
    Ceux qui n'ont plus droit au pardon, errent sans but,
    Dans les ruelles sombres, leur espoir s'est tu.

    Des hommes en soutane aux sermons vides,
    Aux chants sacrés, résonnant dans le vide.
    La Foi est souillée, par ceux qui prêchent le mal,
    Dans ce monde en ruine, l'espoir est un mirage banal.

    Rien ne pourra nous sauver de nous-mêmes,
    Pas les dogmes, pas les églises, pas les poèmes.
    Juste la Foi, si elle est juste et sincère,
    Mais l'humanité se perd, dans des lumières artificielles, salies et amères.

    Les cris des enfants, les pleurs des innocents,
    Résonnent dans les chœurs, les douleurs incessantes.
    Les églises, les mosquées et les temples, ne peuvent plus nous abriter,
    Notre âme est en quête de paix, dans ce monde dévasté.

    On frappe, on tape, les réverbères de nos vies,
    Cherchant des réponses, dans un ciel sans harmonie.
    Les croyances se brisent, sous le poids de nos actes,
    Les dogmes s'effondrent, dans ce monde en vrac.

    Nulle église, nul dogme, ne peut nous purifier,
    Des ténèbres en nous, que nous avons créées.
    Seule la Foi, juste et pure, pourrait nous guider,
    Mais dans ce monde perdu, elle est souvent oubliée.

    Rien ne pourra nous sauver de nous-mêmes,
    Pas les dogmes, pas les églises, pas les poèmes.
    Juste la Foi, si elle est juste et sincère,
    Mais l'humanité se perd, dans des lumières artificielles, salies et amères.

    Les réverbères s'éteignent, dans la nuit sans fin,
    Les âmes égarées cherchent, mais ne trouvent pas de chemin.
    Nulle église, nul dogme, ne pourra nous sauver,
    Car la vraie lumière doit en nous renaître, pour espérer briller.

  • 06
    L'agneau et le lion
    00:03:59

    Nous n'avons jamais été seuls sur cette terre,
    Dieu nous observe, dans sa lumière éphémère.
    Avec amour, avec tristesse, il contemple nos actes,
    Mais nous sommes aveuglés, par l'argent et ses pactes.

    Dans notre quête insatiable de richesse et de pouvoir,
    Nous avons oublié l'essentiel, notre devoir.
    Loin des valeurs sacrées, nous avons erré,
    Mais le lion reviendra, pour nous juger, sans pitié.

    L'agneau se change en lion pour régler les comptes,
    Les faux prophètes, les dictateurs, c'est la fin de la honte.
    Le lion ne laissera jamais sa place,
    Encore moins à des paroles de glace.

    Les signes sont là, dans le ciel, sur la terre,
    Mais nous refusons de les voir, dans notre sphère.
    Les cris des opprimés, les pleurs des oubliés,
    Résonnent comme un écho, dans l'éternité.

    Dieu nous tend la main, mais nous la rejetons,
    Préférant suivre nos propres passions.
    Nous avons semé la haine, la division,
    Mais le lion viendra pour une juste révision.

    L'agneau se change en lion pour régler les comptes,
    Les faux prophètes, les dictateurs, c'est la fin de la honte.
    Le lion ne laissera jamais sa place,
    Encore moins à des paroles de glace.

    Les trompettes sonnent, le jugement approche,
    Les masques tombent, l'équité s'impose.
    Il est temps de rendre des comptes, de payer nos dettes,
    Car le lion rugira, et sa justice sera complète.

    Dans la noirceur de nos péchés, dans l'ombre de nos vices,
    Nous avons oublié l'amour, la vérité, le sacrifice.
    Mais Dieu nous offre encore une chance, une lueur,
    Pour changer nos chemins, notre destin, notre cœur.

    Que ceux qui ont des oreilles entendent, que ceux qui ont des yeux voient,
    Car le lion se lèvera, et le monde saura qu'il n'y a pas de droit.
    La vérité triomphera, la justice régnera,
    Et ceux qui ont semé la honte connaîtront la fin de leurs paroles glacées.

    L'agneau se change en lion pour régler les comptes,
    Les faux prophètes, les dictateurs, c'est la fin de la honte.
    Le lion ne laissera jamais sa place,
    Encore moins à des paroles de glace.

  • 07
    Desséché
    00:05:33

    Je suis un archange, envoyé du ciel,
    Descendu parmi vous, dans ce monde cruel.
    Dieu m'a donné l'amour, comme un père, un ami,
    Mais sans mon épée, je suis perdu ici.

    Les ténèbres s'étendent, comme un tsunami,
    Le mal se répand, anéantit mes envies.
    J'étais là pour aider, pour sauver des vies,
    Mais la haine m'entoure, m'étouffe, me brise.

    Je suis fatigué, un archange désarmé,
    Ils m'ont dit descend parmi eux, aide-les.
    Mais sans mon épée, sans mon armure,
    Je ne suis qu'un humain, séché entre leurs murs.

    Les cris des innocents, les larmes des opprimés,
    Je les ressens tous, chaque jour, chaque année.
    Le poids de ce monde, sur mes ailes brisées,
    Je cherche la lumière, mais tout est voilé.

    Les hommes se battent, se déchirent sans fin,
    Où est la compassion, où est le chemin ?
    Dieu m'a donné sa foi, pour guider mes pas,
    Mais je me perds dans l'ombre, je ne trouve pas.

    Je suis fatigué, un archange désarmé,
    Ils m'ont dit descend parmi eux, aide-les.
    Mais sans mon épée, sans mon armure,
    Je ne suis qu'un humain, séché entre leurs murs.

    Je prie chaque nuit, pour retrouver ma force,
    Pour rallumer la flamme, pour retrouver la source.
    Mais le mal est puissant, il s'infiltre partout,
    Et moi, je suis là, démuni, à genoux.

    Il y a des moments, où l'espoir vacille,
    Où le poids de ce monde, devient difficile.
    Mais je garde en moi, l'amour du Père,
    Pour continuer à marcher, même dans cet enfer.

    Je vois des étincelles, de bonté, de foi,
    Des âmes perdues, qui cherchent encore la voie.
    Peut-être qu'un jour, la lumière brillera,
    Et que cet archange désarmé, enfin, se relèvera.

