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La musique est une des plus belles création de l'humanité ! Elle a toujours été un support idéal pour exprimer mes joies et mes douleurs.

Prisonniers
[24 Musiques]

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C'est l'histoire d'une société qui nous oppresse chaque jour un peu plus, étouffant nos aspirations et notre liberté. Des dirigeants fidèles à maintenir le statu quo, aveuglés par le profit, résistant au changement. Mais au milieu de cette toile sombre, émergent des mélodies, des harmonies qui résonnent en moi d'une manière particulière. Le plaisir intense que j'ai ressenti à les créer contraste avec les tristesses qui parfois les accompagnent. Elles sont un refuge, une échappatoire dans ce monde étouffant. Pour afficher les informations correspondantes, cliquez sur les titres. Pour voir les paroles, cliquez sur 'paroles'.

Paroles, composition, musique : Patrick Courbin / Hobookan - Tous droits réservés


Présenté sur YouTube

Grand frère
Les fous taxés
Tout est dit
Ignorance quand tu nous tiens
Empereurs
Nature d'or
Malbouffe empoisonnée

Piste audio
Titre
Paroles
Durée
YouTube
  • 01
    Les états voyous
    00:02:49

    Les états voyous nous emprisonnent, sans répit ni pardon,
    Nous gavent de leurs textes, dans cette sombre prison.
    Nous sommes leurs marionnettes, dans un jeu sans fin,
    Cherchant la liberté, mais enchaînés par leurs mains.

    Dans l'ombre des lois, ils tissent leurs filets,
    Nous tenant captifs, sous leur poids, nous sommes blessés.
    Des pages de règlements, des règles à foison,
    Nous perdons notre voix, sous leur oppression.

    Les promesses de liberté, ne sont que des illusions,
    Sous la coupe des puissants, nous vivons des désillusions.
    Chaque texte, chaque loi, une nouvelle entrave,
    Nous marchons dans le noir, en quête de lumière brave.

    Les états voyous nous emprisonnent, sans répit ni pardon,
    Nous gavent de leurs textes, dans cette sombre prison.
    Nous sommes leurs marionnettes, dans un jeu sans fin,
    Cherchant la liberté, mais enchaînés par leurs mains.

    Ils nous parlent de justice, de paix et de droits,
    Mais sous leurs belles paroles, se cache le désarroi.
    Nous sommes leurs pions, dans un échiquier cruel,
    Cherchant une issue, dans ce monde artificiel.

    Les murs se resserrent, les chaînes se renforcent,
    Nos esprits se battent, mais nos corps se forcent.
    À suivre leurs règles, à obéir sans broncher,
    Sous leur joug implacable, nos âmes sont attachées.

    Les états voyous nous emprisonnent, sans répit ni pardon,
    Nous gavent de leurs textes, dans cette sombre prison.
    Nous sommes leurs marionnettes, dans un jeu sans fin,
    Cherchant la liberté, mais enchaînés par leurs mains.

    Nos cris d'insoumission résonnent dans le vide,
    Leur pouvoir absolu, sur nos vies, se décide.
    Chaque jour une lutte, pour briser les chaînes,
    Mais les états voyous nous maintiennent dans la peine.

    Les textes s'accumulent, les pages se noircissent,
    Notre volonté s'effrite, nos espoirs s'amenuisent.
    Mais au fond de nos cœurs, brûle une flamme de révolte,
    Pour un jour renverser, ces oppresseurs sans faute.

    Les états voyous nous emprisonnent, sans répit ni pardon,
    Nous gavent de leurs textes, dans cette sombre prison.
    Nous sommes leurs marionnettes, dans un jeu sans fin,
    Cherchant la liberté, mais enchaînés par leurs mains.

    Un jour viendra, où les chaînes se briseront,
    Les états voyous tomberont, leurs textes s'effondreront.
    Nous retrouverons la lumière, la liberté chérie,
    Et nos voix résonneront, dans une symphonie de vie.

  • 02
    Les fous taxés
    00:03:27

    Les taxes nous enchaînent, partout et sur tout,
    Sur la vie, sur la mort, sur chaque goutte de nous.
    Les maîtres se gavent, sans jamais payer,
    Dans leurs poches, nos vies, pour leur festin doré.

    Les impôts sur la vie, les taxes sur la mort,
    Chaque souffle que l’on prend, chaque pas que l’on sort.
    De l’eau qu’on boit, à la terre qu’on foule,
    Tout est compté, tout est dû, rien ne coule.

    Ils nous disent que c’est pour le bien commun,
    Mais leurs poches se remplissent, les nôtres se vident en vain.
    Les maîtres des illusions, assis sur des trônes,
    Se nourrissent de nos peines, pendant qu’ils nous emprisonnent.

    Les taxes nous enchaînent, partout et sur tout,
    Sur la vie, sur la mort, sur chaque goutte de nous.
    Les maîtres se gavent, sans jamais payer,
    Dans leurs poches, nos vies, pour leur festin doré.

    Les factures qui s’entassent, les dettes qui s’accumulent,
    Nos rêves se brisent, nos vies se dissimulent.
    Sous le poids des taxes, on perd notre chemin,
    Cherchant la lumière, mais enfermés dans le chagrin.

    Ils ne connaissent pas la faim, ni la misère,
    Dans leurs palais dorés, ils n’ont que faire.
    De nos larmes, de nos cris, de notre désespoir,
    Ils s’enrichissent, se gavent, dans ce jeu sans espoir.

    Les taxes nous enchaînent, partout et sur tout,
    Sur la vie, sur la mort, sur chaque goutte de nous.
    Les maîtres se gavent, sans jamais payer,
    Dans leurs poches, nos vies, pour leur festin doré.

    Les champs qu’on cultive, les maisons qu’on bâtit,
    Chaque effort, chaque goutte de sueur, tout est soumis.
    À leurs lois, à leurs règles, à leurs avides mains,
    Nous travaillons sans répit, mais pour quel lendemain ?

    Ils festoient, ils rient, ils vivent dans l’abondance,
    Alors que nous luttons, piégés dans cette danse.
    Leurs banquets somptueux, remplis de nos sacrifices,
    Leur opulence obscène, sur notre malheur, ils bâtissent.

    Les taxes nous enchaînent, partout et sur tout,
    Sur la vie, sur la mort, sur chaque goutte de nous.
    Les maîtres se gavent, sans jamais payer,
    Dans leurs poches, nos vies, pour leur festin doré.

    Un jour viendra, où les chaînes tomberont,
    Les maîtres périront, sous leur propre abandon.
    Nous retrouverons la lumière, notre liberté volée,
    Et nos voix s’élèveront, pour une vie retrouvée.

  • 03
    En notre nom
    00:03:43

    Ils parlent en notre nom, sans nous demander,
    Envoient nos fils, nos filles, vers l'abattoir déchaîné.
    Dirigeants belliqueux, avides de pouvoir,
    Nos vies sacrifiées, dans des guerres sans espoir.

    Ils se tiennent dans leurs tours, planifient nos destins,
    Décident de nos vies, des joies, des chagrins.
    Sans jamais nous consulter, sans une once de pitié,
    Ils tracent nos chemins, vers des champs de bataille effrayés.

    Les familles pleurent, les mères attendent,
    Les corps reviennent, les âmes s’éloignent.
    Pourquoi ces guerres, pour quel prix payé ?
    Nos cœurs brisés, nos rêves écrasés.

    Ils parlent en notre nom, sans nous demander,
    Envoient nos fils, nos filles, vers l'abattoir déchaîné.
    Dirigeants belliqueux, avides de pouvoir,
    Nos vies sacrifiées, dans des guerres sans espoir.

    Ils brandissent des drapeaux, des discours enflammés,
    Nous promettent la gloire, l’honneur et la fierté.
    Mais leurs mots sont des pièges, des mensonges bien ficelés,
    Nous sommes les pions, sur leur échiquier désolé.

    Les champs de bataille, couverts de sang,
    Les cris de douleur, résonnent longtemps.
    Pourquoi doivent-ils décider de nos vies,
    Nous imposer leurs guerres, leurs décrets, leurs folies ?

    Ils parlent en notre nom, sans nous demander,
    Envoient nos fils, nos filles, vers l'abattoir déchaîné.
    Dirigeants belliqueux, avides de pouvoir,
    Nos vies sacrifiées, dans des guerres sans espoir.

