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Elle est allongée, paisiblement,
Sur un transat, au bord du firmament.
Devant la mer, la vie est douce,
Elle savoure chaque instant, elle en est la source.

La brise légère caresse son visage,
Les vagues murmurent un doux message.
Elle ferme les yeux, se laisse porter,
Par la douceur de la vie, elle est en paix.

Le soleil joue, entre les feuilles,
Les oiseaux chantent, la mer s'émerveille.
Sur sa terrasse, le monde est parfait,
Elle sourit, elle est comblée.

La brise légère caresse son visage,
Les vagues murmurent un doux message.
Elle ferme les yeux, se laisse porter,
Par la douceur de la vie, elle est en paix.

Les soucis s'envolent, loin derrière,
Elle respire, elle vit, légère comme l'air.
Chaque instant est un trésor,
Sur cette terrasse, elle trouve son réconfort.

Le temps s'arrête, dans ce coin de paradis,
Elle profite, elle sourit à la vie.
Paisiblement, elle se laisse aller,
Sur son transat, devant la mer, apaisée.

La brise légère caresse son visage,
Les vagues murmurent un doux message.
Elle ferme les yeux, se laisse porter,
Par la douceur de la vie, elle est en paix.

Le monde est beau, tout est parfait.
Sur sa terrasse, elle savoure la vie,
Paisiblement, elle est comblée, infinie.

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Elle se promène dans une forêt d'automne,
Le soleil perce et les cimes frissonnent.
Des rayons délicats meurent sur la mousse fanée,
Ses pas font bruire les feuilles mortes fatiguées.

L'air est encore doux, les arbres se colorent
En orange et jaune, la nature s'endort.
Elle marche tranquille, son cœur est apaisé,
Dans la forêt d'automne, elle se laisse bercer.

Les arbres chuchotent des histoires anciennes,
Elle sourit, ces instant précieux, elle les aime.
Les feuilles dansent, au gré du vent,
Elle respire, ce parfum captivant.

L'air est encore doux, les arbres se colorent
En orange et or, la nature s'endort.
Elle marche tranquille, son cœur est apaisé,
Dans la forêt d'automne, elle se laisse bercer.

Chaque pas est une mélodie,
Sous le ciel doré, elle se réjouit.
Le monde se transforme en cette saison,
Elle retrouve la paix, au gré des émotions.

Les sentiers dorés, des secrets révélés,
Elle contemple la vie, émerveillée.
Le soleil descend, en doux rayons,
Elle se promène, dans cette belle saison.

L'air est encore doux, les arbres se colorent
En orange et marron, la nature s'endort.
Elle marche tranquille, son cœur est apaisé,
Dans la forêt d'automne, elle se laisse bercer.

La forêt murmure, un adieu léger,
Elle quitte l'instant, mais son cœur est comblé.
Un automne en forêt, un souvenir doré,
Elle reviendra, c'est sûr, pour encore rêver.

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Elle marche, dans la neige immaculée,
Autour d'elle, tout est pur, c'est un monde enchanté.
Les flocons dansent sous le ciel d'hiver,
Elle avance doucement, le cœur ouvert.

Elle rentre chez elle, regarde les lumières de Noël,
Un chocolat chaud, son réconfort éternel.
Devant la fenêtre, la forêt est endormie,
Sous le lourd manteau de neige infinie.

Les lumières brillent d'un éclat chaleureux,
Elle sourit pour ce moment merveilleux.
Les guirlandes scintillent de reflets dorés,
Elle savoure la paix, un instant chéri.

Elle rentre chez elle, regarde les lumières de Noël,
Un chocolat chaud est son réconfort de miel.
Devant la fenêtre, la forêt est assoupie,
Sous le lourd manteau de neige infinie.

Sérénité et tendresse, ses rimes en cet hiver,
Elle retrouve la joie, dans cet instant éphémère.
Le silence de la neige, cette douce symphonie,
Son cœur s'apaise, dans cette harmonie.

Les étoiles qui scintillent dans la nuit claire,
Elle contemple la beauté de l'hiver.
Un sentiment de paix l'envahit doucement,
Elle est bien chez elle dans ce monde charmant.