    Je suis fatigué, un archange désarmé,
    Ils m'ont dit descend parmi eux, aide-les.
    Mais sans mon épée, sans mon armure,
    Je ne suis qu'un humain, séché entre leurs murs.

    Je continuerai à marcher, même sans mes armes,
    Avec l'amour de Dieu, pour apaiser mes larmes.
    Un jour, peut-être, nous trouverons la paix,
    Et cet archange désarmé, pourra enfin se reposer.

  • 08
    Mon secret divin
    00:02:56

    Je suis une âme incarnée, seule devant ce temple fraternel,
    Immense et majestueux, sculpté dans le marbre éternel.
    La lumière de Dieu, éclatante comme un phare,
    Des milliers d'âmes absorbent son amour, la récompense des justes rares.

    Je suis là, sur le côté, humble, anéanti,
    Je le sais que je n'ai pas le droit d'être ici, devant le temple de Dieu, béni.
    Face contre terre, je n'ose à peine relever les yeux,
    Mais je le fais pourtant, avec une foi renouvelée par Dieu.

    À chaque marche que je monte, la lumière m'inonde,
    Elle dévore tout ce qui est sombre, tout ce qui m'entrave, tout ce qui est immonde.
    Jésus m'appelle, il me demande de le rejoindre,
    Et je sens l'amour divin, qui me purifie, qui commence à m'étreindre.

    L'esplanade est vaste, devant ce sanctuaire sacré,
    Je vois Jésus, son regard plein de grâce et de paix.
    Chaque pas que je fais, je sens la lumière en moi,
    Elle nettoie mes peurs, mes tristesses, mes douleurs.

    Je m'avance, humble, mon cœur rempli de dévotion,
    Chaque marche est une épreuve, une purification.
    Le reste m'appartient, c'est mon secret divin,
    Un trésor spirituel, que je garde au fond de moi.

    À chaque marche que je monte, la lumière m'inonde,
    Elle dévore tout ce qui est sombre, tout ce qui m'entrave, tout ce qui est immonde.
    Jésus m'appelle, il me demande de le rejoindre,
    Et je sens l'amour divin, qui me purifie, qui commence à m'étreindre.

    Devant ce temple, je ressens la puissance, la clarté,
    L'amour infini de Dieu, une lumière sacrée.
    Je suis purifié, renouvelé, prêt à avancer,
    Avec ce secret divin, que je garderai à jamais.

    Je suis une âme incarnée, transformée par cette vision,
    Chaque pas vers la lumière, une nouvelle rédemption.
    Je garde en moi cette expérience, ce moment sacré,
    Un lien avec le divin, une foi renouvelée.

    À chaque marche que je monte, la lumière m'inonde,
    Elle dévore tout ce qui est sombre, tout ce qui m'entrave, tout ce qui est immonde.
    Jésus m'appelle, il me demande de le rejoindre,
    Et je sens l'amour divin, qui me purifie, qui commence à m'étreindre.

    Et je marche, toujours plus près de cette lumière,
    Avec l'amour de Dieu, ma foi, ma prière.
    Ce secret divin, je le garde en moi,
    Une expérience sacrée, que je ne partagerai qu'avec toi.

  • 09
    Les belles âmes
    00:03:57

    Les belles âmes sont ballottées, entre espoirs et désillusions,
    Comme des balles que des démons se passent, dans un jeu sans rémission.
    Elles sont sages et obéissantes, lumineuses, déjà sauvées,
    Mais dans ce monde de chaos, leur lumière est souvent éclipsée.

    Des âmes pures, qui recherchent la paix, dans un océan de malheur,
    Naviguant entre vos vagues sombres, leurs espoirs se meurent.
    Mais l'immensité des autres, un raz-de-marée dévastateur,
    Des écueils et des récifs, des âmes perdues, sans lueur.

    Les belles âmes, ballottées, dans un jeu maudit,
    Obéissantes et sages, pourtant ici elles pâtissent.
    Mais l'immensité des autres, un festin pour le diable,
    Perdus dans l'ombre, sans espoir, sans parabole.

    Les démons se rient de ces jeux, de ces âmes fragiles et douces,
    Elles cherchent la lumière, mais trouvent souvent des épines et des ronces.
    Elles se battent pour rester pures, dans un monde de noirceur,
    Chaque sourire, chaque espoir, est une bataille pour leur cœur.

    Les autres, l'immense majorité, dérivent sans but, sans foi,
    Des récifs de désespoir, les attirent toujours plus bas.
    Le grand festin du diable, a déjà réservé leurs places,
    Ils se perdent dans l'ombre, où la lumière ne passe.

    Les belles âmes, ballottées, dans un jeu maudit,
    Obéissantes et sages, pourtant ici elles pâtissent.
    Mais l'immensité des autres, un festin pour le diable,
    Perdus dans l'ombre, sans espoir, sans parabole.

    Les belles âmes continuent de lutter, dans ce jeu sans fin,
    Elles brillent, même faiblement, contre les ténèbres qui les prennent.
    Elles savent que leur chemin est difficile, semé d'embûches,
    Mais leur lumière intérieure, jamais ne s'éteint, même dans la ruche.

    Les belles âmes, malgré tout, trouvent des moments de clarté,
    Des éclats de lumière, dans cette obscurité.
    Elles se tiennent ensemble, unies par leur foi,
    Même si le monde les ballotte, elles gardent l'espoir en soi.

    L'immensité des autres, continue de se perdre,
    Mais les belles âmes, savent qu'elles peuvent aider.
    Avec chaque geste, chaque mot, chaque prière,
    Elles cherchent à guider, à sauver des âmes du désert.

    Les belles âmes, ballottées, dans un jeu maudit,
    Obéissantes et sages, pourtant ici elles pâtissent.
    Mais l'immensité des autres, un festin pour le diable,
    Perdus dans l'ombre, sans espoir, sans parabole.

    Les belles âmes persévèrent, dans ce monde de désillusions,
    Elles sont la lumière dans l'obscurité, malgré les confusions.
    Et même si le diable festoie, elles restent debout,
    Brillant dans la nuit, comme des étoiles malgré tout.

