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La musique est une des plus belles création de l'humanité ! Elle a toujours été un support idéal pour exprimer mes joies et mes douleurs.

Intimité
[21 Musiques]

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"Intimité" est un album unique qui révèle les profondeurs de mon âme avec une sincérité désarmante. À travers ses mélodies envoûtantes et ses paroles poétiques, je peins un tableau à la fois intime et universel de mes sentiments les plus purs. Chaque note semble être une exploration des coins cachés de mon cœur, une quête pour comprendre ce qui fait de moi un être sensible et vulnérable. Les harmonies subtiles et les arrangements musicaux délicats enveloppent l'auditeur dans un cocon de réflexion et de contemplation. Cependant, avec "Intimité", je n'hésite pas à juger sévèrement l'humanité. J'expose sans détour les failles et les contradictions de notre société. Mes textes abordent les tares de l'humanité qui gangrènent notre époque. La critique est acerbe, mais toujours portée par une quête de vérité et de justice. J'interroge notre capacité à aimer et à être authentiques dans un monde souvent marqué par l'indifférence et la déshumanisation. "Intimité" est une œuvre d'art qui invite à une introspection profonde. J'encourage chacun à se reconnecter avec ce qu'il y a de plus beau en soi, tout en prenant conscience des ombres qui obscurcissent notre humanité et des dégâts qu'ils font sans en avoir conscience. C'est un appel à l'authenticité et à la sincérité, une exhortation à dépasser les masques sociaux pour retrouver une véritable connexion avec soi-même et avec les autres. En fin de compte, "Intimité" est un miroir tendu à notre âme collective, reflétant à la fois notre lumière et nos ténèbres. Pour afficher les informations correspondantes, cliquez sur les titres. Pour voir les paroles, cliquez sur 'paroles'.

Paroles, composition, musique : Patrick Courbin / Hobookan - Tous droits réservés


Présenté sur YouTube

Murmure de mon âme
À des Années-Lumière
Tic Tac
Toc toc
Yeshoua
Maman mon étoile éternelle
Le ciel voit tout
De la viande pour le Diable
Vipères de cendres
Filles du Vent
Pantins de Sang

Piste audio
Titre
Paroles
Durée
YouTube
  • 01
    Une prière pour Jésus
    00:03:59

    Une prière pour Jésus

    Ooooooooooo

    Hô mon doux Christ, chair de ma chair,
    Toi qui est de mon église la chaire,
    Le roi des rois, le maître absolu,
    Ecoute cette prière que je t'offre, résolu.

    Tu es mon éternité, ma raison de vivre, ma fierté,
    Mon amour pour toi va au-delà de la compréhension de l'humanité.
    Ils peuvent me griffer, tu seras là, trônant de toute ta lumière !
    Ils peuvent me torturer, tu seras là, dynaste de mon âme singulière !

    Ooooooooooo

    Regarde Seigneur, ils se ruent sur moi comme des démons insolents,
    Regarde, ils n'ont plus de pupilles, ténébreux indolents.
    Regarde, ils me jugent et me méprise sans même me comprendre,
    Regarde, ils ne voient même pas que tu es à mes côtés, ils vont l'entendre !

    Ooooooooooo

    Tu es ma vérité, le chemin qui me mène à Dieu, le chemin de bonté.
    La lumière qui me guide, la voix qui me conseille, l'amour réinventé.
    Tu es mon évangile et tu m'enseignes tes lois et tes règles.
    Seules tes mots me sont importants et je les regarde comme un aigle.

    Sur ma peau j'ai gravé ton chrisme sacré, mon ossature, mon essieu.
    Je porte l'alliance de notre union consacrée, mon secret précieux.
    Tu es le vent qui berce tendrement mon âme dans les déserts arides.
    L'eau qui étanche ma soif dans la grande traversée, l'autel de mon abside.

    Ooooooooooo

    Regarde Seigneur, ils se ruent sur moi comme des démons insolents,
    Regarde, ils n'ont plus de pupilles, ténébreux indolents.
    Regarde, ils me jugent et me méprise sans même me comprendre,
    Regarde, ils ne voient même pas que tu es à mes côtés, ils vont l'entendre !

    Ooooooooooo

    Reste à mes côtés, reste sans jamais te retourner,
    Protège mon âme de tous les excès de mon mental torturé.
    Car en toi seul réside l'amour, la paix et ma destinée,
    En toi seul réside la liberté, la vérité et ma beauté

    Ooooooooooo

    Regarde Seigneur, ils se ruent sur moi comme des démons insolents,
    Regarde, ils n'ont plus de pupilles, ténébreux indolents.
    Regarde, ils me jugent et me méprise sans même me comprendre,
    Regarde, ils ne voient même pas que tu es à mes côtés, ils vont l'entendre !