Elle rentre chez elle, regarde les lumières,
Le chocolat chaud léger comme une dentelle.
Devant la fenêtre, la forêt est sans bruit,
Sous le lourd manteau de neige infinie.

La neige tombe dans un voile délicat,
Elle se repose, elle aime cet endroit.
Un hiver paisible, doux et blanc,
Elle rêve éveillée, au gré du temps.

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Elle se promène, au milieu des fleurs,
Premiers bourgeons, promesses de bonheur.
Elle danse, elle tourne, elle est légère,
Sous le ciel bleu, sa joie éclaire.

Elle tourne, elle danse, bonheur infini,
L'air embaume l'herbe et le jasmin fleuri.
Les marguerites sourient, au doux printemps,
Elle savoure la vie, dans cet instant présent.

Les oiseaux chantent, mélodie du cœur,
Elle respire l'air frais de bonheur.
Les rayons du soleil, caressent sa peau,
Elle se sent libre, dans ce monde nouveau.

Elle tourne, elle danse, un bonheur infini,
L'air embaume l'herbe et la glycine fleurie.
Les marguerites sourient au précieux printemps,
Elle savoure la vie, dans cet instant présent.

Chaque pas est une symphonie de couleurs,
Elle cueille des rêves, au fil des heures.
Le printemps lui murmure des secrets d’éveil,
Elle vit l'instant, sous le ciel de vermeil.

Les fleurs s’ouvrent sous l'étreinte du matin,
Elle se perd dans ce jardin divin.
Chaque pétale est une histoire d’amour,
Elle est comblée, en ce beau jour.

Elle tourne, elle danse, une chaleur infinie,
L'air embaume l'herbe et le lys épanoui.
Les marguerites sourient au précieux printemps,
Elle savoure la vie, dans cet instant présent.

Le printemps s'éveille dans de doux éclats,
Elle vit, elle rêve dans ce pré délicat.
Une danse éternelle sous un ciel clair,
Elle est heureuse, au gré de l'air.

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Elle regarde, la nature si belle,
Cette chance de vivre sous un arc-en-ciel.
Elle aime le ruisseau, ce paisible courant,
Les oiseaux qui chantent au matin naissant.

Elle savoure, la vie, comme un gâteau,
Le vent qui murmure dans les rameaux.
Les couleurs du soleil, à l'aube dorée,
Elle respire, gratitude enchantée.

Le vent qui caresse et les feuilles dansent,
Elle ressent, cette douce chance.
Les rayons du soleil qui percent le ciel,
Elle vit, elle respire, c'est essentiel.

Elle savoure, la vie, comme un gâteau,
Le vent qui murmure dans les rameaux.
Les couleurs du soleil, à l'aube dorée,
Elle respire, gratitude enchantée.

Chaque souffle est un trésor précieux,
Elle contemple ce monde merveilleux.
Le matin éclaire, ses pensées sereines,
Elle est comblée, par la nature sans haine.

Le ruisseau chante, sa douce mélodie,
Elle se sent, en harmonie.
Les oiseaux volent, librement dans le ciel,
Elle savoure, ce bonheur éternel.

Elle savoure, la vie, comme un gâteau,
Le vent qui murmure dans les rameaux.
Les couleurs du soleil, à l'aube dorée,
Elle respire, gratitude enchantée.

La nature, un cadeau du destin,
Elle vit, elle aime, chaque matin.
Savoure chaque instant, dans ce monde si beau,
Elle est heureuse, son cœur est chaud.

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Elle a survécu, au pire des combats,
Un cancer du sein, elle a dû l'affronter.
Elle a perdu sa féminité,
Vivante et forte, l'avenir est son allié.

Chaque moment est un rêve précieux,
Elle respire, son cœur est heureux.
Elle savoure, sa vie retrouvée,
Une guerrière, à jamais marquée.

Ses cicatrices, témoignages de sa force,
La douleur est passée, elle retrouve sa voie.
Chaque jour, elle embrasse la vie,
Fière et libre, d'accomplir ses choix.