  • 10
    Femmes de mon passé
    00:03:42

    Lorsqu'une âme se livre entièrement, sans réserve, sans crainte,
    Elle ouvre son cœur, vulnérable, à la lumière, à l'ombre.
    Mais si elle tombe entre les mains d'un démon, d'un dément,
    Elle souffre éperdument, son esprit brisé, ses rêves en lambeaux.

    Elle se sent trahie, l'amour transformé en douleur,
    Son cœur saigne, sa confiance piétinée par la peur.
    Mais malgré tout, elle espère encore, pense que son bourreau peut changer,
    Son amour puissant croit encore, même dans les ténèbres, à la lumière.

    Rien n'est fait, rien n'est possible,
    Son amour, même trahi, reste invincible.
    Dans les mains du démon, elle souffre éperdument,
    Mais son cœur croit encore à l'espoir, obstinément.

    Elle voit la noirceur, les mensonges, les trahisons,
    Mais son cœur refuse d'abandonner, d'accepter l'abandon.
    Chaque larme, chaque cri, chaque nuit de tourment,
    Elle pense encore que son bourreau peut être sauvé, qu'il n'est pas trop tard.

    Son amour est une flamme, fragile mais persistante,
    Elle espère, elle prie, que la lumière perce l'ombre dense.
    Mais le démon se nourrit de sa souffrance, de ses peurs,
    Il joue avec son cœur, la plongeant toujours plus dans la douleur.

    Rien n'est fait, rien n'est possible,
    Son amour, même trahi, reste invincible.
    Dans les mains du démon, elle souffre éperdument,
    Mais son cœur croit encore à l'espoir, obstinément.

    Ses nuits sont remplies de cauchemars, de cris silencieux,
    Elle se débat, cherche une issue, un chemin lumineux.
    Mais les chaînes de l'ombre sont fortes, son cœur est lourd,
    Elle veut croire encore, mais chaque jour, elle tombe un peu plus.

    Rien n'est fait, rien n'est possible, son amour est aveuglé,
    Elle voit encore une lueur, même si tout est dévasté.
    Dans les bras du démon, elle espère une rédemption,
    Mais la réalité la frappe, il n'y a plus de solution.

    Elle doit apprendre à se libérer, à se sauver,
    A laisser derrière elle la douleur, la trahison des mauvais.
    Son amour restera, mais pour elle-même désormais,
    Elle trouvera la force, la lumière pour avancer.

    Rien n'est fait, rien n'est possible,
    Son amour, même trahi, reste invincible.
    Dans les mains du démon, elle souffre éperdument,
    Mais son cœur croit encore à l'espoir, obstinément.

    Elle se relève, fragile mais déterminée,
    L'amour pour elle-même, une nouvelle vérité.
    Les démons ne pourront plus jamais la briser,
    Elle avance vers la lumière, prête à tout recommencer.

    C'est comme cela que j'ai vécu, au milieu de vous, femmes de mon passé.
    Vos esprits malades qui ont tout dévoré.
    Ne m'ont laissé que des miettes de bonheurs.
    Et des peines, des malheurs.

  • 11
    Au-dessus de moi
    00:03:10

    Dans l'avion, tu survoles la France, les yeux rivés au hublot,
    Le ciel est dégagé, pas un nuage, juste la terre en contrebas.
    Des maisons solitaires, éparpillées comme des étoiles,
    Et tu te perds dans tes pensées, te demandes qui y vit, qui y meurt.

    Quelles histoires se cachent là-bas, dans ces foyers silencieux ?
    Des âmes cherchent-elles comme toi, un sens, un écho ?
    Peut-être une âme faite pour toi, un diamant caché,
    Un trésor dans l'ombre, attendant d'être trouvé.

    Tu survoles la France, les cœurs et les vies,
    Des âmes solitaires en quête d'un abri.
    Peut-être une âme faite pour toi, un trésor à découvrir,
    Un amour caché, prêt à s'ouvrir.

    Chaque village, chaque maison, un univers à part,
    Des vies entremêlées, des joies, des peines, des regards.
    Tu t'imagines des histoires, des rencontres, des destins croisés,
    Peut-être qu'en bas, quelqu'un pense à toi, sans même te connaître.

    La nuit tombe, les lumières s'allument, un monde en miniature,
    Tu te sens petit, face à l'immensité, à cette aventure.
    Peut-être qu'un jour, tu poseras les pieds sur ce sol inconnu,
    Et trouveras l'âme sœur, celle que tu attends, dans cet univers inattendu.

    Tu survoles la France, les cœurs et les vies,
    Des âmes solitaires en quête d'un abri.
    Peut-être une âme faite pour toi, un trésor à découvrir,
    Un amour caché, prêt à s'ouvrir.

    Les nuages peuvent revenir, cacher la vue,
    Mais ton cœur reste en quête, cherchant l'inconnu.
    Dans chaque maison, chaque rue, une possibilité,
    Une âme qui pourrait être la tienne, une belle vérité.

    L'avion descend, le voyage touche à sa fin,
    Mais tes pensées restent hautes, volant encore, sans fin.
    Peut-être que demain, tu trouveras ce que tu cherches,
    Une âme précieuse, un diamant dans cette mer de terres et de perches.

    Je garde l'espoir, malgré les doutes, les incertitudes,
    Qu'un jour, tu trouveras l'amour, dans cette multitude.
    Et alors, je saurai que ce vol, ces pensées,
    T'ont mené à ce trésor, cette âme qui t'était destinée.

    Tu survoles la France, les cœurs et les vies,
    Des âmes solitaires en quête d'un abri.
    Peut-être une âme faite pour toi, un trésor à découvrir,
    Un amour caché, prêt à s'ouvrir.

    L'avion atterrit, mais ton cœur reste en vol,
    Cherchant l'âme précieuse, sous ce vaste ciel.
    Peut-être demain, tu trouveras ce trésor,
    Et l'amour deviendra enfin ton décor.

  • 12
    Brique par brique
    00:03:51

    Comme on construit un mur, brique après brique,
    On purifie notre âme, épreuve après épreuve, pas à pas,
    Chaque défi sur le chemin, chaque cicatrice,
    Nous forme, nous façonne, dans ce voyage d'éclats.

    Les tempêtes de la vie, les moments de doute,
    Nous testent, nous poussent à trouver notre propre voie.
    Sommes-nous assez sages pour en tirer profit,
    Pour voir la beauté dans les leçons de chaque jour et chaque nuit ?