    Les hommes tombent, les femmes pleurent,
    Les enfants grandissent, dans la terreur.
    Pourquoi ces sacrifices, pour quel idéal ?
    Les dirigeants festoient, tandis que la mort s'étale.

    Ils se gavent de richesses, de pouvoir et de gloire,
    Tandis que nous saignons, dans l’ombre de l’histoire.
    Pourquoi leur laissons-nous ce droit insensé,
    De parler en notre nom, de nous condamner ?

    Ils parlent en notre nom, sans nous demander,
    Envoient nos fils, nos filles, vers l'abattoir déchaîné.
    Dirigeants belliqueux, avides de pouvoir,
    Nos vies sacrifiées, dans des guerres sans espoir.

    Un jour viendra, où nous reprendrons,
    Le droit de nos vies, de nos décisions.
    Les dirigeants tomberont, sous le poids de leurs crimes,
    Et nos voix s’élèveront, pour un monde sublime.

  • 04
    Les enfants sans chair
    00:03:35

    Des enfants décharnés, qui meurent de faim,
    Tandis que d'autres, obèses, en veulent toujours plus, sans fin.
    Les petits corps fragiles, ne réclament rien,
    Pendant que le monde tourne, aveugle et malsain.

    Ils pleurent en silence, le ventre creusé,
    Des rêves d'un repas, jamais réalisés.
    Leurs yeux brillent d’espoir, dans la nuit sans fin,
    Quand ailleurs on gaspille, sans se soucier de rien.

    Les mains tendues, vers un avenir incertain,
    Leur vie fragile, suspendue à un fil trop fin.
    Pourquoi ce déséquilibre, cette inégalité cruelle,
    Quand certains festoient, d’autres attendent une aide éternelle ?

    Des enfants décharnés, qui meurent de faim,
    Tandis que d'autres, obèses, en veulent toujours plus, sans fin.
    Les petits corps fragiles, ne réclament rien,
    Pendant que le monde tourne, aveugle et malsain.

    Les tables débordantes, de nourriture en excès,
    Les crises de colère, pour un jouet rejeté.
    Les enfants affamés, n’ont jamais ce luxe,
    Ils rêvent d’un pain, dans un monde injuste.

    Pourquoi cette indifférence, pourquoi ce mépris ?
    Les cœurs sont lourds, les estomacs vides crient.
    Les riches festoient, les pauvres espèrent,
    Un jour où justice, enfin, éclaire cette terre.

    Des enfants décharnés, qui meurent de faim,
    Tandis que d'autres, obèses, en veulent toujours plus, sans fin.
    Les petits corps fragiles, ne réclament rien,
    Pendant que le monde tourne, aveugle et malsain.

    Les joues creuses des enfants, racontent des histoires,
    De survie, de lutte, dans un monde noir.
    Ils ne font pas de crises, ne demandent que peu,
    Un peu d'amour, un peu de pain, sous les cieux.

    Le contraste est cruel, entre les pleurs silencieux,
    Des enfants affamés, et les cris capricieux.
    Les ressources sont là, mais l'injustice persiste,
    Quand comprendrons-nous, que ce monde doit être plus juste ?

    Des enfants décharnés, qui meurent de faim,
    Tandis que d'autres, obèses, en veulent toujours plus, sans fin.
    Les petits corps fragiles, ne réclament rien,
    Pendant que le monde tourne, aveugle et malsain.

    Ce jour viendra, où l'équité régnera,
    Où chaque enfant, aura de quoi se nourrir, se régaler.
    Les cœurs s’ouvriront, la compassion grandira,
    Et ces enfants décharnés, ne seront plus laissés de côté.

  • 05
    La nuit noire
    00:03:30

    Des prédateurs dans la nuit noire,
    Des diables qui sortent le soir.
    Ils rôdent dans l'ombre, loin de la lumière,
    Semant le mal, sans aucun repère.

    Ils marchent silencieux, dans des ruelles sombres,
    Le cœur empli de haine, de sombres décombres.
    Les visages masqués, les yeux de braise,
    Ils traquent leurs proies, dans une danse mauvaise.

    Leurs âmes noircies, par des désirs cruels,
    Des ombres furtives, aux intentions infidèles.
    Le mal qu’ils répandent, dans le silence de la nuit,
    Des âmes perdues, loin de toute lumière, ils s’enfuient.

    Des prédateurs dans la nuit noire,
    Des diables qui sortent le soir.
    Ils rôdent dans l'ombre, loin de la lumière,
    Semant le mal, sans aucun repère.

    Les cris étouffés, les peurs dissimulées,
    Les victimes innocentes, à jamais brisées.
    Ils s’enfoncent plus profondément dans la noirceur,
    Des âmes errantes, sans aucun honneur.

    Les anges se cachent, face à tant de mal,
    La lumière s’éteint, devant le chaos infernal.
    Ils volent, ils frappent, sans remords, sans pitié,
    Des démons nocturnes, en quête de cruauté.

    Des prédateurs dans la nuit noire,
    Des diables qui sortent le soir.
    Ils rôdent dans l'ombre, loin de la lumière,
    Semant le mal, sans aucun repère.

    Les rues désertes, sous la lune glaciale,
    Témoins muets, de cette valse infernale.
    Les cœurs battent fort, dans la terreur nocturne,
    L’espoir se dissipe, dans la nuit taciturne.

    Des âmes corrompues, qui jouissent de la peur,
    Des diables déguisés, en quête de douleur.
    Ils se nourrissent des cris, des larmes versées,
    Des prédateurs infâmes, de la lumière effacée.

    Des prédateurs dans la nuit noire,
    Des diables qui sortent le soir.
    Ils rôdent dans l'ombre, loin de la lumière,
    Semant le mal, sans aucun repère.

    Mais ce jour viendra, où la lumière percera,
    Les ténèbres s’évanouiront, les diables fuiront sans voix.
    Les cœurs se relèveront, dans un nouvel espoir,
    Et la nuit noire, deviendra lumière, quelque part.

  • 06
    Les salauds
    00:04:00

    Ils profitent de la bonté, pour s’enrichir sans fin,
    Des égos démesurés, des cœurs sans lendemain.
    Des voleurs de lumière, des traîtres glorifiés,
    Les salops de cette terre, qui pourrissent la bonté.

    Ils viennent avec des sourires, des paroles en miel,
    Derrière leurs masques dorés, des cœurs artificiels.
    Ils exploitent la douceur, la gentillesse innée,
    Des parasites d’honneur, des âmes désavouées.

    Leur richesse bâtie, sur des rêves brisés,
    Des âmes trahies, des espoirs évaporés.
    Ils ne paient jamais, ils échappent aux remords,
    Des rois sans conscience, des tyrans sans effort.

    Ils profitent de la bonté, pour s’enrichir sans fin,
    Des égos démesurés, des cœurs sans lendemain.
    Des voleurs de lumière, des traîtres glorifiés,
    Les salops de cette terre, qui pourrissent la bonté.

    Leurs mots sont des pièges, des promesses en l’air,
    Ils grimpent sur les dos, des cœurs pleins de misère.
    Chaque sourire offert, est une trahison déguisée,
    Des maîtres de l’illusion, des diables raffinés.

    Ils ne voient que le gain, que la gloire éphémère,
    Des âmes corrompues, par l’or et la lumière.
    Ils refusent de payer, de remettre en question,
    Leurs vies de mensonges, leurs fausses illusions.

    Ils profitent de la bonté, pour s’enrichir sans fin,
    Des égos démesurés, des cœurs sans lendemain.
    Des voleurs de lumière, des traîtres glorifiés,
    Les salops de cette terre, qui pourrissent la bonté.

    Les anges pleurent en silence, face à tant de mépris,
    Les cœurs purs se brisent, dans ce jeu d’hypocrisie.
    Ils marchent sur les rêves, des âmes innocentes,
    Des destructeurs de beauté, des vies insignifiantes.

    Mais un jour viendra, où la justice frappera,
    Les masques tomberont, leurs âmes se dévoileront.
    Ils paieront leurs dettes, dans un monde enflammé,
    Les salops de cette terre, verront leur fin arriver.

