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Gaïa
[12 Musiques]

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Un cri retentissant de rage pour défendre notre Grande Mère, la nature. Elle nous nourrit, nous éblouit, tissant des récits de paix, de rêves, d'enfants riants. Et pourtant... Nous lui lançons des bombes, déchirons son sein avec des griffes mécaniques, l'offensant un peu plus chaque jour. Pour afficher les informations correspondantes, cliquez sur les titres. Pour voir les paroles, cliquez sur 'paroles'.

Paroles, composition, musique : Patrick Courbin / Hobookan - Tous droits réservés


Présenté sur YouTube

La dernière chanson
La balade des écolos
Gaïa

Piste audio
Titre
Paroles
Durée
YouTube
  • 01
    Gaïa
    00:03:30

    Il était une fois, une petite planète bleue,
    Perdue dans l'univers, un joyau précieux.
    Elle nourrit et protège, avec amour et soin,
    Mais nous sommes aveugles, nous ne comprenons rien.

    Avec son cœur immense, elle nous offre tout,
    Les arbres, les rivières, les cieux si doux.
    Mais nous détruisons tout, polluons tout, sans aucun remords,
    La planète souffre, ses larmes sont des trésors.

    Ma douce petite planète, si triste et si belle,
    Pourquoi doivent-ils te traiter ainsi ma Cybèle ?
    Pourtant, tu donnes tout, tes étoiles dans le ciel dansent,
    Mais ils ne voient plus, ils sont dans l'ignorance, dans l'arrogance.

    Les volcans grondent, la terre commence à trembler,
    Elle n'a plus le choix, elle doit se libérer.
    Les tsunamis se lèvent, les tornades se déchaînent,
    Elle pleure, la belle planète, en cachant sa peine.

    Elle voulait juste nous aimer, nous voir prospérer,
    Mais nous n'avons fait que de la blesser, la faire désespérer.
    Alors, elle secoue son manteau, réveille sa colère,
    Pour se débarrasser de ces enfants, ces misères.

    Ma douce petite planète, si triste et si belle,
    Pourquoi doivent-ils te traiter ainsi ma Cybèle ?
    Pourtant, tu donnes tout, tes étoiles dans le ciel dansent,
    Mais ils ne voient plus, ils sont dans l'ignorance, dans l'arrogance.

    Dans ses sanglots, elle murmure une prière,
    Pour que l'univers comprenne sa colère.
    Elle espère qu'un jour, nous pourrons comprendre,
    Le respect et l'amour qu'elle voulait tant nous apprendre.

    Les hommes disparaissent, balayés par sa force,
    Elle reste seule, dans un silencieux divorce.
    Mais au fond de son cœur, elle garde l'espoir,
    Qu'un jour, d'autres viendront, avec plus de savoir.

    Elle renaîtra, plus forte, plus belle encore,
    Une planète guérie, de ses blessures et torts.
    Avec l'amour puissant qui jamais ne faiblit,
    Elle attendra les êtres qui comprendront sa vie.

    Ma douce petite planète, si triste et si belle,
    Pourquoi doivent-ils te traiter ainsi ma Cybèle ?
    Pourtant, tu donnes tout, tes étoiles dans le ciel dansent,
    Mais ils ne voient plus, ils sont dans l'ignorance, dans l'arrogance.

    Un jour viendra, où tu trouveras la paix,
    Des êtres qui sauront t'aimer et te respecter.
    Petite planète, ne perds pas espoir,
    Ton amour est éternel, c'est ta plus grande gloire.

  • 02
    La balade des écolos
    00:03:22

    Il est temps de comprendre, de voir l'évidence,
    Notre Terre, mérite notre attention intense.
    Loin des politiques qui ne connaissent rien,
    Loin des meneurs qui prêchent pour leur propre gain.

    Il s'agit de respect, de revoir la beauté,
    De protéger ce qui nous a toujours abrités.
    Chaque arbre, chaque rivière, chaque souffle d'air,
    C'est notre devoir de les préserver, monde frère.

    Loin des écolos qui sentent les vieux bureaux,
    Qui ne connaissent pas la brume sur un champ au matin,
    Qui n'ont jamais vu de buse derrière leurs barreaux,
    Mais qui nous embrument de tout leur baratin.

    Respecter notre environnement, c'est nous respecter,
    C'est protéger le vivant, notre maison adorée.
    Loin des paroles creuses, des discours sans fin,
    Agissons pour la Terre, notre lien divin.