    Brique par brique, épreuve après épreuve,
    On bâtit notre âme, on la rend plus noble.
    Sommes-nous assez sages pour voir la lumière,
    Dans chaque pas, dans chaque prière ?

    Les murs que nous élevons, parfois fragiles,
    Se renforcent avec chaque chute, chaque relance.
    Nos âmes, telles des forteresses, se révèlent subtiles,
    À travers les défis, les rêves, les danses.

    La sagesse ne vient pas sans douleur, sans lutte,
    C'est dans les moments sombres qu'on apprend à briller.
    Est-ce que nous voyons les trésors dans la chute,
    Les leçons cachées, les bénédictions voilées ?

    Brique par brique, épreuve après épreuve,
    On bâtit notre âme, on la rend plus noble.
    Sommes-nous assez sages pour voir la lumière,
    Dans chaque pas, dans chaque prière ?

    Chaque épreuve est une pierre, chaque douleur un mortier,
    On façonne notre être, on le rend plus fort, plus vrai.
    La sagesse s'acquiert, elle ne se donne pas,
    Elle se mérite, elle se cherche, elle se trouve pas à pas.

    Un mur solide, une âme épurée,
    C'est le fruit de nos combats, de nos victoires.
    Dans chaque brique posée, une part de vérité,
    Une preuve de notre courage, de notre gloire.

    La sagesse est un voyage, un chemin à tracer,
    Chaque épreuve une étape, chaque succès une marche.
    Sommes-nous assez sages pour tout embrasser,
    Pour voir dans chaque instant, la vie qui s'acharne et nous marche ?

    Brique par brique, épreuve après épreuve,
    On bâtit notre âme, on la rend plus noble.
    Sommes-nous assez sages pour voir la lumière,
    Dans chaque pas, dans chaque prière ?

    Comme on construit un mur, nous avançons,
    Main dans la main avec la vie, sans abandon.
    Sommes-nous assez sages pour voir la beauté,
    Dans chaque brique, dans chaque vérité ?

  • 13
    Une amie, un amour
    00:03:48

    Tu as une amie sincère, toujours là pour toi,
    Elle t'écoute, te comprend, même dans le froid.
    Elle affronte tes erreurs, défie tes terreurs,
    Dans ses yeux, tu vois une lueur de douceur.

    Elle te soutient, même quand tu tombes,
    Elle est là, à chaque chute, chaque ombre.
    Tu rêves d'une femme qui pourrait t'apporter,
    Autant de réconfort, tant d'amour à donner.

    Si elle était comme ton amie, ce serait magique,
    Son amour, sa tendresse, comme un rythme symphonique.
    Mais tu cherches loin ce qui est tout près,
    Car celle que tu attends est déjà à tes côtés.

    Elle connaît tes peurs, tes plus sombres secrets,
    Elle reste, même quand tout le monde s'en va, c'est vrai.
    Ses paroles sont des baumes, ses gestes des poèmes,
    Elle est là, fidèle, chaque jour elle t'aime.

    Tu te perds à chercher une autre étoile,
    Mais la lumière est là, elle brille sans voile.
    Cette femme idéale, que tu désires tant,
    Elle est juste là, près de toi, à chaque instant.

    Si elle était comme ton amie, ce serait magique,
    Son amour, sa tendresse, comme un rythme symphonique.
    Mais tu cherches loin ce qui est tout près,
    Car celle que tu attends est déjà à tes côtés.

    Parfois, on cherche loin ce qui est si proche,
    On ignore le trésor dans notre poche.
    Ouvre les yeux, regarde bien autour,
    L'amour est là, juste à côté, chaque jour.

    Tu réalises enfin, elle est toujours là,
    Cette amie fidèle, cette femme en toi.
    Elle t'apporte plus que tu ne pensais,
    Elle est ton rêve, ta réalité, ton ciel étoilé.

    Son amour est pur, son cœur est vrai,
    Elle te donne tout, même quand tu es brisé.
    Arrête de chercher, ouvre ton cœur,
    Elle est là, à tes côtés, pour toujours et à jamais.

    Si elle était comme ton amie, ce serait magique,
    Son amour, sa tendresse, comme un rythme symphonique.
    Mais tu cherches loin ce qui est tout près,
    Car celle que tu attends est déjà à tes côtés.

    Tu as une amie sincère, elle est là pour toi,
    Elle t'aime plus que tu ne le sais, crois-moi.
    Cherche plus loin, regarde à tes côtés,
    Car celle que tu attends est déjà à tes pieds.

  • 14
    Chiens baveux
    00:03:26

    Des âmes errent dans le néant, perdues dans l'obscurité,
    Prisonnières du matériel, esclaves de la superficialité.
    Elles ne comprennent pas, ne veulent pas voir la vérité,
    Trop risqué de remettre en question leur réalité.

    Elles errent dans les rues, sans but, sans lumière,
    Des ombres grises, des silhouettes solitaires.
    Cherchant un sens dans un monde fait d'apparences,
    Esclaves du pouvoir, de la richesse, de l'ignorance.

    Ces âmes errent dans le néant, dans l'ombre de leur ignorance,
    Prisonnières d'un monde matérialiste, sans conscience.
    Elles ne voient pas la lumière, prisonnières de leur noirceur,
    Des chiens qui bavent sur un monde divin, sans saveur.

    Elles sont aveuglées par l'appât du gain,
    Cherchant toujours plus, dans un cycle sans fin.
    Elles ignorent les cris de leur âme affamée,
    Préférant s'abreuver des illusions du monde matérialisé.

    Elles errent, telles des zombies, dans un désert d'illusion,
    Assoiffées de pouvoir, de possession, de domination.
    Mais au fond de leur cœur, une voix murmure,
    Espérant qu'un jour, elles trouveront la clé qui les libère.

    Ces âmes errent dans le néant, dans l'ombre de leur ignorance,
    Prisonnières d'un monde matérialiste, sans conscience.
    Elles ne voient pas la lumière, prisonnières de leur noirceur,
    Des chiens qui bavent sur un monde divin, sans saveur.

    Mais même dans l'obscurité la plus profonde,
    Il y a toujours un espoir qui gronde.
    Que ces âmes égarées un jour puissent se réveiller,
    Et voir la beauté qui les entoure, l'amour qui les appelle.