    Ils profitent de la bonté, pour s’enrichir sans fin,
    Des égos démesurés, des cœurs sans lendemain.
    Des voleurs de lumière, des traîtres glorifiés,
    Les salops de cette terre, qui pourrissent la bonté.

    La bonté survivra, malgré leurs trahisons,
    Les cœurs purs brilleront, comme des constellations.
    Et dans la fin des temps, quand tout sera jugé,
    Les salops de cette terre, auront tout à payer.

  • 07
    Monsieur le Président
    00:03:45

    Un président sans cœur, qui se fiche du peuple entier,
    Des lois par la force, la peur pour régner.
    Il est jeune et répressif, pense tout maîtriser,
    Mais les grèves se lèvent, la révolution est enrayée.

    Il marche dans les couloirs, avec une arrogance innée,
    Un sourire de façade, des promesses désavouées.
    Il croit tout savoir, tout comprendre, tout gérer,
    Mais il ne voit pas les cœurs brisés, les vies enchaînées.

    Des ordres par décret, des droits piétinés,
    Il impose sa volonté, sans jamais écouter.
    Les rues grondent de colère, les voix s’élèvent haut,
    Un président aveuglé, par son propre égo.

    Un président sans cœur, qui se fiche du peuple entier,
    Des lois par la force, la peur pour régner.
    Il est jeune et répressif, pense tout maîtriser,
    Mais les grèves se lèvent, la révolution est enrayée.

    Chaque jour, des grèves éclatent, des pancartes levées,
    Le peuple crie justice, mais il reste enfermé.
    Des mains tendues en vain, des espoirs broyés,
    Un président trop jeune, trop sourd pour écouter.

    Il envoie ses chiens de garde, pour briser les rangs,
    Des matraques et des boucliers, pour écraser les vents.
    Il pense contrôler, dompter la rébellion,
    Mais il ne fait qu'attiser, le feu de l'insurrection.

    Un président sans cœur, qui se fiche du peuple entier,
    Des lois par la force, la peur pour régner.
    Il est jeune et répressif, pense tout maîtriser,
    Mais les grèves se lèvent, la révolution est enrayée.

    Les murs se fissurent, sous la pression grandissante,
    Les chants de liberté, deviennent plus stridents.
    Il ferme les yeux, aux souffrances, aux plaintes,
    Un leader de façade, une ombre vacillante.

    Les rues se remplissent, de courage et de foi,
    Un peuple uni, qui refuse ses lois.
    Le jour approche, où tout s'effondrera,
    Quand la révolution se lèvera, il comprendra.

    Un président sans cœur, qui se fiche du peuple entier,
    Des lois par la force, la peur pour régner.
    Il est jeune et répressif, pense tout maîtriser,
    Mais les grèves se lèvent, la révolution est enrayée.

    Ce président tombera, sous le poids de ses erreurs,
    Le peuple se libèrera, des chaînes de la peur.
    Et dans l'histoire, restera cette leçon,
    Qu'aucun tyran ne peut stopper, la marche de la révolution.

  • 08
    De la misère au ciel
    00:03:34

    Dans la cité, je veux réussir, malgré les obstacles à franchir,
    Des valeurs fortes, je veux suivre, mais la société semble se détruire.
    Je crée, je me bats, mais personne ne m'entend,
    Dans ce monde fermé, où seuls les élites brillent en avant.

    Je suis le rêveur, le bâtisseur, dans cette jungle urbaine,
    Mais chaque pas en avant, est un combat qui se déchaîne.
    Des idées plein la tête, des projets à réaliser,
    Mais la société m'ignore, me laisse à l'abandon, épuisé.

    Je veux apporter ma pierre, changer le monde, le rendre meilleur,
    Mais les portes se ferment, devant mes rêves de grandeur.
    On me dit que je suis fou, que je perds mon temps,
    Mais je refuse de renoncer, je refuse de m'arrêter, pour autant.

    Dans la cité, je veux réussir, malgré les obstacles à franchir,
    Des valeurs fortes, je veux suivre, mais la société semble se détruire.
    Je crée, je me bats, mais personne ne m'entend,
    Dans ce monde fermé, où seuls les élites brillent en avant.

    Je construis des ponts, entre les mondes, entre les gens,
    Mais mes efforts sont ignorés, mes réalisations disparaissent souvent.
    Des idées volées, des rêves piétinés, je reste seul,
    Dans cette lutte solitaire, où le découragement feule.

    Pourtant, je tiens bon, je ne plierai pas devant l'adversité,
    Car je sais au fond de moi, que l'humain mérite sa dignité.
    Je continuerai à me battre, malgré les vents contraires,
    Pour que la société s'ouvre, pour que l'humain puisse renaître.

    Dans la cité, je veux réussir, malgré les obstacles à franchir,
    Des valeurs fortes, je veux suivre, mais la société semble se détruire.
    Je crée, je me bats, mais personne ne m'entend,
    Dans ce monde fermé, où seuls les élites brillent en avant.

    Je ne baisserai pas les bras, je continuerai à avancer,
    Car c'est dans la lutte, que se trouve la véritable chance de changer.
    Dans cette société inhumaine, je serai le porteur de l'espoir,
    Pour que l'humain règne à nouveau, dans un monde où le respect sera le seul pouvoir.

  • 09
    Dans la rage
    00:03:24

    Dans la rage, il s'enfonce, dans un tourbillon sans fin,
    La colère, comme un poison, consume tout sur son chemin.
    Il frappe, il hurle, il sombre dans la folie,
    Mais quand il partira, sa famille trouvera enfin la vie.

    Il est l'homme enragé, prisonnier de ses démons intérieurs,
    Chaque jour, chaque nuit, c'est la même douleur, le même malheur.
    Il ne contrôle rien, quand la rage l'envahit de plein fouet,
    Et sa femme, ses enfants, subissent sa fureur sans recul.

    Dans l'ivresse de la colère, il devient un monstre sans pitié,
    Les mots blessants, les gestes brutaux, il ne sait plus s'arrêter.
    La violence, comme une vague, submerge son être tout entier,
    Et sa famille, terrorisée, ne peut que subir et pleurer.

    Dans la rage, il s'enfonce, dans un tourbillon sans fin,
    La colère, comme un poison, consume tout sur son chemin.
    Il frappe, il hurle, il sombre dans la folie,
    Mais quand il partira, sa famille trouvera enfin la vie.

    La ceinture siffle, les coups pleuvent, dans la noirceur de la nuit,
    Il titube, il s'accroche aux murs, dans un élan de folie.
    Ses enfants tremblent, sa femme pleure, impuissante face à sa rage,
    Et il sait, au fond de lui, qu'il est l'unique responsable de ce carnage.

    Mais malgré les regrets, les remords, il retombe toujours dans l'abîme,
    La colère, comme un poison, coule dans ses veines, intime.
    Et quand viendra son dernier souffle, quand la mort le libérera enfin,
    Sa famille pourra enfin respirer, loin de son emprise, loin de son chagrin.

    Dans la rage, il s'enfonce, dans un tourbillon sans fin,
    La colère, comme un poison, consume tout sur son chemin.
    Il frappe, il hurle, il sombre dans la folie,
    Mais quand il partira, sa famille trouvera enfin la vie.

    Quand il sera parti, que ses démons ne le hanteront plus,
    Sa famille pourra enfin connaître la paix, dans un monde apaisé et ému.
    Il regrettera ses actes, ses erreurs, mais il sera trop tard,
    Pour eux, pour lui, pour vous, c'est la fin d'un cauchemar.

  • 10
    Le tyran
    00:02:50

    Le tyran agonise, dans l'ombre de sa chute imminente,
    Il veut tout anéantir, dans une dernière démente.

    Dans son palais de marbre, le dictateur se meurt,
    Son règne tyrannique s'achève dans la douleur.
    Il serre les poings, ivre de rage et de peur,
    Prêt à détruire, à consumer, dans un ultime malheur.

    Dans son délire de grandeur, il veut tout brûler,
    Les villes, les champs, tout réduire en cendres, pulvériser.
    Comme un enfant capricieux, il crie sa volonté de tout dominer,
    Mais dans ses yeux éteints, la peur de l'oubli, de l'histoire à effacer.
    Le tyran agonise, dans l'ombre de sa chute imminente,
    Il veut tout anéantir, dans une dernière démente.