    Ils parlent de profit, de croissance sans fin,
    Mais oublient les racines, l'essence de notre destin.
    Nous devons être les gardiens, pas des monstres qui dévorent,
    C'est une seule planète qui nous offre ses trésors.

    Chaque geste compte, chaque choix que nous faisons,
    Pour un avenir où les enfants pourront grandir sans poison.
    C'est un acte d'amour, un signe de sagesse,
    De préserver la nature, notre vraie richesse.

    Loin des écolos qui sentent les vieux bureaux,
    Qui ne connaissent pas la brume sur un champ au matin,
    Qui n'ont jamais vu de buse derrière leurs barreaux,
    Mais qui nous embrument de tout leur baratin.

    Respecter notre environnement, c'est nous respecter,
    C'est protéger le vivant, notre maison adorée.
    Loin des paroles creuses, des discours sans fin,
    Agissons pour la Terre, notre lien divin.

    Écoute le murmure des forêts, le chant des océans,
    Ils nous appellent à l'aide, à être vigilants.
    Chaque créature, chaque écosystème est fragile,
    Ils nous rappelle que notre présence est débile.

    Ensemble, nous pouvons changer le cours de l'histoire,
    Créer un monde où le respect est notre phare.
    Pas pour les honneurs, pas pour la gloire,
    Mais pour l'amour de la Terre, notre devoir.

    Marchons main dans la main, avec le cœur ouvert,
    Protégeons notre maison, soyons fiers.
    De savoir que chaque geste, chaque action,
    Contribue à la préservation, à la rédemption.

    Loin des écolos qui sentent les vieux bureaux,
    Qui ne connaissent pas la brume sur un champ au matin,
    Qui n'ont jamais vu de buse derrière leurs barreaux,
    Mais qui nous embrument de tout leur baratin.

    Respecter notre environnement, c'est nous respecter,
    C'est protéger le vivant, notre maison adorée.
    Loin des paroles creuses, des discours sans fin,
    Agissons pour la Terre, notre lien divin.

    Pour la Terre, pour nous, pour les générations à venir,
    Soyons les gardiens, faisons de notre mieux pour offrir.
    Un monde où la nature prospère en harmonie,
    Un avenir radieux, pour toute l'humanité.

  • 03
    Réveillez-vous
    00:03:59

    Des traitres s'embourbent, dans des paroles vaines,
    En politique inutile, en mensonges pleins de haine.
    En quête de profits, ils oublient l'essentiel,
    Qu'ils marchent sur un sol, qu'ils respirent l'air du ciel.

    Oubliez vos discours, vos fausses promesses !
    La Terre saigne, c'est là la vraie détresse.
    Respirez, marchez, mangez, comprenez,
    Sans respect pour la Terre, vous allez tout briser.

    Ils parlent de richesse, de pouvoir, de contrôle,
    Mais oublient les racines, l'essence de leur rôle.
    Ils mangent des fruits, de la viande, des légumes frais,
    Mais la planète qu'ils détruisent, elle ne pourra plus en donner.

    Ne soyez plus stupides et ouvrez donc les yeux.
    C'est fini le temps des grottes et des cueillettes,
    Fini le temps de vos tristes jeux !
    Nettoyez vos oreilles, retirez vos oreillettes !

    Oubliez vos discours, vos fausses promesses !
    La Terre saigne, c'est là la vraie détresse.
    Respirez, marchez, mangez, réalisez,
    Sans respect pour la Terre, vous allez tout briser.

    Politiques inutiles, profits insensés,
    Les océans montent, la forêt est brûlée.
    L'air devient poison, le sol se meurt,
    Écoutez la Terre, ressentez sa douleur.

    Hommes au peu de paroles, réveillez-vous,
    Votre maison brûle, sous vos yeux de fous.
    Chaque mensonge, chaque quête de profit,
    Nous rapproche du bord, de la fin de la vie.

    Oubliez vos discours, vos fausses promesses!
    La Terre saigne, c'est là la vraie détresse.
    Respirez, marchez, mangez, évoluez,
    Sans respect pour la Terre, vous allez tout briser.

    La Terre crie, entendez sa voix,
    Il est temps d'agir, de faire le bon choix.
    Pour l'air, pour le sol, pour la vie en nous,
    Respectez la Terre, avant qu'il soit trop tard pour nous.