Chaque moment est un souffle précieux,
Elle respire, son cœur est heureux.
Elle savoure sa vie retrouvée,
Une guerrière, à jamais marquée.

Elle a vu l'ombre, a touché le fond,
Mais la lumière, a guidé ses pas.
Elle danse, dans la lumière du matin,
Chaque souffle, une victoire en soi.

Elle a redécouvert, la beauté du monde,
Les petites choses, lui font chaud au cœur.
Son sourire, éclaire chaque seconde,
Chaque instant, un trésor de douceur.

Chaque moment est un triomphe précieux,
Elle respire, son cœur est heureux.
Elle savoure sa vie retrouvée,
Une guerrière, à jamais marquée.

Elle est vivante, elle est forte,
Chaque jour est un nouveau départ.
Elle embrasse la vie, sans remords,
Une survivante, une étoile dans le noir.

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C’est l’histoire d’une femme, au cœur tendre,
Qui rêve d’amour, de doux matins.
Elle marche seule, mais sait attendre,
L’âme sœur qui viendra prendre sa main.

Chaque moment, une promesse douce,
Elle espère, le cœur en émoi.
Elle savoure, la vie en attente,
Une rêveuse, en quête d’amour.

Ses yeux brillent, d’un éclat serein,
Elle voit la beauté, en chaque instant.
Le vent murmure, des mots câlins,
Son cœur bat fort, elle sent le printemps.

Chaque moment, une promesse douce,
Elle espère, le cœur en émoi.
Elle savoure, la vie en attente,
Une rêveuse, en quête d’amour.

Un jour, il arrive, avec un sourire,
Le destin les unit, comme par magie.
Ils s’embrassent, leurs cœurs chavirent,
Deux âmes sœurs, enfin réunies.

Ils partagent des rires, des larmes aussi,
Des instants de joie, des silences paisibles.
Ils construisent ensemble, un monde infini,
Fait de tendresse, de rêves indicibles.

Chaque moment, une promesse douce,
Ils vivent, le cœur en émoi.
Ils savourent, la vie retrouvée,
Deux âmes unies, en quête d’amour.

Ils avancent, main dans la main,
Leur amour brille, comme une étoile.
Ils savourent chaque jour, chaque matin,
Une histoire douce, remplie de toile.

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L'hiver dépose un doux manteau,
Sur la terre, tout devient beau,
La neige danse au gré du vent,
Les flocons brillent comme des diamants.

Les branches des sapins anciens,
Portent des cristaux de givre fin,
Stalactites fragiles, éclatantes,
Sérénade d'une nuit brillante.

C'est Noël, la magie prend vie,
Les cœurs s'ouvrent à l'infini,
Le sapin brille de mille feux,
Sous un ciel étoilé, merveilleux.

Les enfants rient, impatients,
Attendent le Père Noël, confidents,
Le chocolat chaud fume doucement,
Avec des guimauves, flottant gaiement.

Dans la maison, l'amour rayonne,
La famille réunie, pardonne,
Autour du sapin décoré,
De fleurs et lumières enchantées.

C'est Noël, la magie prend vie,
Les cœurs s'ouvrent à l'infini,
Le sapin brille de mille feux,
Sous un ciel étoilé, merveilleux.

Les étoiles chantent, la lune sourit,
Dans cette nuit d'éternel répit,
Unis par des liens de tendresse,
Noël nous enveloppe de sa caresse.

Les souvenirs se tissent, doux et chauds,
Dans la chaleur des foyers lumineux,
Chaque cadeau, un mot d'amour,
Un symbole de joie pour toujours.

Les regards brillent de l'éclat de l'espoir,
Dans cette nuit, tout devient rare,
Un moment d'éternité gravé,
Dans nos cœurs, à jamais aimé.

C'est Noël, la magie prend vie,
Les cœurs s'ouvrent à l'infini,
Le sapin brille de mille feux,
Sous un ciel étoilé, merveilleux.

Que cette nuit de Noël demeure,
Comme une étoile dans nos cœurs,
Et que la douceur de l'hiver,
Nous rappelle l'amour, toujours sincère.