    Ooooooooooo

    Mmmmmmmmmmm
  • 02
    À des Années-Lumière
    00:03:47

    À des Années-Lumière

    Dans ce monde grouillant, comme des vers dans le compost,
    L’humanité erre, sans but, sans repère, elle se perd.
    Je suis à des années-lumière, je les regarde se détruire,
    Ils ne comprennent pas, ne voient pas le mal qu’ils font.

    Ils vont ici, ils vont là, ne cherchant que le profit,
    Ignorant les appels, les signes, les avertissements.
    Je les laisse à leurs dérives, à leurs illusions futiles,
    Leur chute est inévitable, prévisible, inéluctable.

    À des années-lumière, je les observe, impassible,
    Leur folie les consume, ils se perdront, c'est certain.
    Quand je leur dis de faire attention, ils me prennent pour un fou,
    Ne comprennent pas que Dieu peut tout réduire en poussière.

    Leurs temples, leurs monuments, bâtis sur l’arrogance,
    D’un simple geste divin, peuvent s’écrouler en un instant.
    Ils salissent ce qui est sacré, ne voyant que leur propre reflet,
    Pauvres humains aveuglés, ils courent à leur perte.

    Leurs vies sont des comédies, des drames sans fin,
    Ils ignorent la vérité, la lumière, le divin.
    Leur monde s’effondre, sous le poids de leur vanité,
    Je reste à distance, témoin de leur absurdité.

    Ils rient de mes paroles, sourds à la sagesse,
    Leurs âmes s’enlisent, dans la boue de leur faiblesse.
    Ils ne voient pas l’ombre qui plane, la menace qui grandit,
    Mais moi, je suis loin, à des années-lumière de leur nuit.

    À des années-lumière, je les observe, impassible,
    Leur folie les consume, ils se perdront, c'est certain.
    Quand je leur dis de faire attention, ils me prennent pour un fou,
    Ne comprennent pas que Dieu peut tout réduire en poussière.

    Ils construiront leurs ruines, de leurs propres mains,
    Aveuglés par l’orgueil, ils ne voient pas la fin.
    Je reste en retrait, loin de leur monde en déclin,
    À des années-lumière, je contemple leur destin.

    Dans ce monde grouillant, comme des vers dans le compost,
    L’humanité erre, sans but, sans repère, elle se perd.
    Je suis à des années-lumière, je les regarde se détruire,
    Ils ne comprennent pas, ne voient pas le mal qu’ils font.

  • 03
    Anima
    00:03:12

    Anima

    Oh, Anima, douce âme éternelle,
    Amour divin, essence universelle.

    Sous le ciel étoilé, la Terre nous enlace,
    L'amour de Dieu rayonne, infinie grâce.
    Chaque souffle, chaque vie, un maillon d'or,
    Dans la chaîne sacrée, nous trouvons notre essor.

    Anima, amour céleste,
    Guides nos cœurs en liesse.
    Anima, douce promesse,
    Chantons la vie en tendresse.

    Là où les rivières chantent, les forêts murmurent,
    La nature en symphonie, douce et pure.
    Dans chaque fleur, chaque arbre, un message,
    D'amour divin, de vie en héritage.

    Oh, Anima, lumière et paix,
    Par toi, nos âmes sont éveillées.
    Chaque instant, chaque regard,
    Est un reflet de ton égard.

    Dans les bras de la Terre, nous trouvons refuge,
    Amour de Dieu, nul besoin de subterfuge.
    Nos vies entrelacées, un tissage parfait,
    Chaque fil, chaque nœud, un acte de bonté.

    Anima, amour céleste,
    Guides nos cœurs en liesse.
    Anima, douce promesse,
    Chantons la vie en tendresse.

    Dans le silence sacré, nous entendons ta voix,
    Anima, qui nous guide, toujours là.
    Unissons nos cœurs, nos âmes en harmonie,
    Dans l'amour et la vie, trouvons notre symphonie.

    Oh, Anima, douce âme éternelle,
    Amour divin, essence universelle.
    Dans chaque souffle, chaque vie, un maillon d'or,
    Nous sommes unis, pour toujours encore.

  • 04
    Animus
    00:02:24

    Animus

    Oh, Animus, sombre reflet,
    Aveugles, ils plongent dans l’abîme parfait.

    Ils cherchent la gloire, les richesses éphémères,
    Ignorant la vie, la beauté, la lumière.
    Dans leur quête insensée, égoïsme profond,
    Leurs âmes errent, perdues dans les bas-fonds.

    Animus, miroir brisé,
    Hommes déchus, âmes damnées.
    Animus, puanteur amère,
    Ils entraînent l’humanité dans leur enfer.

    Leurs cœurs sont noirs, leurs yeux voilés,
    Ils piétinent la Terre, l’amour ignoré.
    Se pensant les meilleurs, ils sont les pires,
    Attirant le monde vers le bas, dans le pire.

    Oh, Animus, gouffre sans fond,
    Égoïsme, leur unique horizon.
    Chaque acte, chaque mot,
    Les enfonce plus bas, dans ce chaos.