    Alors que ces âmes errent, grises, sombres, noires souvent,
    Peut-être un jour trouveront-elles la lumière, l'amour divin.
    Mais jusqu'à ce jour, elles restent des chiens,
    Qui bavent sur un monde divin, sans saveur, sans fin.

  • 15
    Intelligence du cœur
    00:03:49

    Yeah, laissez-moi vous parler d'une intelligence différente,
    Celle du cœur, une lumière qui transcende la matière ambiante.
    Ouvrez vos esprits, laissez-vous imprégner,
    Par les mots qui viennent du fond de mon coeur et de mon être.

    Première partie, l'intelligence du cœur
    Est de loin plus douce qu'une soeur.

    L'intelligence du cœur, c'est ce lien qui nous unit,
    Au-delà des mots, des gestes et des bruits.
    C'est cette capacité à ressentir, à empathiser, à aimer,
    À voir au-delà des apparences, à nous transcender.

    C'est l'art de comprendre sans juger,
    De pardonner sans retenue, de se relever.
    C'est cette force qui guide nos pas, nos actions et nos choix,
    Une boussole intérieure qui nous montre la voie.

    L'intelligence du cœur est une lumière dans la nuit,
    Elle éclaire nos vies, nous rend plus forts, plus unis.
    Elle nous relie, nous élève, nous transforme en sagesse,
    C'est le plus précieux des trésors, une éternelle richesse.

    Deuxième partie, renforcer et acquérir
    C'est la clef pour mieux grandir.

    Pour cultiver cette intelligence, il faut d'abord écouter,
    Les battements de son cœur, les murmures de son être.
    Il faut pratiquer l'art de la compassion, de la bienveillance,
    Ouvrir son cœur, même face à l'adversité, à la souffrance.

    Il faut apprendre à se connecter à son essence profonde,
    À méditer, à respirer, à cultiver la paix qui abonde.
    Il faut nourrir son âme d'amour, de gratitude, de joie,
    Et laisser fleurir en soi ce merveilleux émoi.

    L'intelligence du cœur est une lumière dans la nuit,
    Elle éclaire nos vies, nous rend plus forts, plus unis.
    Elle nous relie, nous élève, nous transforme en sagesse,
    C'est le plus précieux des trésors, une éternelle richesse.

    Troisième partie, les bienfaits
    qui nous éloigne des méfaits.

    Cette intelligence nous rend plus humains, plus complets,
    Elle dissipe nos peurs, nos doutes et nos regrets.
    Elle nourrit nos relations, les rend plus profondes, plus vraies,
    Elle nous ouvre au monde, à sa beauté, à sa magie.

    Elle apaise nos tourments, guérit nos blessures,
    Elle donne un sens à nos vies, une pure clarté, une allure.
    Elle nous guide vers la paix intérieure, vers l'harmonie,
    Elle est le secret du bonheur, de l'épanouissement infini.

    L'intelligence du cœur est une lumière dans la nuit,
    Elle éclaire nos vies, nous rend plus forts, plus unis.
    Elle nous relie, nous élève, nous transforme en sagesse,
    C'est le plus précieux des trésors, une éternelle richesse.

    Conclusions, il faut réapprendre à aimer,
    à désirer grandir et évoluer.

    Alors, cultivons cette intelligence, chérissons-la chaque jour,
    Elle est notre force, notre guide, notre amour.
    L'intelligence du cœur, un trésor à partager, à propager,
    Pour illuminer le monde, le transformer, le sauver.

    N'aie pas peur de te lancer, d'apprendre à aimer avec justesse.
    Car cette intelligence t'aidera à accomplir des prouesses.
    Au-delà même des différences, de l'ignorance,
    Elle est la voix du coeur, l'âme de notre enfance.

  • 16
    Âme éveillée
    00:03:20

    Dans l'immensité du cosmos, une âme éveillée contemple,
    La Terre, notre berceau, où l'amour devrait être exemple.
    Elle voit les collines, les vallées, les mers, les cieux,
    Mais ses yeux pleurent, attristés par les déchirements, les adieux.

    Elle se souvient des jours où tout était harmonie,
    Où chaque cœur battait au rythme de l'infini.
    Mais aujourd'hui, elle observe la haine qui se propage,
    Les guerres, les conflits, les cœurs en cage.

    Ô Terre, si belle et si blessée,
    Pourquoi tant de haine, pourquoi tant de malheurs ?
    Une âme éveillée, avec tendresse, vous regarde,
    Espérant que l'amour guérisse vos cœurs.

    Elle voit des enfants pleurer, des mères en deuil,
    Des frères se trahir, des voisins devenir ennemis.
    Les richesses divisent, l'avidité corrompt,
    Les rêves se brisent, les espoirs s’effondrent.

    Elle ressent chaque douleur, chaque cri étouffé,
    Chaque acte de violence, chaque cœur brisé.
    Pourtant, elle sait qu'en chaque âme sommeille une étincelle,
    Un potentiel d'amour, une lumière éternelle.

    Ô Terre, si belle et si blessée,
    Pourquoi tant de haine, pourquoi tant de malheurs ?
    Une âme éveillée, avec tendresse, vous regarde,
    Espérant que l'amour guérisse vos cœurs.

    Elle envoie des ondes d'amour, des prières silencieuses,
    Espérant toucher des âmes, réchauffer les cœurs, les consciences.
    Elle croit encore en l'humain, en sa capacité à changer,
    À retrouver la lumière, à se réinventer.

    Pour chaque acte de bonté, chaque geste tendre,
    Elle sourit, elle espère, elle voit les cœurs s’étendre.
    Elle sait que l'amour est plus fort que la haine,
    Qu'il peut guérir les blessures, effacer la peine.

    Elle continue de veiller, avec tendresse et foi,
    Sur cette Terre, notre maison, notre fragile émoi.
    Et même si les jours sont sombres, les nuits glaciales,
    Elle croit en l'amour, en l'espoir, en un futur idéal.

    Ô Terre, si belle et si blessée,
    Pourquoi tant de haine, pourquoi tant de malheurs ?
    Une âme éveillée, avec tendresse, vous regarde,
    Espérant que l'amour guérisse vos cœurs.