  • 04
    Évaporés
    00:03:53

    Les hommes se lèvent, chaque matin gris,
    Ils vont travailler, sans un seul cri.
    Vieilles voitures, fumée de cigarettes,
    Ils râlent sur l'air, sur leur planète.

    Leurs vies s'épuisent, jour après jour,
    Ils brûlent la chandelle, sans retour.
    Ils se plaignent de l'air, de la pollution,
    Mais allument une clope, sans réflexion.

    Chaque bouffée, chaque trajet,
    C'est leur santé qu'ils oublient, qu'ils laissent de côté.
    Ils meurent d'un cancer, leurs familles pleurent,
    Mais c'est de la malbouffe, qu'ils accusent sans erreur.

    Dans les bureaux, la routine s'installe,
    Café et nicotine, le combo fatal.
    Ils ignorent les signes, les avertissements,
    La santé se détériore, lentement, sûrement.

    Le soir, devant l'écran, ils s'endorment,
    Épuisés par une vie, qui les transforme.
    Ils rêvent de jours meilleurs, de nouveaux départs,
    Mais continuent les mêmes erreurs, le même cauchemar.

    Chaque bouffée, chaque trajet,
    C'est leur santé qu'ils oublient, qu'ils laissent de côté.
    Ils meurent d'un cancer, leurs familles pleurent,
    Mais c'est de la malbouffe, qu'ils accusent sans erreur.

    Fumée et gaz, c'est leur quotidien,
    Leur santé décline, sans lendemain.
    Ils regardent ailleurs, refusent de voir,
    Le lien entre leurs choix et leur cauchemar.

    Sur leurs tombes, les larmes coulent,
    Les familles en colère, cherchent le coupable.
    Mais c'est leurs propres vies, leurs propres choix,
    Qui les ont menés, au bord du désarroi.

    Chaque bouffée, chaque trajet,
    C'est leur santé qu'ils oublient, qu'ils laissent de côté.
    Ils meurent d'un cancer, leurs familles pleurent,
    Mais c'est de la malbouffe, qu'ils accusent sans erreur.

    Le réveil est brutal, la vérité fait mal,
    Il est temps de changer, de briser le fatal.
    Respectez vos corps, vos choix de vie,
    Avant qu'il ne soit trop tard, pour vos survies.

  • 05
    Réfugié
    00:04:00

    Toi l'adolescent qui quitte ton beau village,
    Des rêves plein la tête, des espoirs magnifiques.
    Ils t'ont dit qu'à Paris, les rues sont couvertes d'or,
    Tu pars sans regarder derrière, sans un seul remords.

    La mer est un cimetière, les morts autour de toi,
    Tes rêves son brisés, tes espoirs engloutis.
    Tu mendies, tu supplies en traversant la France,
    Un chemin de douleur, juste un peu d'espérance.

    Tu traverses des pays, esclave des cruels,
    Privations, supplices, c'est un enfer réel.
    Tu fuis, tu traverses la mer où d'autres ont fait naufrage,
    Des corps sans vie, flottant, rêves échoués en otage.

    La mer est un cimetière, les morts autour de toi,
    Tes rêves son brisés, tes espoirs engloutis.
    Tu mendies, tu supplies en traversant la France,
    Un peu d'amour, juste un peu d'espérance.

    Enfin à Paris, l'or est juste aux cous,
    Des vieilles rombières et des minettes,
    Tu voles pour survivre, la faim te tire le ventre,
    Mais la loi te rattrape, tes rêves se désenchantent.

    Tu traverses des pays, esclave des cruels,
    Privations, supplices, c'est un enfer réel.
    Tu fuis, tu traverses la mer où d'autres ont fait naufrage,
    Des corps sans vie, flottant, rêves échoués en otage.

    En prison, tu repenses à ton village lointain,
    À ta mère qui t'attends et à ses doux refrains.
    Renvoyé chez toi, là où tout a commencé,
    Un cycle de tristesse, un rêve fracassé.

    Ton espoir s'estompe, mais tu gardes en toi,
    La force de survivre, un courage infini.
    Même dans l'obscurité, tu cherches une lumière,
    Un futur possible, au-delà de la misère.

    Tu traverses des pays, esclave des cruels,
    Privations, supplices, c'est un enfer réel.
    Tu fuis, tu traverses la mer où d'autres ont fait naufrage,
    Des corps sans vie, flottant, rêves échoués en otage.