    Sous son règne de fer, la souffrance a prospéré,
    Les cris des opprimés, les larmes des damnés, il les a ignorés.
    Maintenant, dans son dernier souffle, il veut tout consumer,
    Comme s'il pouvait effacer ses crimes, dans un feu éphémère.

    Mais le monde regarde, impuissant et horrifié,
    Le tyran déchu, prêt à tout détruire, à tout briser.
    Son règne touchant à sa fin, mais sa folie demeure,
    Dans un dernier sursaut de puissance, dans un ultime leurre.

    Le tyran agonise, dans l'ombre de sa chute imminente,
    Il veut tout anéantir, dans une dernière démente.

    Quand viendra l'heure de son trépas, quand enfin il sera vaincu,
    Le monde pansera ses plaies, dans un souffle de liberté retrouvée.
    Et dans l'histoire, il restera comme un sinistre souvenir,
    Le tyran qui voulait tout détruire, mais qui n'a fait que périr.

  • 11
    Le sage
    00:03:11

    Le sage contemple le monde, témoin des âges éphémères,
    Les sociétés naissent et meurent, dans l'incessant tourment de la terre.

    Sur la montagne, il s'assoit, observateur silencieux,
    Les empires s'élèvent puis s'effondrent, dans l'oubli ténébreux.
    Il voit les cycles de l'histoire se déployer,
    Les hommes qui bâtissent et détruisent, sans cesse tourmentés.

    Dans ses yeux sages, une lueur de tristesse,
    Face à la folie humaine, face à sa détresse.
    Il sait où mène le chemin des hommes, leurs pas incertains,
    Entre progrès et chaos, entre destin et vain.

    Le sage contemple le monde, témoin des âges éphémères,
    Les sociétés naissent et meurent, dans l'incessant tourment de la terre.

    Les schémas de pensée se déploient, se transforment,
    Le progrès et la régression, comme des vagues qui s'endorment.
    Il voit les hommes chercher, se perdre, se retrouver,
    Dans le labyrinthe du temps, dans l'immensité de l'éternité.

    Mais malgré sa sagesse, malgré sa compréhension,
    Il ne peut empêcher le cours de l'histoire, ni son inéluctable ascension.
    Il soupire, las de voir les hommes errer dans l'obscurité,
    Dans l'espoir qu'un jour, ils trouveront la clarté.

    Le sage contemple le monde, témoin des âges éphémères,
    Les sociétés naissent et meurent, dans l'incessant tourment de la terre.

    Sur sa montagne solitaire, il reste là, immuable,
    Gardien de la sagesse, dans un monde instable.
    Peut-être un jour les hommes entendront-ils sa voix,
    Et choisiront le chemin de la paix, dans un monde de choix.

    Le sage contemple le monde, témoin des âges éphémères,
    Les sociétés naissent et meurent, dans l'incessant tourment de la terre.

    Comme des poissons qui frétillent,
    hors de l'eau, qui scintille.
    Les hommes meurent lentement
    Dirigés par des déments.

  • 12
    Évoluons
    00:02:24

    Dans nos sociétés modernes, évoluer est un devoir,
    Pour un avenir plus juste, où règne l'espoir.

    Au cœur de nos villes, dans l'effervescence du quotidien,
    Nous naviguons entre progrès et besoins, dans le va-et-vient.
    Les technologies nous connectent, mais parfois nous isolent,
    Dans un monde où la compassion se noie, où l'empathie s'émousse.

    Il est temps de regarder ensemble vers l'horizon,
    De bâtir des lendemains plus doux, sans divisions.
    Car dans notre intérêt commun, réside la clé,
    Pour une société plus juste, où chacun peut espérer.

    Dans nos sociétés modernes, évoluer est un devoir,
    Pour un avenir plus juste, où règne l'espoir.

    Les inégalités persistent, les injustices perdurent,
    Dans un monde où le pouvoir souvent se fissure.
    Il est temps de réfléchir, de remettre en question,
    Les systèmes établis, les normes de notre condition.

    Éduquons-nous à la diversité, à la tolérance,
    À la solidarité qui transcende nos différences.
    Car dans nos luttes communes, dans nos aspirations partagées,
    Se trouve la force de changer, d'avancer, de progresser.

    Dans nos sociétés modernes, évoluer est un devoir,
    Pour un avenir plus juste, où règne l'espoir.

    Ensemble, main dans la main, regardons vers demain,
    Avec la volonté d'agir, pour un monde plus humain.

  • 13
    Nos enfants
    00:04:00

    Dans une maison où le silence crie,
    Des enfants observent, les yeux remplis de nuit.
    Leurs parents se déchirent, chaque jour un peu plus,
    Les mots sont des lames, les regards des fusils.

    Ils se battent pour des miettes, pour des rêves évanouis,
    Pour des promesses brisées, pour des jours enfuis.
    Ils restent ensemble pour nous, pour ne pas nous briser,
    Mais chaque cri, chaque larme, c'est un peu plus d'enfer.

    Oh, la tristesse des enfants, témoin des guerres à la maison,
    Le cœur lourd, l'âme en peine, dans cette prison.
    Ils rêvent d'un monde où l'amour serait roi,
    Mais le mal est pire, quand l'amour n'est plus là.

    Le frigo est vide, les ventres crient famine,
    Les parents se battent, des billets en ruine.
    Les factures s'entassent, les espoirs se fanent,
    Les enfants se cachent, dans un coin de la cabane.

    Ils entendent les murmures, les promesses de départ,
    Mais ils voient les parents rester, malgré tous leurs déboires.
    Ils se disent que c'est pour eux, ce sacrifice insensé,
    Mais le cœur des enfants, se brise à chaque blessure infligée.

    Oh, la tristesse des enfants, témoin des guerres à la maison,
    Le cœur lourd, l'âme en peine, dans cette prison.
    Ils rêvent d'un monde où l'amour serait roi,
    Mais le mal est pire, quand l'amour n'est plus là.

    Les nuits sont longues, les rêves sont noirs,
    Les enfants pleurent en silence, dans leur désespoir.
    Ils cherchent des réponses, dans le regard des étoiles,
    Mais la lumière est absente, et la douleur s'installe.

    Ils voudraient fuir, mais leurs pieds sont enracinés,
    Dans cette terre de conflits, où les espoirs sont damnés.
    Chaque dispute, chaque claque, résonne comme un glas,
    Les enfants souffrent en silence, dans ce triste sabbat.

    Oh, la tristesse des enfants, témoin des guerres à la maison,
    Le cœur lourd, l'âme en peine, dans cette prison.
    Ils rêvent d'un monde où l'amour serait roi,
    Mais le mal est pire, quand l'amour n'est plus là.

    Ils grandissent avec des cicatrices, invisibles mais réelles,
    Des blessures profondes, dans un cœur en chandelle.
    Ils apprennent à sourire, à masquer leur chagrin,
    Mais le poids des disputes, reste ancré dans leurs mains.

    Ils rêvent d'un ailleurs, d'un monde plus serein,
    Où les rires remplaceraient les cris, où l'amour serait un lien.
    Mais chaque matin, ils se réveillent dans ce même décor,
    Les parents se battent, et les enfants en pleurs encore.

    Oh, la tristesse des enfants, témoin des guerres à la maison,
    Le cœur lourd, l'âme en peine, dans cette prison.
    Ils rêvent d'un monde où l'amour serait roi,
    Mais le mal est pire, quand l'amour n'est plus là.

    Ensemble, ils espèrent, un jour, pouvoir voler,
    Loin de cette maison, où l'amour s'est effacé.
    Mais pour l'instant, ils restent, liés par le sang,
    Dans la tristesse des enfants, témoins des guerres des grands.

  • 14
    Les anciens
    00:03:37

    Dans des chambres froides, où le temps se fige,
    Des anciens attendent, leurs cœurs en déchirure.
    Leurs enfants les ont placés, loin des yeux, loin du cœur,
    Dans ces Ehpad tristes, où règne la douleur.

    Ils ont tant donné, avec amour et sagesse,
    Pour leurs enfants, qu'ils portaient avec tendresse.
    Mais maintenant, ils sont seuls, oubliés et tristes,
    Ils voient leurs jours s’éteindre, dans une lente agonie.

    Oh, la peine des anciens, abandonnés par les leurs,
    Dans ces murs de silence, où s’éteint leur lueur.
    Ils ont tant à offrir, sagesse et amour infini,
    C'est une honte de les laisser, dans cet oubli.