    Avec un sourire doux, une prière silencieuse,
    Elle envoie son amour, infiniment précieuse.
    Une âme éveillée, veillant sur nous tous,
    Espérant que l'amour, un jour, triomphera de tout.

  • 17
    Huit ans déjà
    00:07:56

    Huit ans ont passé, maman, depuis que tu t'es envolée,
    Mais ton amour reste, près de moi, à jamais gravé.
    Chaque jour sans toi, mon cœur te cherche encore,
    Ton sourire, ta voix, ton amour qui m'entoure.

    Tu viens dans mes rêves, me guide dans l'ombre,
    Ta sagesse m'éclaire, même quand tout semble sombre.
    Tu m'as protégé, maman, de ton amour infini,
    Dans ce monde de troubles, tu es mon abri.

    Maman, je sens ta présence, douce et tendre,
    Ton amour m'embrasse, même quand tout semble flamber.
    Je vais bientôt te rejoindre, là-haut, près de la lumière,
    Fatigué de ce monde, je cherche la paix sincère.

    Chaque année qui passe, mon amour pour toi grandit,
    Ton souvenir est vivant, dans chaque battement de ma vie.
    Tu m'as dit, maman, que bientôt je te retrouverai,
    Là où règne la lumière, où les âmes sont apaisées.

    Je suis fatigué, détruit par ce monde cruel,
    Les maladies, les ennuis, m'ont rendu frêle.
    Je n'ai plus de force, je veux juste ta tendresse,
    Avant de quitter cette vie, rejoindre ta noblesse.

    Maman, je sens ta présence, douce et tendre,
    Ton amour m'embrasse, même quand tout semble flamber.
    Je vais bientôt te rejoindre, là-haut, près de la lumière,
    Fatigué de ce monde, je cherche la paix sincère.

    Le jour approche, maman, où je m'envolerai,
    Te retrouver parmi les étoiles, enfin libéré.
    Ta voix me murmure des mots de réconfort,
    Me disant que l'amour vrai est plus fort que la mort.

    Les souvenirs défilent, chaque sourire partagé,
    Chaque moment précieux, chaque instant aimé.
    Ton amour m'a donné la force de continuer,
    Mais maintenant, je suis prêt à te retrouver.

    Je veux sentir ta chaleur, ton étreinte maternelle,
    Être enveloppé de ta lumière, douce et éternelle.
    Fatigué de ce monde, je laisse tout derrière,
    Pour te rejoindre, maman, dans la lumière claire.

    Maman, je sens ta présence, douce et tendre,
    Ton amour m'embrasse, même quand tout semble flamber.
    Je vais bientôt te rejoindre, là-haut, près de la lumière,
    Fatigué de ce monde, je cherche la paix sincère.

    Maman, attends-moi, je viens vers toi,
    Je vais bientôt m'envoler, retrouver ta voie.
    Dans la lumière divine, je trouverai ma place,
    Avec toi, maman, je retrouverai ma grâce.

  • 18
    Débordant de lumière
    00:04:02

    L'âme déborde, éclate hors de moi,
    Tellement de lumière, qu'aucun mot ne peut dire,
    Chaque jour, je m'épuise, je donne tout ce que j'ai,
    L'humanité me frappe, tente de me maîtriser.

    Ils ne comprennent pas, je suis un homme de passion,
    Avec chaque fouet, je ressens la leçon.
    Mais malgré la douleur, je ne peux pas m'arrêter,
    Mes mots sont ma force, c'est ainsi que je vais briller.

    Je suis un homme, débordant de lumière,
    Épuisé par le monde, mais jamais à terre.
    J'écris mes chansons, mes plus beaux messages,
    Avant de partir, heureux et sage.

    Chaque note, chaque rime, c'est une part de mon âme,
    Je mets tout mon cœur, dans chaque flamme.
    L'humanité veut me briser, mais je reste debout,
    Car ma lumière, mon amour, sont bien plus que des mots.

    Je chante pour les âmes, perdues dans le noir,
    Pour leur montrer la voie, pour raviver l'espoir.
    Même épuisé, je continue de créer,
    Parce que je sais, que c'est ainsi que je vais briller.

    Je suis un homme, débordant de lumière,
    Épuisé par le monde, mais jamais à terre.
    J'écris mes chansons, mes plus beaux messages,
    Avant de partir, heureux et sage.

    Ils peuvent tenter de m'éteindre, de me faire taire,
    Mais mon âme, ma voix, résonnent dans l'air.
    Chaque chanson, une prière, une déclaration,
    Pour que mon message, atteigne chaque nation.

    Je sais que mon temps, ici, est limité,
    Mais tant que je respire, je vais continuer.
    Écrire des dizaines de chansons, avec tout mon amour,
    Pour que mon esprit, vive pour toujours.

    Je suis un homme, épuisé mais rempli de foi,
    Chaque mot, chaque rime, témoigne de ma voie.
    Je ne crains pas la fin, car je sais que j'ai donné,
    Tout ce que j'avais, avant de m'envoler.

    Je suis un homme, débordant de lumière,
    Épuisé par le monde, mais jamais à terre.
    J'écris mes chansons, mes plus beaux messages,
    Avant de partir, heureux et sage.

    Mon âme, ma lumière, brilleront éternellement,
    Dans chaque mot, chaque rime, à travers le temps.
    Je pars, mais je laisse un héritage,
    De chansons, de lumière, de sagesse et de courage.

  • 19
    Je marche
    00:03:58

    Chaque jour, je marche, la foi comme une armure,
    Les bras de Dieu m'enlacent, dans chaque coin de rue.
    Les mains de Jésus, posées sur mes épaules,
    Je ressens l'amour, la lumière qui m'enrôle.

    Mais quand je regarde autour, dans les yeux des hommes,
    Je cherche cette flamme, ce feu qui résonne.
    Hélas, je ne vois que l'ombre, la noirceur,
    L'humain est possédé par ses propres erreurs.

    Je ressens Dieu partout, sauf dans l'humain,
    J'aimerais tant voir en eux, cet amour divin.
    Mais c'est cause perdue, peine perdue,
    L'humain s'est égaré, dans son enfer perpétu'.