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Dans l'immensité glaciale, elle file,
Comète solitaire, divine fragile,
Laissant derrière elle un sillon de lumière,
Cherchant un cœur dans l'univers.

Dans le froid mordant de l'infini,
Elle traverse les nuits, sans répit,
Un cœur gelé, en quête d'espoir,
De trouver un ami quelque part.

Elle rêve d'une étoile, d'un soleil ardent,
Pour réchauffer son cœur de diamants,
Une comète en quête d'amour,
Dans l'espace, toujours en parcours.

Un jour, perdue dans le noir,
Elle aperçoit une planète, rare,
Aride et délicate, comme un rêve,
Elle s'approche, doucement, sans trêve.

Elle se fond en elle, apporte son eau,
Dans un impact brillant, un cadeau,
La comète et la planète s’unissent,
Un ballet céleste, une promesse.

Elle rêve d'une étoile, d'un soleil ardent,
Pour réchauffer son cœur de diamants,
Une comète en quête d'amour,
Dans l'espace, toujours en parcours.

Les mois passent, et de l'impact naît,
Une fleur blanche, belle et sacrée,
Témoin d'une union, d'une renaissance,
Dans ce coin de l'univers, une danse.

La planète, autrefois solitaire,
Respire à nouveau, l'air est clair,
La comète a trouvé son soleil,
Dans la fleur, elle voit le merveilleux éveil.

L'eau qu'elle a donnée, un miracle,
Transforme le désert en spectacle,
La fleur blanche, symbole d'amour,
Éclot sous le ciel, chaque jour.

Elle rêvait d'une étoile, d'un soleil ardent,
Pour réchauffer son cœur de diamants,
Elle a trouvé son amour, son parcours,
Dans une fleur, la vie fait retour.

La comète solitaire a trouvé son chemin,
Son cœur réchauffé, elle se sent enfin bien,
Dans l'infini, une étoile brille fort,
Un amour éternel, plus jamais seul, encore.

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Dans la savane brûlante et vaste,
Un vieux lion, puissant et robuste,
Règne en maître, respecté de tous,
Mais son cœur, solitaire, souffre en silence.

Un jour, il entend un cri lointain,
Un faon fragile, seul, orphelin,
Les hyènes rôdent, prêtes à frapper,
Le lion arrive, les fait s’échapper.

Le lion et le faon, une histoire d’amour,
Dans la savane, leur lien est fort chaque jour,
Unis par le destin, si différents,
Le vieux lion protège, le faon ressent.

Du bout du nez, il relève le faon,
Dans ses yeux, une nouvelle mission,
Il veille sur lui, avec tendresse,
Le faon trouve en lui une forteresse.

Le faon grandit, sous la protection,
Du lion puissant, son affection,
Un amour naît, contre toute attente,
Deux cœurs battant dans la même danse.

Le lion et le faon, une histoire d’amour,
Dans la savane, leur lien est fort chaque jour,
Unis par le destin, si différents,
Le vieux lion protège, le faon ressent.

Dans la chaleur des jours dorés,
Le vieux lion n’est plus isolé,
Une vie partagée, pleine d’espoir,
Un amour au-delà du pouvoir.

Les étoiles brillent, la lune sourit,
Sur cette terre, une symphonie,
Un vieux lion, un faon fragile,
Une histoire d’amour, douce et subtile.

Les années passent, et leur lien demeure,
Le lion trouve enfin son bonheur,
Le faon, devenu fort, mais toujours chéri,
Un amour éternel, sans compromis.

La savane chante leur romance,
Un vieux lion et un faon en transe,
Leur amour transcende la nature,
Un conte gravé, pure et sûr.

Le lion et le faon, une histoire d’amour,
Dans la savane, leur lien est fort chaque jour,
Unis par le destin, si différents,
Le vieux lion protège, le faon ressent.

Le vieux lion, c’est mon homme,
Et moi, je suis ce faon fragile,
Il me protège, il me sauve de ces hyènes,
Dans ses bras, je me sens invincible, sans peine.

Son amour me guide, me rassure,
Dans cette vie, douce aventure,
Le vieux lion, mon héros, mon cœur,
Nous sommes unis, pour le meilleur.