    Les enfants attendent, impatients et cupides,
    Que leurs parents partent, pour l’héritage sordide.
    Ils ne voient pas les larmes, ni les cœurs brisés,
    Ils ferment les yeux, sur le mal qu'ils ont causé.

    Les anciens se rappellent, des rires et des chants,
    Des moments partagés, des souvenirs émouvants.
    Mais ces souvenirs se fanent, dans la solitude froide,
    Ils espèrent encore, mais leur espoir est une cascade.

    Oh, la peine des anciens, abandonnés par les leurs,
    Dans ces murs de silence, où s’éteint leur lueur.
    Ils ont tant à offrir, sagesse et amour infini,
    C'est une honte de les laisser, dans cet oubli.

    Chaque visite est une lueur, dans leur nuit sans fin,
    Mais elles sont si rares, ces visites des siens.
    Ils écoutent les pas, qui ne viennent jamais,
    Et leurs cœurs se brisent, dans un souffle à jamais.

    Ils ont des histoires, des leçons de vie à partager,
    Mais personne n'écoute, personne pour s'en imprégner.
    Ils se sentent inutiles, dans cette cage dorée,
    Où le temps passe lentement, chaque jour est un fardeau à porter.

    Oh, la peine des anciens, abandonnés par les leurs,
    Dans ces murs de silence, où s’éteint leur lueur.
    Ils ont tant à offrir, sagesse et amour infini,
    C'est une honte de les laisser, dans cet oubli.

    Ils ont vu des guerres, des amours passionnés,
    Des enfants naître, des vies commencer.
    Mais tout cela semble loin, dans ces couloirs glacés,
    Où les souvenirs se meurent, comme des feuilles fanées.

    Ils se parlent entre eux, de leurs vies passées,
    Mais même ces récits, ne peuvent combler,
    Le vide laissé par ceux, qu'ils ont tant aimés,
    Et qui maintenant, les ont oubliés.

    Oh, la peine des anciens, abandonnés par les leurs,
    Dans ces murs de silence, où s’éteint leur lueur.
    Ils ont tant à offrir, sagesse et amour infini,
    C'est une honte de les laisser, dans cet oubli.

    Chaque jour est une bataille, contre la solitude,
    Ils espèrent encore, mais savent que c'est une habitude.
    Les enfants ne viendront pas, ils ont d'autres priorités,
    Et les anciens, eux, restent, dans cet oubli imposé.

    Ils ferment les yeux, rêvent d'un autre temps,
    Où ils étaient aimés, respectés, présents.
    Mais ces rêves s'éteignent, dans la froide réalité,
    Des Ehpad tristes, où ils sont condamnés.

    Oh, la peine des anciens, abandonnés par les leurs,
    Dans ces murs de silence, où s’éteint leur lueur

  • 15
    Les belles âmes
    00:04:00

    Belles âmes dans la rue, au milieu des esprits éteints,
    Vous ressentez leurs solitudes, leurs tristesses et leurs drames.
    Mais vous ne pouvez rien faire, face à ces âmes endormies,
    Ces moutons qui obéissent, broutent l'herbe rance de la vie.

    Les belles âmes marchent, lumière dans les yeux,
    Au milieu des esprits, endormis et peureux.
    Ils ne cherchent pas la vérité, vivent dans la peur,
    Leur âme est endormie, dans un sommeil sans lueur.

    Peut-être un jour, une étincelle les réveillera,
    Mais pour l'instant, les esprits éteints restent là.
    Les belles âmes espèrent, dans un coin de leur cœur,
    Que les esprits éteints verront enfin la lueur.

    Belles âmes dans la rue, au milieu des esprits éteints,
    Vous ressentez leurs solitudes, leurs tristesses et leurs drames.
    Mais vous ne pouvez rien faire, face à ces âmes endormies,
    Ces moutons qui obéissent, broutent l'herbe rance de la vie.

    Les belles âmes tentent, de réveiller ces esprits,
    Mais les esprits refusent, préfèrent leur confort gris.
    Ils fuient les vérités, et restent dans leur bulle,
    Les belles âmes soupirent, face à ce destin qui recule.

    Ils vivent dans une bulle, où rien ne change jamais,
    Ils évitent les questions, ils fuient la réalité.
    Les belles âmes les observent, avec tristesse et compassion,
    Elles savent qu’elles ne peuvent rien, face à cette désillusion.

    Belles âmes dans la rue, au milieu des esprits éteints,
    Vous ressentez leurs solitudes, leurs tristesses et leurs drames.

    Les esprits éteints suivent, sans jamais demander pourquoi,
    Leur vie est une routine, évitant toute joie.
    Les belles âmes regardent, avec un cœur lourd de chagrin,
    Sachant qu’elles ne peuvent rien, face à ce destin sans fin.

    Belles âmes dans la rue, au milieu des esprits éteints,
    Vous ressentez leurs solitudes, leurs tristesses et leurs drames.

    Belles âmes, continuez, avec la lumière dans vos yeux,
    Un jour, peut-être, les esprits verront ce qui est précieux.
    Portez votre fardeau, avec grâce et audace,
    Car même dans l'obscurité, vous êtes lueur et grâce.

  • 16
    Malbouffe empoisonnée
    00:03:57

    Malbouffe empoisonnée, nous tue à petit feu,
    Entreprises sans scrupules, respectent rien, c’est affreux.
    Nous sommes leurs victimes, dans ce grand marché,
    Où la vie humaine, ne vaut plus un denier.

    Les scandales éclatent, encore et toujours,
    Dans l’industrie alimentaire, c’est la fin du parcours.
    Des produits rappelés, cachant des dangers,
    Des bouts de verre, des bactéries à tuer.

    Malbouffe empoisonnée, nous tue à petit feu,
    Entreprises sans scrupules, respectent rien, c’est affreux.
    Nous sommes leurs victimes, dans ce grand marché,
    Où la vie humaine, ne vaut plus un denier.

    Les rappels se multiplient, c’est une honte sans fin,
    Des objets dangereux, dans nos assiettes sans frein.
    Des entreprises avides, ne voient que leur profit,
    Inondent nos vies, de malbouffe qui nous détruit.

    Malbouffe empoisonnée, nous tue à petit feu,
    Entreprises sans scrupules, respectent rien, c’est affreux.
    Nous sommes leurs victimes, dans ce grand marché,
    Où la vie humaine, ne vaut plus un denier.

    Les règles sont bafouées, la santé mise à mal,
    Pour quelques sous de plus, c’est vraiment infernal.
    Le peuple subit, les conséquences amères,
    De cette malbouffe, qui nous mène en enfer.

    Malbouffe empoisonnée, nous tue à petit feu,
    Entreprises sans scrupules, respectent rien, c’est affreux.
    Nous sommes leurs victimes, dans ce grand marché,
    Où la vie humaine, ne vaut plus un denier.

    Ils jouent avec nos vies, sans remords, sans regrets,
    Leurs produits toxiques, nous tuent en secret.
    Des promesses de qualité, des mensonges en vérité,
    Le peuple souffre, sous ce poids insensé.

    Malbouffe empoisonnée, nous tue à petit feu,
    Entreprises sans scrupules, respectent rien, c’est affreux.
    Nous sommes leurs victimes, dans ce grand marché,
    Où la vie humaine, ne vaut plus un denier.

    Il est temps de se lever, de dire stop à ce fléau,
    De réclamer justice, pour nos vies, nos héros.
    Ne plus être des pions, dans leur jeu sans cœur,
    Pour que nos enfants, vivent sans cette peur.

  • 17
    Ignorance quand tu nous tiens
    00:03:27

    Dans cette grande bouffonnerie orchestrée,
    Les sages voient au-delà des voiles tissés,
    Les masses endoctrinées, repues de futilités,
    Richesses et loisirs, illusions enchantées.

    Les sages voient les mensonges se répandre,
    Des cerveaux atrophiés, refusant de comprendre,
    La propagande, la publicité, l’ambition,
    Composent cette symphonie d’ignorance, de perdition.

    Ignorance humaine, refus de savoir,
    Dans cette mascarade, les sages voient l’espoir,
    Un monde aveuglé, plongé dans la honte,
    L’humanité danse, sur une corde qui monte.