    Je traverse les tempêtes, le cœur plein de foi,
    Chaque étoile, chaque souffle, me murmure Sa voix.
    Dans les fleurs, les rivières, je trouve Sa grâce,
    Mais l'humanité, elle, se noie dans la disgrâce.

    Je voudrais leur montrer, leur faire comprendre,
    Que l'amour divin est là, juste à attendre.
    Mais leurs cœurs sont fermés, leurs âmes endurcies,
    Ils préfèrent le chaos, à la lumière infinie.

    Je ressens Dieu partout, sauf dans l'humain,
    J'aimerais tant voir en eux, cet amour divin.
    Mais c'est cause perdue, peine perdue,
    L'humain s'est égaré, dans son enfer perpétu'.

    Et pourtant, je ne cesse d'espérer,
    Qu'un jour, l'amour divin pourra les libérer.
    Qu'ils ouvriront leurs cœurs, qu'ils verront la lumière,
    Mais pour l'instant, l'obscurité les enferme.

    Alors je prie, je garde l'espoir en vie,
    Même si l'humain semble perdu, sans harmonie.
    Je continue de croire, de porter cette foi,
    Car peut-être un jour, ils suivront cette voie.

    Je ressens toujours, les bras de Dieu m'enlacer,
    Les mains de Jésus, sur mes épaules posées.
    Et même si l'humain est pris dans ses enfers,
    Mon amour, ma foi, resteront sincères.

    Je ressens Dieu partout, sauf dans l'humain,
    J'aimerais tant voir en eux, cet amour divin.
    Mais c'est cause perdue, peine perdue,
    L'humain s'est égaré, dans son enfer perpétu'.

    Je marche avec foi, même dans l'obscurité,
    Portant l'amour de Dieu, malgré leur vanité.
    Car un jour, peut-être, ils verront la lumière,
    Et comprendront enfin, l'amour de notre Père.

  • 20
    Ô Dieu
    00:03:59

    Dans le silence du matin, je ressens ta lumière,
    Comme un doux murmure, tu apaises mes prières.
    Chaque rayon de soleil, chaque souffle du vent,
    C'est ton amour divin, pur et bienveillant.

    Comme un enfant, je te cherche, je te trouve partout,
    Dans les étoiles du ciel, dans le sourire des loups.
    Ton amour est infini, il berce mon cœur,
    Je suis ébloui par ta grâce, ta douce chaleur.

    Ô Dieu, mon amour pour toi est sans fin,
    Comme une rivière d'étoiles, un éternel refrain.
    Tu es la lumière, la tendresse infinie,
    Dans tes bras, je trouve la paix, l'harmonie.

    Quand je me sens perdu, ton amour me guide,
    Comme une main douce, qui jamais ne se déride.
    Chaque fleur, chaque arbre, chaque feuille qui danse,
    C'est ton message d'amour, ta divine présence.

    Comme un enfant émerveillé, je contemple ta création,
    Chaque détail, chaque vie, témoigne de ta passion.
    Ton amour est une symphonie, un chant céleste,
    Je suis comblé de tendresse, dans ta lumière, je me reste.

    Ô Dieu, mon amour pour toi est sans fin,
    Comme une rivière d'étoiles, un éternel refrain.
    Tu es la lumière, la tendresse infinie,
    Dans tes bras, je trouve la paix, l'harmonie.

    Je lève les yeux au ciel, et je te vois sourire,
    Chaque étoile, chaque nuage, me parle de ton désir.
    De voir tes enfants heureux, enveloppés d'amour,
    De nous offrir ta grâce, jour après jour.

    Mon cœur chante pour toi, un hymne de gratitude,
    Chaque battement, chaque souffle, te rend hommage en multitude.
    Ton amour est mon refuge, ma forteresse sacrée,
    Dans ton infinie tendresse, je suis à jamais comblé.

    Comme un enfant, je te suis, sans peur, sans doute,
    Ton amour est mon guide, sur cette belle route.
    Avec toi, je découvre, la beauté de chaque instant,
    Merci, ô Dieu, pour cet amour si grand.

    Ô Dieu, mon amour pour toi est sans fin,
    Comme une rivière d'étoiles, un éternel refrain.
    Tu es la lumière, la tendresse infinie,
    Dans tes bras, je trouve la paix, l'harmonie.

    Je termine cette chanson, les yeux pleins d'étoiles,
    Merci pour ton amour, ta présence royale.
    Dans ta lumière, je suis à jamais émerveillé,
    Ô Dieu, mon cœur t'appartient, pour l'éternité.

  • 21
    Ma prière
    00:03:59

    Depuis tout petit, je cherche un sens à ma vie,
    Dans ce monde grossier, où l'amour se perd et s'enfuit.
    Je rêve de retrouver ces belles âmes que j'aime,
    Loin de cette terre, où les cœurs se referment.

    Dans chaque sourire d'enfant, je vois un éclat,
    De cette pureté perdue, que je ne retrouve pas.
    Je me sens étranger, dans ce monde si cruel,
    Mon cœur aspire à la lumière, à un amour éternel.

    Ô Dieu, prends-moi dans tes bras, emmène-moi là-haut,
    Retrouver les âmes que j'aime, loin de ce chaos.
    Ton amour est mon refuge, ma douce maison,
    Je veux vivre en ta présence, loin de toute illusion.

    Les étoiles me murmurent des secrets, des promesses,
    Que quelque part, là-haut, il y a une place de tendresse.
    Chaque nuit, je ferme les yeux et je prie,
    Pour retrouver ces âmes pures, dans un ciel infini.

    Dans ce monde dégueulasse, où tout semble si vain,
    Je cherche la beauté, la douceur d'un matin.
    Mon cœur est un vagabond, en quête d'un ailleurs,
    Où l'amour et la paix règnent en douceur.

    Ô Dieu, prends-moi dans tes bras, emmène-moi là-haut,
    Retrouver les âmes que j'aime, loin de ce chaos.
    Ton amour est mon refuge, ma douce maison,
    Je veux vivre en ta présence, loin de toute illusion.

    Les anges me guident, dans mes rêves les plus doux,
    Vers un jardin secret, où l'amour est partout.
    Je sens ta présence, comme une douce mélodie,
    Qui apaise mon cœur, et me remplit d'harmonie.