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Je rêve d'un enfant, de sa douce présence,
Un petit être à aimer, dans la bienveillance,
Mais le monde est cruel, rempli de douleurs,
Je me demande si c'est sage de l'accueillir à cette heure.

Je voudrais lui offrir un futur lumineux,
Mais je vois tant de visages malheureux,
Comment protéger un cœur si fragile,
Dans un monde où tout semble hostile.

Endoctriné par des mensonges, des illusions,
Mal éduqué, mauvaises fréquentations,
Blessé, harcelé, défiguré,
J'ai trop peur mon beau bébé.

Les nouvelles parlent de haine et de guerre,
Des enfants grandissent dans la misère,
Je veux lui donner un monde meilleur,
Mais la peur me paralyse à cette heure.

Je marche dans les rues, vois la tristesse,
Des enfants perdus, sans tendresse,
La société broie les âmes innocentes,
Et je crains pour toi, si délicate plante.

Endoctriné par des mensonges, des illusions,
Mal éduqué, mauvaises fréquentations,
Blessé, harcelé, défiguré,
J'ai trop peur mon beau bébé.

Mais au fond de moi, une lueur persiste,
Un espoir fragile, qui résiste,
Peut-être que l'amour peut tout changer,
Et rendre ce monde moins étranger.

Je veux croire en un futur radieux,
En un chemin pour toi, merveilleux,
Avec amour et beaucoup de patience,
Briser les chaînes de l'ignorance.

Je me dis qu'avec tendresse et courage,
Nous pourrions surmonter tous les orages,
Offrir à mon enfant une vie meilleure,
Malgré mes peurs, malgré les heures.

Je rêve de te voir sourire et grandir,
Dans un monde que l'on pourrait bâtir,
Mais la peur reste là, tenace, ancrée,
Pour toi, mon amour, je veux tout donner.

Endoctriné par des mensonges, des illusions,
Mal éduqué, mauvaises fréquentations,
Blessé, harcelé, défiguré,
J'ai trop peur mon beau bébé.

Mon cœur balance entre l'espoir et la peur,
Je veux t'offrir un monde rempli de fleurs,
Avec amour et foi en l'avenir,
Peut-être que, malgré tout, tu pourras y grandir.

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Quand je te vois, mon cœur s’emballe,
Une chaleur douce m’envahit,
Ton sourire éclaire mes jours pâles,
Tu es l’étoile de ma vie.

Ton regard, une promesse éternelle,
Il me guide dans l’obscurité,
Chaque moment à tes côtés me donne des ailes,
Comme cette mélodie que je veux te chanter.

Je t’aime plus que les mots ne peuvent le dire,
Chaque instant avec toi est un plaisir,
Mon cœur bat pour toi, sans répit,
Je suis à toi, pour toutes nos vies.

Quand tu es loin de moi, je ressens le manque,
Ton absence me pèse, mon cœur en désarroi,
Mais ton souvenir, doux et tendre,
Me réchauffe quand il fait froid.

Je rêve de toi chaque nuit,
Dans mes pensées, tu es toujours là,
Ton amour est mon doux abri,
Mon refuge, mon seul éclat.

Je t’aime plus que les mots ne peuvent le dire,
Chaque instant avec toi est un plaisir,
Mon cœur bat pour toi, sans répit,
Je suis à toi, pour toutes nos nuits.

Ton amour est un feu qui brûle en moi,
Il éclaire mes jours, chasse mes peurs,
Avec toi, je me sens si forte, si libre, pleine de voix,
Tu es mon rêve, mon âme sœur.

Je veux partager chaque moment,
Construire un avenir, main dans la main,
Avec toi, tout est si différent,
Tu es mon bonheur, mon chemin.

Tes mots doux sont des caresses,
Ton rire, une symphonie,
Avec toi, je trouve la paix,
Tu es mon amour infini.

Je t’aime plus que les mots ne peuvent le dire,
Chaque instant avec toi est un plaisir,
Mon cœur bat pour toi, sans répit,
Je suis à toi, pour l'infini.