    Ceux qui survivent, ceux qui comprennent,
    Ont plus de raisons, voient les chaînes,
    Les voiles se déchirent, la vérité s’éclaire,
    Ils vivent dans un monde, où tout est mystère.

    Les autres se complaisent, dans leurs illusions,
    La vie réduite à une simple ambition,
    La publicité nourrit, leurs esprits aveuglés,
    Les sages soupirent, dans cette absurdité.

    Ignorance humaine, refus de savoir,
    Dans cette mascarade, les sages voient l’espoir,
    Un monde aveuglé, plongé dans la honte,
    L’humanité danse, sur une corde qui monte.

    Le refus de savoir, le fléau ultime,
    Un monde plongé dans une ignorance intime,
    Les sages observent, impuissants, résignés,
    Cette humanité qui refuse d’éveiller.

    Ils voient les potentialités, les cœurs endormis,
    Les esprits alourdis par des promesses infinies,
    Mais la lumière se cache, derrière les ombres,
    Les sages savent, l’ignorance encombre.

    Ignorance humaine, refus de savoir,
    Dans cette mascarade, les sages voient l’espoir,
    Un monde aveuglé, plongé dans la honte,
    L’humanité danse, sur une corde qui monte.

    Les sages voient les cycles, les révolutions à venir,
    Ils attendent le réveil, l’humanité à s’ouvrir,
    Mais les voiles sont épais, les mensonges enracinés,
    Les esprits atrophiés, dans l’illusion emprisonnés.

    Ils savent que le chemin est long, semé d’embûches,
    Mais l’espoir persiste, même dans l’ombre des ruches,
    Car l’humanité a la force, de briser ses chaînes,
    Les sages prient, pour la fin de cette rengaine.

    Ignorance humaine, refus de savoir,
    Dans cette mascarade, les sages voient l’espoir,
    Un monde aveuglé, plongé dans la honte,
    L’humanité danse, sur une corde qui monte.

    Le plus grand fléau, c’est de fermer les yeux,
    Dans cette ignorance, on perd ce qui est précieux,
    Les sages savent, l’humanité peut changer,
    Il faut juste oser, il faut juste se réveiller.

  • 18
    Jouer à Dieu
    00:03:49

    A-t-on le droit de jouer à Dieu ?
    Manipuler la vie, briser les cieux,
    Quand la bête se libère, qui en paie le prix ?
    L’humanité souffre, dans ce sombre récit.

    Dans des laboratoires secrets, loin de la lumière,
    Les scientifiques jouent, avec la vie, en quête de mystère,
    Créant des virus, des monstres invisibles,
    Ils espèrent maîtriser, ce qui reste impensable.

    Un seul faux geste, une erreur fatale,
    Et la bête se libère, semant le mal,
    Pandémie mondiale, des millions de vies en jeu,
    Les libertés perdues, pour des esprits ambitieux.

    A-t-on le droit de jouer à Dieu ?
    Manipuler la vie, briser les cieux,
    Quand la bête se libère, qui en paie le prix ?
    L’humanité souffre, dans ce sombre récit.

    Ils cherchent des réponses, dans les codes de la vie,
    Mais le danger est là, en silence il sourit,
    Des fioles de terreur, des agents mortels,
    Dans des mains humaines, tout peut devenir cruel.

    La science avance, mais à quel coût ?
    Quand la nature se venge, on reste debout,
    Les libertés enchaînées, par la peur et la douleur,
    Le monde entier râle, mais l’espoir se meurt.

    A-t-on le droit de jouer à Dieu ?
    Manipuler la vie, briser les cieux,
    Quand la bête se libère, qui en paie le prix ?
    L’humanité souffre, dans ce sombre récit.

    Les chercheurs avancent, les mains dans le feu,
    Bravant les dangers, ignorant les cieux,
    Ils pensent tout maîtriser, comprendre l’inconnu,
    Mais la nature sauvage, n’est jamais vaincue.

    La bête dans la fiole, attend patiemment,
    Un geste malhabile, et tout bascule brusquement,
    Les rues deviennent vides, les cœurs se serrent,
    L’humanité en pleurs, dans un monde de fer.

    A-t-on le droit de jouer à Dieu ?
    Manipuler la vie, briser les cieux,
    Quand la bête se libère, qui en paie le prix ?
    L’humanité souffre, dans ce sombre récit.

    Les libertés volées, la peur enchaînée,
    Les scientifiques cherchent, mais peuvent-ils trouver,
    Une réponse à l’éthique, une raison au jeu,
    Quand la vie elle-même, devient leur enjeu ?

    Des millions pleurent, des vies arrachées,
    Pour un rêve de science, l’humanité brisée,
    Les esprits crient, la nature en colère,
    A-t-on le droit de jouer avec l’univers ?

    A-t-on le droit de jouer à Dieu ?
    Manipuler la vie, briser les cieux,
    Quand la bête se libère, qui en paie le prix ?
    L’humanité souffre, dans ce sombre récit.

    Les sages se demandent, où est la limite,
    Quand la curiosité, devient un délit,
    Les lois de la nature, bafouées par l’ambition,
    Peut-être est-il temps, de changer de direction.

    Un avenir incertain, marqué par des erreurs,
    Les scientifiques cherchent, mais la vérité fait peur,
    Le prix à payer, pour jouer avec le feu,
    C’est l’humanité entière, qui en porte le fardeau.

    A-t-on le droit de jouer à Dieu ?
    Manipuler la vie, briser les cieux,
    Quand la bête se libère, qui en paie le prix ?
    L’humanité souffre, dans ce sombre récit.

    Les mains dans le feu, les cœurs pleins de doute,
    Les scientifiques avancent, mais le monde est en route,
    Pour une réflexion, un retour à la raison,
    Car jouer à Dieu, peut mener à l’abandon.

  • 19
    Tout est dit
    00:04:00

    Tout est déjà écrit, tout est déjà dit,
    Dans des textes sacrés, la sagesse s’y blottit,
    Les philosophes anciens, les penseurs éclairés,
    Ont tracé la voie, pour ceux qui veulent chercher.

    Pas besoin d'éducation, savamment orchestrée,
    Les dogmes et les mensonges, n'ont rien à ajouter,
    La vérité est là, dans les mots des anciens,
    Pourquoi s’enterrer, dans des dogmes incertains ?

    Tout est déjà écrit, tout est déjà dit,
    Les sages nous ont montré, la voie à suivre ici,
    Pourquoi se perdre dans les dogmes et les laideurs ?
    La vérité est là, pour élever nos cœurs.

    Les prophètes ont parlé, les sages ont écrit,
    Des paroles éternelles, qui ne fanent jamais,
    Leurs leçons d’humilité, de paix et de lumière,
    Éclairent notre chemin, dans ce monde éphémère.

    Les livres sont ouverts, à qui veut les lire,
    Les secrets de la vie, les mystères à découvrir,
    Pourquoi s'accrocher, à des dogmes erronés ?
    La sagesse est là, pour ceux qui veulent aimer.

    Tout est déjà écrit, tout est déjà dit,
    Les sages nous ont montré, la voie à suivre ici,
    Pourquoi se perdre dans les dogmes et les laideurs ?
    La vérité est là, pour élever nos cœurs.

    Les mensonges se propagent, comme une ombre froide,
    Mais les paroles des sages, brillent malgré l’orage,
    Les faux prophètes crient, mais leurs voix sont vaines,
    Car la vérité perdure, à travers les âges et les peines.

    La sagesse des anciens, est notre héritage,
    Pour vivre en harmonie, éviter les ravages,
    Les dogmes sont des chaînes, qui nous retiennent en bas,
    Libérons nos esprits, trouvons la vraie voie.

    Tout est déjà écrit, tout est déjà dit,
    Les sages nous ont montré, la voie à suivre ici,
    Pourquoi se perdre dans les dogmes et les laideurs ?
    La vérité est là, pour élever nos cœurs.

    Dans chaque texte ancien, une perle de vérité,
    Un guide pour nos vies, pour mieux avancer,
    Les penseurs ont tracé, des chemins de lumière,
    Pour nous mener à la paix, au-delà des frontières.

    Les dogmes imposés, sont des mirages cruels,
    Les vraies réponses sont là, dans les mots éternels,
    Pourquoi s'égarer, dans des doctrines de fer ?
    Quand la sagesse est là, pour nous guider sur terre.