    Ô Dieu, entends ma prière, vois mon désir sincère,
    De retrouver ces belles âmes, au-delà de cette terre.
    Ton amour est un phare, dans la nuit de ma vie,
    Je veux m'éveiller en ta lumière, pour l'éternité.

    Chaque jour qui passe, mon cœur se languit,
    De ces retrouvailles célestes, où tout est infinie.
    Je suis prêt à te suivre, où que tu me mènes,
    Pour retrouver ces âmes, et apaiser mes peines.

    Ô Dieu, prends-moi dans tes bras, emmène-moi là-haut,
    Retrouver les âmes que j'aime, loin de ce chaos.
    Ton amour est mon refuge, ma douce maison,
    Je veux vivre en ta présence, loin de toute illusion.

    Merci, ô Dieu, pour ton amour éternel,
    Dans tes bras, je trouverai la paix, l'essentiel.
    Retrouver ces belles âmes, au-delà des étoiles,
    Avec toi, je me sentirai enfin à ma place, loyal.

  • 22
    Un monde d'émotions
    00:03:36

    Depuis tout petit, je ressens ce lien mystique,
    Une connexion profonde, une harmonie fantastique.
    L'éther me parle, l'astral me guide,
    Dans ce monde d'émotions, où mon âme réside.

    Chaque étoile est un phare, chaque souffle, une caresse,
    Je flotte dans l'univers, porté par la tendresse.
    Les corps célestes murmurent des secrets doux,
    Je suis un enfant de l'éther, fidèle et fou.

    Dans ce monde d'émotions, je trouve ma raison,
    Lié à l'astral, je danse avec les saisons.
    Unité stratégique, au-delà des déraisons,
    Je m'épanouis en amour, au rythme de ma vision.

    Les astres veillent sur moi, avec une douce clarté,
    Leurs murmures me bercent, me montrent la voie sacrée.
    Je suis lié à l'invisible, à ce royaume infini,
    Où l'amour et la paix s'entrelacent, unis.

    Je traverse les dimensions, porté par des ailes d'argent,
    Dans ce monde d'émotions, je suis un enfant.
    Chaque vibration, chaque onde, résonne en moi,
    Une symphonie divine, un chant de joie.

    Dans ce monde d'émotions, je trouve ma raison,
    Lié à l'astral, je danse avec les saisons.
    Unité stratégique, au-delà des déraisons,
    Je m'épanouis en amour, au rythme de ma vision.

    Les voiles se lèvent, dévoilant des mystères,
    Je suis un voyageur, dans cet océan d'éther.
    Chaque sensation, chaque couleur, est un poème,
    Un chant d'amour éternel, qui coule dans mes veines.

    Avec tendresse et magie, je navigue dans cet espace,
    Où les corps et les âmes dansent en grâce.
    L'éther m'entoure, l'astral me soutient,
    Dans ce monde d'émotions, je suis enfin bien.

    Je ressens chaque pulsation, chaque battement,
    Comme un écho d'amour, un lien permanent.
    Je suis connecté, aligné avec l'univers,
    Un enfant de l'éther, porté par la lumière.

    Dans ce monde d'émotions, je trouve ma raison,
    Lié à l'astral, je danse avec les saisons.
    Unité stratégique, au-delà des déraisons,
    Je m'épanouis en amour, au rythme de ma vision.

    Merci, ô univers, pour cette connexion sacrée,
    Dans ce monde d'émotions, je me sens entier.
    Lié à l'éther, à l'astral et à la lumière,
    Je suis un enfant de l'amour, guidé par la prière.

  • 23
    Tant de leur poids
    00:02:50

    Tant de leur poids

    Depuis les jours où mes pas vacillaient,
    J’observais le monde, les yeux embués,
    Voyant les grands s’entêter, s’éparpiller,
    Sans deviner le mal qu’ils me laissaient.

    Les jeux des hommes sont faits de barbelés et de murs,
    Des tours d'ivoire pleines de pièges, des erreurs qui perdurent.
    Ils vivent sans savoir. Ils tournent en rond,
    S’enchaînent à leurs destins, à leur propre abandon.

    Et moi, déjà trop petit, j’avais déjà cette vision,
    De leurs tristesses qui me glissent des leçons.

    Pourquoi supporter tant de leur poids ?
    Ce sont leurs chaînes, Ce n'est pas ma croix.
    Leur avenir, pour eux c'est l'invisible,
    Et le mien, perdu, ils le rendent terrible.
    Mon cœur voit loin, leurs yeux voient trop court,
    Et je porte l’ombre de leurs trop longs détours.

    À quatre ans, je voyais les chemins,
    Ceux-là même où ils trébuchent sans fin.
    Leurs choix aveugles, leurs débris sans atour.
    Ils marquent mes jours comme de tristes vautours.
    Leurs pas lents blessent l’enfant qui est en moi,
    Qui, au regard du futur, crie en silence, en émoi.
    Et moi, déjà trop petit, j’avais déjà cette vision,
    De leurs tristesses qui me glissent des leçons.
    Pourquoi dois-je supporter tant de leur poids ?
    Ce sont leurs chaînes, Ce n'est pas ma croix.
    Leur avenir, pour eux c'est l'invisible,
    Et le mien, perdu, ils le rendent terrible.
    Mon cœur voit loin, leurs yeux voient trop court,
    Et je porte l’ombre de leurs trop longs détours.

    Ils ne voient pas que sur l’échiquier il y a des cases cachées,
    Où chaque fou pourrait tous nous sauver.
    Les échecs, comme de mauvais joueurs, ils se les construisent,
    Et moi, je souffre de leurs jugements et de leurs méprises.

    Et moi, déjà trop petit, j’avais déjà cette vision,
    De leurs tristesses qui me glissent des leçons.

    Pourquoi supporter tant de leur poids ?
    Ce sont leurs chaînes, Ce n'est pas ma croix.
    Leur avenir, pour eux c'est l'invisible,
    Et le mien, perdu, ils le rendent terrible.
    Mon cœur voit loin, leurs yeux voient trop court,
    Et je porte l’ombre de leurs trop longs détours.

    Un jour peut-être, ils verront tout ce mal,
    Ces ombres qu’ils lancent sur chacun de mes pas.
    Mais d’ici là, je garde mes rêves de cristal,
    Et je pardonne leur nuit sans éclat.

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