Dans tes bras, je trouve ma maison,
Ton amour est ma plus belle chanson,
Je te promets, pour l’éternité,
Je t’aimerai, sans jamais faiblir, jamais.

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Mon cœur se serre, mon enfant s'éloigne,
Un fils autrefois si proche, maintenant je témoigne,
Il m'en veut de l'avoir séparé,
De ce père qu'il admirait tant, sans le soupçonner.

Son père, pourtant, me défigurait,
Chaque coup, une marque, une cicatrice indélébile,
J'ai dû fuir pour nous protéger,
Mais il ne comprend pas, il me voit coupable, débile.

Tous les jours je tremble, j'ai peur,
Va-t-il rentrer ce soir, mon cœur ?
Dehors, c'est l'été, la cité en effervescence,
Les enfants crient, les bruits me plongent en transe.

Il traîne dans les rues, mon garçon perdu,
Cherchant des réponses, des vérités tordues,
Les scooters rugissent, les voitures passent,
Chaque bruit de frein me glace.

Je regarde par la fenêtre, anxieuse,
Les ombres dans la nuit sont dangereuses,
Je prie pour qu'il soit en sécurité,
Mais la peur me hante, sans pitié.

Tous les jours je tremble, j'ai peur,
Va-t-il rentrer ce soir, mon cœur ?
Dehors, c'est l'été, la cité en effervescence,
Les enfants crient, les bruits me plongent en transe.

Un bruit de frein, plus fort que les autres,
Des coups de feu résonnent, ma peur explose,
Je me précipite à la fenêtre, le cœur en feu,
Je le vois, mon garçon, dans une flaque rouge, silencieux.

Mon monde s'effondre, je crie son nom,
Mon enfant, mon amour, mon abandon,
Allongé là, si fragile, si froid,
Mon cœur se brise, je suis anéantie, sans voix.

Pourquoi la vie est-elle si cruelle ?
Pourquoi le destin nous punit-il, rebelle ?
J'ai voulu te protéger, t'offrir un avenir,
Mais maintenant, mon amour, tu ne peux plus grandir.

Tous les jours je tremble, j'ai peur,
Va-t-il rentrer ce soir, mon cœur ?
Dehors, c'est l'été, la cité en effervescence,
Les enfants crient, les bruits me plongent en transe.

Mon enfant, mon ange, mon regret,
Je t'aime, même si tu ne le savais,
J'aurais tout donné pour te sauver,
Mais la vie, impitoyable, t'a emporté.

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Les rues sont sombres, la nuit est noire,
Mon cœur bat vite, rempli d'espoir,
De rentrer chez moi en sécurité,
Mais les ombres m'entourent, me font douter.

J'entends des pas derrière moi,
Des pas de loups, des hyènes, c'est moi la proie,
Ils résonnent, se rapprochent, me suivent,
Je sens la peur monter, la peur vive.

Je veux fuir ces ténèbres,
Trouver un lieu plus clair, plus serein,
Mais ce soir, les ombres me guettent,
Et mon cœur se déchire, plein de chagrin.

J'accélère le pas, longe les façades,
Les murs gris de ces immeubles malades,
Demain, promis, je déménage,
Pour un endroit où la peur cache son visage.

Les pas derrière moi s'intensifient,
Mon souffle court, mon esprit fuit,
Je me retourne, mon cœur s'arrête,
Ce n'est qu'un promeneur, avec son chien en laisse.

Je veux fuir ces ténèbres,
Trouver un lieu plus clair, plus serein,
Mais ce soir, les ombres me guettent,
Et mon cœur se déchire, plein de chagrin.

Il ne sait pas, il ne comprend pas,
La peur qui me serre, qui me broie,
Je manque de trébucher, de tomber,
Demain, c'est sûr, je vais m'en aller.

Mais le lendemain, la même chanson,
Les mêmes frayeurs, les mêmes tensions,
Ma lumière s'éteint dans le noir,
Le loup, la hyène, rôdent ce soir.

Ils m'ont vue, ils m'ont sentie,
Dans l'obscurité, je suis leur proie choisie,
Je voulais fuir, je voulais croire,
Mais ma peur était juste mais il est bien trop tard.