    Tu revient chez toi, des cicatrices au cœur,
    Un adolescent vieilli, marqué par la douleur.
    Mais au fond de ton âme, une flamme qui persiste,
    Un espoir ténu, un rêve qui résiste.

  • 06
    Le vieux hêtre
    00:03:19

    C'est un arbre centenaire, un vieux témoin du temps,
    Fier et majestueux, il respire au printemps.
    Autour de lui, la vie s'organise,
    Il grandit en été, se repose en brise.

    Ses branches ont abrité des oiseaux, des nids,
    Des générations entières, des vies infinies.
    En automne, il s'endort, en hiver, il rêve,
    Des jours passés, de l'avenir, il espère.

    Il a vu des saisons, des siècles passer,
    Respiré la vie, sous le soleil doré.
    Mais un jour, des jeunes, sans âme ni respect,
    Approchent en riant, le coupe sans regret.

    Chaque anneau de son tronc, une histoire, une trace,
    Un passé glorieux, qu'ils effacent.
    Ils ne voient pas sa grandeur, son âme de géant,
    Ils le réduisent en morceaux, le vent est déchirant.

    Il tombe, un géant abattu par l'ignorance,
    Les rires résonnent, dans un silence intense.
    Le sol pleure, la forêt retient son souffle,
    Une vie éteinte, une douleur qui se touche.

    Il a vu des saisons, des siècles passer,
    Respiré la vie, sous le soleil doré.
    Mais un jour, des jeunes, sans âme ni respect,
    Approchent en riant, le coupe sans regret.

    L'arbre s'éteint, son esprit s'envole,
    Vers un ciel lointain, où les hommes n'ont pas de rôle.
    Il laisse derrière lui, un vide immense,
    Un rappel cruel de l'ignorance, de l'insouciance.

  • 07
    L'orage
    00:03:49

    Un gros orage envoyé par les Dieux,
    Pour punir les hommes, pour châtier leurs aveux.
    Il arrive, fier de son rôle à jouer, De sa force.
    Sur son chemin, les arbres font la révérence, soumis.

    Le vent hurle, les éclairs déchirent la nuit,
    La pluie tombe, comme des lames infinies.
    C'est un orage violent, plein de rage,
    Un messager divin, portant un lourd fardeau de sagesse.

    Il avance, rage au cœur, pour nettoyer,
    La Terre des conneries de ces hommes aveuglés.
    Les voitures se déblayent, s'écartent en grondant,
    L'orage rugit, dans une colère de titan.

    Au matin, les hommes se réveillent, les yeux bouffis,
    Ils râlent, appellent leurs assurances, pleins de mépris.
    Le gros orage n'a pas eu assez de force,
    Pour leur faire comprendre que c'est de leur faute, ce divorce.

    La ville est trempée, les rues dévastées,
    Mais les hommes ne voient pas, ne peuvent pas accepter.
    Ils blâment la nature, refusent de voir,
    Que c'est leurs actions qui ont invoqué ce loir.

    Il avance, rage au cœur, pour nettoyer,
    La Terre des conneries de ces hommes aveuglés.
    Les voitures se déblayent, s'écartent en grondant,
    L'orage rugit, dans une colère de titan.

    L'orage s'éloigne, son message perdu,
    Les hommes restent aveugles, toujours confus.
    Les Dieux soupirent, de leur haut domaine,
    La leçon n'est pas apprise, et la Terre se peine.

  • 08
    La harde
    00:03:52

    Dans la clairière cachée, le cerf se tient fier,
    Chef de sa harde, dans un monde entier.
    Il hume l'air frais, regarde autour de lui,
    Biches et faons, la vie qui sourit.

    Les bois majestueux, symbole de sa maîtrise,
    Sont désormais un trophée, objet de convoitise.
    Il court, il halète, la peur dans les yeux,
    Encerclé par les chiens, il est l'objet des dieux.

    Au loin, des cors retentissent, un frisson,
    Les démons arrivent sur leurs chevaux, sans raison.
    Des meutes de chiens sanguinaires à leurs pieds,
    Le cerf frémit, la harde s'enfuit dans les futaies.

    Les hommes sont enivrés de sang, de folie,
    Le cerf panique, dans cette nuit sans merci.
    Un coup de feu retentit, comme un grondement,
    La délivrance arrive, dans un dernier élan.