    Tout est déjà écrit, tout est déjà dit,
    Les sages nous ont montré, la voie à suivre ici,
    Pourquoi se perdre dans les dogmes et les laideurs ?
    La vérité est là, pour élever nos cœurs.

    Les philosophes ont vu, au-delà des illusions,
    Ils ont capté l’essence, de notre condition,
    Leurs paroles résonnent, comme des chants d’étoiles,
    Éclairant notre route, dissipant les voiles.

    Les dogmes aveuglent, les esprits fermés,
    Mais la sagesse ouvre, des portes déverrouillées,
    Pourquoi rester prisonniers, de doctrines sans amour ?
    Alors que tout est écrit, pour nous montrer le jour.

    Tout est déjà écrit, tout est déjà dit,
    Les sages nous ont montré, la voie à suivre ici,
    Pourquoi se perdre dans les dogmes et les laideurs ?
    La vérité est là, pour élever nos cœurs.

    Tout est déjà écrit par des mots sacrés,
    Les sages nous guident, vers une vie éclairée,
    Les dogmes tombent et la sagesse reste.

  • 20
    Nature d'or
    00:04:00

    La vie est un cadeau, une douce symphonie,
    Les arbres qui dansent, les rivières qui sourient,
    Les oiseaux chantent, leur mélodie légère,
    Un cerf qui gambade, un aigle dans l'éther.

    Le soleil se lève, doré sur l'horizon,
    Chaque jour une promesse, une nouvelle saison,
    La nature respire, dans un calme apaisant,
    Les plaisirs simples, l'instant présent.

    Mais les hommes arrivent, avec leurs certitudes,
    Leur haine déferle, comme une sombre multitude,
    Ils volent tout, ils brûlent tout, ils saccagent la terre,
    Le ciel se couvre, les nuages deviennent noirs.

    L’herbe sous nos pieds, douce comme un rêve,
    Les fleurs éclatantes, aux couleurs qui s’élèvent,
    Un papillon danse, léger dans le vent,
    La beauté du monde, en un instant présent.

    Les montagnes veillent, majestueuses et fières,
    Les forêts murmurent, des secrets millénaires,
    Chaque coin de nature, une ode à la vie,
    Un trésor à chérir, un paradis infini.

    Mais les hommes arrivent, avec leurs certitudes,
    Leur haine déferle, comme une sombre multitude,
    Ils volent tout, ils brûlent tout, ils saccagent la terre,
    Le ciel se couvre, les nuages deviennent noirs.

    Le ruisseau qui chante, sa mélodie pure,
    Les champs en fleurs, une toile de couleurs,
    Un renard qui file, gracieux et discret,
    La nature est un rêve, que l’on doit protéger.

    Les étoiles brillent, dans un ciel immaculé,
    La lune veille, sur ce monde enchanté,
    Chaque instant de paix, un souffle divin,
    Un cadeau de la terre, pour le genre humain.

    Mais les hommes arrivent, avec leurs certitudes,
    Leur haine déferle, comme une sombre multitude,
    Ils volent tout, ils brûlent tout, ils saccagent la terre,
    Le ciel se couvre, les nuages deviennent noirs.

    Le vent caresse, les feuilles des arbres hauts,
    Le murmure des vagues, au bord des rivages beaux,
    Les saisons qui passent, dans un cycle parfait,
    La nature nous guide, vers une paix trouvée.

    Un lapin qui bondit, dans la rosée du matin,
    Un cerf qui se repose, au creux d’un bosquet fin,
    La terre nous offre, ses merveilles sans fin,
    Des moments d’émerveillement, qui apaisent nos esprits.

    Mais les hommes arrivent, avec leurs certitudes,
    Leur haine déferle, comme une sombre multitude,
    Ils volent tout, ils brûlent tout, ils saccagent la terre,
    Le ciel se couvre, les nuages deviennent noirs.

    Le jour se lève, sur un monde encore pur,
    Chaque rayon de soleil, une lueur d’aventure,
    Les chants des oiseaux, une symphonie divine,
    La beauté du monde, à chaque instant nous fascine.

    Mais les hommes aveugles, dans leur quête insensée,
    Détruisent ce trésor, sans jamais s’arrêter,
    Les sauterelles humaines, ravagent et dévorent,
    La terre pleure, sous leur fureur dévorante.

    Mais les hommes arrivent, avec leurs certitudes,
    Leur haine déferle, comme une sombre multitude,
    Ils volent tout, ils brûlent tout, ils saccagent la terre,
    Le ciel se couvre, les nuages deviennent noirs.

    La nature pleure, sous le poids des hommes,
    Des cœurs endurcis, des âmes sans royaume,
    Il est temps de veiller, de protéger nos trésors.

  • 21
    Empereurs
    00:03:59

    Les esprits libres, enfermés par des chaînes,
    Des lois injustes, des règles inhumaines,
    Les maîtres du jeu, des présidents dictateurs,
    Empereurs d’un monde, où règnent erreurs et peurs.

    Ils disent que c'est pour notre bien,
    Mais on sent le poids des fers anciens,
    Chaque nouvelle loi, une brique au mur,
    Qui emprisonne les cœurs, et rend les esprits purs.

    Les sociétés veulent maîtriser les esprits libres,
    Les présidents dictateurs cumulent les erreurs et drames,
    Le peuple souffre, à la base de la pyramide,
    Mais sans la base, c'est tout l'édifice qui s'écroule.

    Ils créent des lois, pour nous tenir en laisse,
    Nous imposent des règles, qui nous oppressent,
    La liberté s’échappe, sous les coups de leurs décrets,
    Et les rêves s’effacent, dans un monde de regrets.

    Les voix s’élèvent, mais sont vite réprimées,
    Les cris de justice, dans le silence étouffés,
    Les esprits libres, cherchent un nouveau chemin,
    Mais les obstacles se dressent, toujours plus hautains.

    Les sociétés veulent maîtriser les esprits libres,
    Les présidents dictateurs cumulent les erreurs et drames,
    Le peuple souffre, à la base de la pyramide,
    Mais sans la base, c'est tout l'édifice qui s'écroule.

    Les rêves brisés, sous le poids de leurs lois,
    Les cœurs enfermés, dans des prisons sans joie,
    Ils parlent de progrès, de sécurité accrue,
    Mais tout ce qu'on voit, c'est la liberté perdue.

    Chaque président, un empereur sans couronne,
    Chaque décision, une erreur qui nous abandonne,
    Les esprits libres, cherchent une lumière,
    Dans un monde de ténèbres, ils veulent faire éclater les frontières.

    Les sociétés veulent maîtriser les esprits libres,
    Les présidents dictateurs cumulent les erreurs et drames,
    Le peuple souffre, à la base de la pyramide,
    Mais sans la base, c'est tout l'édifice qui s'écroule.

    Le peuple gronde, mais reste souvent muet,
    Les lois tombent, comme une pluie de secrets,
    Les esprits libres, cherchent à se libérer,
    Mais les chaînes se resserrent, toujours plus serrées.

    Les dirigeants jouent, avec des vies comme des pions,
    Chaque erreur coûte, des rêves et des nations,
    Le peuple souffre, sous le joug de la tyrannie,
    Mais sans la base, tout l’édifice s’affaiblit.

    Les sociétés veulent maîtriser les esprits libres,
    Les présidents dictateurs cumulent les erreurs et drames,
    Le peuple souffre, à la base de la pyramide,
    Mais sans la base, c'est tout l'édifice qui s'écroule.

    La base de la pyramide, c’est le cœur de la terre,
    Les esprits libres, la lumière dans l'univers,
    Ils peuvent détruire, mais ne peuvent pas comprendre,
    Que sans nous, leur pouvoir s'effondre.

    Le peuple se lève, un jour à la fois,
    Pour reprendre sa liberté, et dire ses lois,
    Les présidents dictateurs, sentiront la force,
    D’un peuple éveillé, qui détruit leurs forces.

    Les esprits libres, la clé de notre futur,
    Briseront les chaînes, et rendront tout plus pur,
    Les présidents empereurs, ne pourront jamais comprendre,
    Que sans le peuple, leur pouvoir est cendre.