Je voulais fuir ces ténèbres,
Trouver un lieu plus clair, plus serein,
Mais ce soir, les ombres m'ont eue,
Et mon cœur se brise, dans le chagrin.

La nuit a pris mon dernier espoir,
Dans les rues sombres, mon histoire,

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La vie vibre autour de moi, elle surgit,
Chaque instant, chaque souffle, je le ressens,
La beauté me transperce, m'envahit,
Mais la cruauté aussi, tout autant.

Je suis une fleur fragile, trop sensible,
Chaque émotion, chaque douleur, je les vis,
Le monde est immense, incompréhensible,
Je le ressens tout, trop, toujours plus, sans répit.

Je suis une âme délicate, un cœur exposé,
Chaque sourire, chaque larme, tout est amplifié,
Dans ce monde tragique et cruel,
Je suis une petite fleur sensible, frêle.

La beauté du monde me fait pleurer,
Les couchers de soleil, les rires d'enfants,
Mais la méchanceté, elle, me fait crier,
Chaque mot dur, chaque geste violent, poignant.

Je voudrais être plus forte, plus résistante,
Ne pas sentir chaque blessure, chaque tourment,
Mais je suis comme une feuille dans la tourmente,
Emportée par les vents, fragile et tremblante.

Je suis une âme délicate, un cœur exposé,
Chaque sourire, chaque larme, tout est amplifié,
Dans ce monde tragique et cruel,
Je suis une petite fleur trop sensible, frêle.

Parfois, je rêve d'un refuge, d'un abri,
Où je pourrais m'épanouir, en sécurité,
Mais la réalité me rattrape, sans merci,
Et je dois affronter ce monde, cette vérité.

Je cherche la beauté, la bonté, partout,
Dans les regards, dans les gestes doux,
Mais je suis souvent déçue, blessée,
Par une réalité qui semble sans pitié.

Pourtant, malgré tout, je continue,
À croire en la magie, à espérer,
Car même fragile, je veux vivre et voir,
La beauté de ce monde, chaque jour, chaque soir.

Je suis une âme délicate, un cœur exposé,
Chaque sourire, chaque larme, tout est amplifié,
Dans ce monde tragique et cruel,
Je suis une petite fleur sensible, frêle.

Je suis une fleur fragile dans le vent,
Ressentant chaque instant, chaque sentiment,
Et même si le monde est parfois cruel,
Je continuerai à vivre, à aimer, à sentir, l'Eternel.

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Dans les hautes herbes, une fleur frémit,
Vers la lumière, elle tend ses pétales épris.
Autour, la vie sauvage la défie,
Hommes brutaux, ignorants, indécis.

Elle lutte, seule dans l'obscurité,
Mais son parfum, l'éclat de sa beauté,
Brillent dans l'ombre, offrant un répit,
À ceux qui cherchent un espoir, une clarté.

Grandir, offrir, malgré tout,
Briller un instant, dans le flou.

Chaque jour, elle se hisse plus haut,
Défiant les vents, les coups, les maux.
Malgré les hommes, cruels et fous,
Elle s'élève, telle une prière à genoux.

Les enfants passent, jeux insouciants,
Ils effleurent sa robe, sans en percevoir le sens.
Elle sourit, dans son humble silence,
Leur offrant un instant de grâce et d'innocence.

Grandir, offrir, malgré tout,
Briller un instant, dans le flou.

Mais un jour, un enfant trop turbulent,
Arrache sans ménagement, sans compliment.
La fleur se meurt, dans un dernier soupir,
Emportant avec elle ses rêves devenir.

Malgré tout, elle a brillé,
Dans l'obscurité, son parfum restera.
Une nouvelle fleur poussera, un jour,
Portant l'espoir, malgré le parcours.

Elle était fragile, mais tellement vivante,
Dans les ténèbres, elle fut une étoile ardente.
Son histoire demeure, un testament,
À la force de la beauté, même dans le tourment.

Grandir, offrir, malgré tout,
Briller un instant, dans le flou.

Dans l'obscurité, son parfum restera,
Malgré tout, elle a brillé.

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