    Le cerf s'effondre, dans un silence glacial,
    La harde est endeuillée, dans un triste carnaval.
    Les hommes se réjouissent, ivres de leur conquête,
    Mais la clairière le pleure dans une sombre fête.

    Au loin, des cors retentissent, un frisson,
    Les démons arrivent sur leurs chevaux, sans raison.
    Des meutes de chiens sanguinaires à leurs pieds,
    Le cerf frémit, la horde s'enfuit dans les futaies.

    Dans la clairière désormais vide et silencieuse,
    Les échos des cors s'éteignent, dans une tristesse pieuse.
    Le cerf gît, symbole de la nature profanée,
    Les hommes s'éloignent, leur soif de sang inassouvie.

    La forêt pleure, dans un deuil solennel,
    Le cerf majestueux, une légende cruelle.
    Mais dans le vent, dans le murmure des arbres,
    Sa mémoire persiste, dans un écho sans marbre.

  • 09
    Grande mère
    00:03:58

    Au matin, le soleil se lève, embrassant la terre,
    Mais la nature pleure en silence, dans son mystère.
    Elle supporte nos pas lourds, nos voix arrogantes,
    Chaque jour, elle gémit, sous nos pas bruyants.

    Les oiseaux chantent, mais leurs mélodies sont tristes,
    Ils voient nos ravages, nos actes égoïstes.
    Les fleurs s'étiolent, sous le regard des hommes,
    Leur parfum faible, dans un monde qui sombre.

    Les arbres se courbent, sous le poids de nos péchés,
    Les rivières pleurent, dans un murmure blessé.
    La terre se craquelle, dans sa souffrance muette,
    La nature endure, mais son cœur est en détresse.

    Elle nous donne tout, sans rien demander en retour,
    Mais nous, nous détruisons, dans notre course au pouvoir.
    Elle crie à l'aide, dans le vent qui s'élève,
    Mais nos oreilles sourdes ne perçoivent que nos rêves.

    La nature nous regarde, avec tristesse et dépit,
    Elle voit nos erreurs, nos égarements infinis.
    Elle nous tend la main, dans un geste d'amour,
    Mais nous la rejetons, pour des plaisirs sans retour.

    Les arbres se courbent, sous le poids de nos péchés,
    Les rivières pleurent, dans un murmure blessé.
    La terre se craquelle, dans sa souffrance muette,
    La nature endure, mais son cœur est en détresse.

    Pourtant, dans son silence, elle espère encore,
    Que nous ouvrirons les yeux, que nous changerons le décor.
    Que nous apprendrons enfin, à respecter sa grandeur,
    Avant qu'il ne soit trop tard, avant qu'elle ne meure.

  • 10
    Or ou sagesse
    00:03:59

    Dans les rivières coulant sous le soleil ardent,
    Des hommes cherchent des trésors, avides et impatients.
    Ils trouvent des cailloux brillants, éblouis par leur éclat,
    Et leur esprit s'obscurcit, dans un sombre combat.

    Ils appellent cela de l'or, une richesse sans fin,
    Et leur obsession grandit, jusqu'à les mener à la fin.
    Ils se tuent entre eux, pour un peu de métal précieux,
    Oubliant l'amour, l'amitié, dans un monde furieux.

    Des cailloux dans les rivières, des hommes devenus fous,
    Ils se battent pour l'or, dans un combat sans détours.
    Mais leur richesse illusoire ne peut combler le vide en eux,
    Car dans leur quête égoïste, ils perdent tout ce qui est précieux.

    Les familles pleurent, les mères perdent leurs fils,
    Dans cette folie destructrice, où règnent les périls.
    Les rivières deviennent des tombeaux, des témoins muets,
    De l'avidité des hommes, de leur cupidité.

    Des cailloux dans les rivières, des hommes devenus fous,
    Ils se battent pour l'or, dans un combat sans détours.
    Mais leur richesse illusoire ne peut combler le vide en eux,
    Car dans leur quête égoïste, ils perdent tout ce qui est précieux.

    Dans cette triste histoire, un avertissement résonne,
    L'or peut briller de mille feux, mais il laisse les cœurs en frisson.
    Retrouvons la sagesse, la valeur de ce qui est vrai,
    Avant que notre obsession pour l'or ne nous conduise à jamais.