  • 22
    L'amitié
    00:03:56

    Dans ce monde en feu, où tout semble brisé,
    L’amitié se lève, comme un phare allumé,
    Plus fort que l’amour, elle résiste au temps,
    Un lien inaltérable, magique et brillant.

    Des rires partagés, des larmes séchées,
    Des souvenirs gravés, dans des cœurs enlacés,
    L’amitié véritable, un trésor éternel,
    Un éclat de lumière, dans un monde cruel.

    L’amitié surpasse l’amour, inaltérable, magique, éternelle,
    Elle traverse les tempêtes, et jamais ne chancelle,
    Dans les rires, dans les pleurs, elle est notre forteresse,
    Un lien indestructible, notre plus grande richesse.

    Dans les nuits les plus sombres, une main tendue,
    Une épaule pour pleurer, une force inconnue,
    L’amitié nous porte, quand l’amour s’égare,
    Un phare dans la brume, une étoile dans le noir.

    Des promesses murmurées, des secrets partagés,
    Des rêves qui s’entrelacent, des chemins enlacés,
    L’amitié véritable, plus forte que la passion,
    Elle traverse les âges, et défie les saisons.

    L’amitié surpasse l’amour, inaltérable, magique, éternelle,
    Elle traverse les tempêtes, et jamais ne chancelle,
    Dans les rires, dans les pleurs, elle est notre forteresse,
    Un lien indestructible, notre plus grande richesse.

    Quand l’amour vacille, l’amitié reste droite,
    Elle ne connaît pas de fin, jamais ne s’éloigne,
    Elle guérit les blessures, apaise les cœurs,
    Un lien sacré, un don de l’intérieur.

    Des moments partagés, des routes parcourues,
    Des aventures vécues, des horizons inconnus,
    L’amitié véritable, une flamme qui brûle,
    Elle réchauffe nos vies, jamais ne recule.

    L’amitié surpasse l’amour, inaltérable, magique, éternelle,
    Elle traverse les tempêtes, et jamais ne chancelle,
    Dans les rires, dans les pleurs, elle est notre forteresse,
    Un lien indestructible, notre plus grande richesse.

    Elle nous guide, nous soutient, dans chaque pas,
    Une force invisible, qui jamais ne s’en va,
    L’amitié nous lie, à travers les années,
    Elle transcende le temps, et reste gravée.

    Des souvenirs enchaînés, des regards complices,
    Des mains qui se serrent, face aux abysses,
    L’amitié véritable, une magie infinie,
    Un don précieux, qui illumine nos vies.

    L’amitié surpasse l’amour, inaltérable, magique, éternelle,
    Elle traverse les tempêtes, et jamais ne chancelle,
    Dans les rires, dans les pleurs, elle est notre forteresse,
    Un lien indestructible, notre plus grande richesse.

    L’amour peut se faner, comme une rose en hiver,
    Mais l’amitié fleurit, dans chaque univers,
    Elle traverse les épreuves, indomptable et pure,
    Un lien éternel, une force qui dure.

    Des sourires sincères, des câlins réconfortants,
    Des mots d’encouragements, des gestes bienveillants,
    L’amitié véritable, un joyau précieux,
    Elle brille dans nos cœurs, comme un feu lumineux.

    L’amitié surpasse l’amour, inaltérable, magique, éternelle,
    Elle traverse les tempêtes, et jamais ne chancelle,

    L’amitié, ce trésor, notre ancre, notre port,
    Elle transcende l’amour, elle est notre plus beau sort,
    Inaltérable, magique, une force éternelle,
    Un lien indestructible, lumière essentielle.

  • 23
    Misanthrope
    00:04:00

    Dans ce monde de bruit, de chaos et d'agitation,
    Je me sens étouffer, noyé dans l'illusion,
    Je suis un misanthrope, étranger parmi les hommes,
    Leurs actions vides de sens, leurs mots qui résonnent.

    Je cherche la beauté, la pureté, la clarté,
    Mais tout ce que je vois, c'est la laideur, l'obscurité,
    Les autres me gênent, m'exaspèrent, me fatiguent,
    Leurs égoïsmes, leurs vanités, rien ne me soulage.

    Je suis un misanthrope, dans ce monde qui m'opprime,
    Les belles valeurs, les belles intelligences, me guident,
    Mais les autres me rongent, comme un chien rongerait un os,
    Je lutte contre leur emprise, je reste droit et ferme en mon propos.

    Les sourires forcés, les discours creux et vains,
    Je les vois partout, comme des ombres dans un train,
    Je suis un misanthrope, incompris et solitaire,
    Dans ce monde superficiel, où règne la misère.

    Je cherche la vérité, la justice, la compassion,
    Mais tout ce que je trouve, c'est la corruption,
    Les autres me répugnent, m'indignent, me révulsent,
    Leurs hypocrisies, leurs mensonges, rien ne me consulte.

    Je suis un misanthrope, dans ce monde qui m'opprime,
    Les belles valeurs, les belles intelligences, me guident,
    Mais les autres me rongent, comme un chien rongerait un os,
    Je lutte contre leur emprise, je reste droit et ferme en mon propos.

    Peut-être suis-je trop dur, peut-être suis-je cruel,
    Mais je ne peux nier, ce que je ressens, ce que je veux,
    Je suis un misanthrope, dans ce monde de folie,
    Je cherche la lumière, dans cette nuit infinie.

    Je suis un misanthrope, dans ce monde qui m'opprime,
    Les belles valeurs, les belles intelligences, me guident,
    Mais les autres me rongent, comme un chien rongerait un os,
    Je lutte contre leur emprise, je reste droit et ferme en mon propos.

    Je suis un misanthrope, dans ce monde si étroit,
    Mais je garde espoir, que la beauté triomphe de ce froid,
    Les autres peuvent m'abîmer, mais jamais me briser,
    Car je suis un misanthrope, et je continuerai d'exister.

  • 24
    Grand frère
    00:04:00

    Elle était si naïve, petite fleur fragile d'Asie,
    Avec ses yeux brillants, elle voyait son grand frère en héros,
    Mais derrière son sourire, se cachait un sombre allié,
    Un démon déguisé, prêt à briser ses rêves en morceaux.

    Elle lui faisait confiance, elle suivait ses pas sans peur,
    Mais ses caresses étaient des griffes, ses mots étaient des leurres,
    Elle croyait en son amour, en sa protection sans faille,
    Mais il était le bourreau, celui qui lui fit perdre son émail.

    Une petite fille innocente, perdue dans les bras du mal,
    Un ange déchiré, dans l'étreinte d'un démon brutal,
    Les larmes coulent en silence, dans l'ombre de la nuit,
    Une âme brisée, qui cherche la lumière dans l'oubli.

    Elle lui offrait son cœur, ses rires, ses secrets les plus doux,
    Mais il ne voyait en elle qu'une proie, un jouet à son cou,
    Elle rêvait de bonheur, de complicité, de tendresse,
    Mais il ne lui offrait que des souffrances, des cauchemars sans cesse.

    Elle pensait qu'il la protégerait, qu'il serait son héros,
    Mais il était son pire cauchemar, son bourreau, son bourbier, son chaos,
    Elle était si innocente, si pure, si belle à ses yeux,
    Mais il était son prédateur, son destructeur, son impie odieux.

    Une petite fille innocente, perdue dans les bras du mal,
    Un ange déchiré, dans l'étreinte d'un démon brutal,
    Les larmes coulent en silence, dans l'ombre de la nuit,
    Une âme brisée, qui cherche la lumière dans l'oubli.

    Elle ne comprenait pas, pourquoi la douleur la dévorait,
    Elle croyait en son frère, mais c'était une erreur, un triste fait,
    Elle pleurait en silence, elle cachait ses blessures,
    Mais son cœur saignait, dans l'ombre de ces tortures.

    Une petite fille innocente, perdue dans les bras du mal,
    Un ange déchiré, dans l'étreinte d'un démon brutal,
    Les larmes coulent en silence, dans l'ombre de la nuit,
    Une âme brisée, qui cherche la lumière dans l'oubli.

    Elle était une petite fille d'Asie, perdue dans les ténèbres,
    Dans les bras de celui qu'elle aimait, mais qui l'a rendu funèbre,
    Un ange déchiré, dans l'étreinte d'un démon sans merci,
    Dans ce drame cruel, son innocence s'est enfuie.


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