  • 11
    Le vieil homme et la terre
    00:03:45

    Le malheur des âmes, emprisonnées sans répit,
    Dans des corps tourmentés, où le mental se flétrit.
    Psychopathes, bipolaires, schizophrènes égarés,
    L'âme lutte en silence, cherchant à se libérer.

    Dans l'ombre des esprits, les âmes se terrent,
    Prisonnières des troubles, de la douleur amère.
    Les corps se débattent, entre folie et raison,
    Tandis que les âmes pleurent, cherchant l'évasion.

    Elles poussent les coins, tentent de percer,
    L'enveloppe malade, la prison insensée.
    Les jours passent sombres, entre cris et silence,
    Les âmes veulent guérir, retrouver leur balance.

    Le malheur des âmes, emprisonnées sans répit,
    Dans des corps tourmentés, où le mental se flétrit.
    Psychopathes, bipolaires, schizophrènes égarés,
    L'âme lutte en silence, cherchant à se libérer.

    Psychopathes errants, dans des mondes dérangés,
    Les âmes hurlent de l'intérieur, cherchant la clarté.
    Bipolaires qui montent et qui descendent, dans un tourbillon cruel,
    Les âmes tentent de naviguer, dans cet enfer irréel.

    Les schizophrènes se perdent, entre réalité et rêve,
    Les âmes battent des ailes, dans cette cage sans trêve.
    Les jours sont des batailles, les nuits des guerres sans fin,
    Les âmes aspirent à la paix, à un nouveau matin.

    Le malheur des âmes, emprisonnées sans répit,
    Dans des corps tourmentés, où le mental se flétrit.
    Psychopathes, bipolaires, schizophrènes égarés,
    L'âme lutte en silence, cherchant à se libérer.

    L'espoir s'amenuise, dans les couloirs glacés,
    Les âmes se résignent, à leur sort, à leur passé.
    Les médicaments tombent, comme des chaînes invisibles,
    Les âmes se fanent, dans cet environnement terrible.

    Un jour vient la fin, dans un hôpital sinistre,
    Lobotomisé, sans âme, le corps devient ministre.
    Le silence est lourd, l'obscurité complète,
    Les âmes s'envolent enfin, libérées de cette quête.

    Le malheur des âmes, emprisonnées sans répit,
    Dans des corps tourmentés, où le mental se flétrit.
    Psychopathes, bipolaires, schizophrènes égarés,
    L'âme lutte en silence, cherchant à se libérer.

    Ainsi se termine, cette tragédie humaine,
    Les âmes sont parties, laissant derrière la peine.
    Que leur voyage soit doux, vers des cieux apaisés,
    Car sur Terre, leur souffrance, jamais ne fut effacée.

  • 12
    La dernière chanson
    00:03:55

    Mère Nature pleure, dans l'ombre de la nuit,
    Ses larmes sont les rivières, ses cris sont le vent qui s'enfuit.
    Elle nous appelle, dans un murmure désespéré,
    À ouvrir les yeux, avant qu'il ne soit trop tard.

    Gaïa nous porte, dans ses bras fatigués,
    Mais nos actes insensés la blessent, dans sa fragilité.
    Elle nous supplie, de changer notre cafard,
    De réveiller nos âmes, avant qu'il ne soit trop tard.

    C'est la dernière chanson, dédiée à Mère Nature,
    À Gaïa, à notre Terre, dans sa détresse obscure.
    Il est temps de se réveiller, de changer de cap,
    Avant que notre histoire ne devienne qu'un triste gap.

    Les oiseaux chantent, dans l'aube qui se lève,
    Ils portent le message, de la vie qui s'achève.
    Écoutons leur chant, dans le silence de nos cœurs,
    Retrouvons la connexion, avec la nature en pleurs.

    Dans chaque brin d'herbe, dans chaque souffle de vent,
    Nous trouvons l'espoir, de sauver ce qui reste vivant.
    Unissons nos forces, dans un élan de solidarité,
    Pour protéger notre maison, dans sa fragilité.

    C'est la dernière chanson, dédiée à Mère Nature,
    À Gaïa, à notre Terre, dans sa détresse obscure.
    Il est temps de se réveiller, de changer de cap,
    Avant que notre histoire ne devienne qu'un triste tapage.

    Dans cette ultime prière, dans cette mélodie finale,
    Entendons l'appel de la Terre, dans sa voix primordiale.
    Réveillons-nous, humains stupides, avant qu'il ne soit trop tard,
    Avant que notre avenir ne devienne qu'un sombre regard.


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