    Ils ne voient pas la vie qui vibre autour,
    Ignorant la beauté, l’amour qui court.
    Dans leur avidité, ils se décomposent,
    Sales, puants, leur humanité explose.

    Animus, miroir brisé,
    Hommes déchus, âmes damnées.
    Animus, puanteur amère,
    Ils entraînent l’humanité dans leur enfer.

    Ils sont les ombres, les ténèbres incarnées,
    Leurs vies vides, de gloire fanée.
    Dans leur aveuglement, ils sont perdus,
    Animus, le gouffre, toujours plus cru.

    Oh, Animus, sombre reflet,
    Aveugles, ils plongent dans l’abîme parfait.
    Leurs âmes errent, perdues pour toujours,
    Dans l’égoïsme, la fin de leur parcours.

  • 05
    Murmure de mon âme
    00:44:18

    Pas de paroles
  • 06
    Yeshoua
    00:03:59

    Yeshoua

    Un jour glorieux, le soleil éclatant,
    L'armée des archanges avance en chantant,
    Portant la pierre, ancestrale et sacrée,
    Pour reconstruire le temple, l'amour retrouvé.

    Gloire à Yeshoua, gloire éternelle,
    La pierre sacrée descend, prophétie nouvelle,
    Yeshoua, notre guide, notre espoir,
    Pour la reconstruction, le saint des saints, ce soir.

    Dans les rues et ruelles, la foule attend,
    Le cœur vibrant, le moment est grand,
    La pierre angulaire, signe de l'alliance,
    Rappelle l'antique amour, la divine présence.

    Gloire à Yeshoua, gloire éternelle,
    La pierre sacrée descend, prophétie nouvelle,
    Yeshoua, notre guide, notre espoir,
    Pour la reconstruction, le saint des saints, ce soir.

    Les voix s'élèvent, unies dans la prière,
    Pour le temple sacré, pour notre lumière,
    L'amour antique renaît, puissant et fort,
    Sous les yeux de Yeshoua, un nouvel essor.

    Les archanges avancent, la pierre en mains,
    Les rues illuminées, de ce destin certain,
    Le temple se relève, majestueux et grand,
    Symbole d'espoir, amour incandescent.

    Gloire à Yeshoua, gloire éternelle,
    La pierre sacrée descend, prophétie nouvelle,
    Yeshoua, notre guide, notre espoir,
    Pour la reconstruction, le saint des saints, ce soir.

    Sous les étoiles, la paix retrouvée,
    Le temple se dresse, glorieux et sacré,
    Yeshoua, nous chantons ta grandeur,
    Gloire à Yeshoua, notre terre, notre cœur.

  • 07
    Cavaliers
    00:03:09

    Cavaliers

    Rahhhhhhhhh ! It's high time to choose your side!

    Les cavaliers de l'Apocalypse arrivent en furie,
    Leurs pas résonnent, la terre en agonie,
    Tremblements et coulées, nature en colère,
    L'humanité se courbe, face à cette ère de fer.

    Les cavaliers avancent, semant la destruction,
    Tornades meurtrières, la fin de l'illusion,
    La peste et les virus, vermine en attaque,
    Les chiens de Satan rient, dans cette débâcle.

    Rahhhhhhhhh ! It's high time to choose your side!
    Ils dominent, salissent le beau et le vrai,
    La terre tremble de terreur sous chaque pas foulé,
    Les hommes impuissants, face à cette fureur,
    Le monde en ruine, écrasé par cette horreur.

    Les cavaliers avancent, semant la destruction,
    Tornades meurtrières, la fin de l'illusion,
    La peste et les virus, vermine en attaque,
    Les chiens de Satan rient, dans cette débâcle.

    Rahhhhhhhhh ! It's high time to choose your side!

    Les cieux se déchirent, un cri de désespoir,
    La terre saigne, sous le joug du noir,
    Les cavaliers s'élancent, aucun répit,
    L'humanité se noie, dans ce gouffre infini.

    La peur et le chaos, règnent sans fin,
    Chaque pas des cavaliers, enfonce le destin,
    Les prophéties s'accomplissent, sous nos yeux terrifiés,
    La fin approche, sous ce ciel dévasté.

    Les cavaliers avancent, semant la destruction,
    Tornades meurtrières, la fin de l'illusion,
    La peste et les virus, vermine en attaque,
    Les chiens de Satan rient, dans cette débâcle.

    Rahhhhhhhhh ! It's high time to choose your side!

    La terre tremble encore, sous le poids du mal,
    Les cavaliers s'éloignent, laissant un monde brutal,
    Les ruines témoignent, de ce passage cruel,
    L'humanité brisée, sous l'ombre éternelle.

    Mmmmmmmm

    Rahhhhhhhhh ! It's high time to choose your side!

    Ooooooooooo
  • 08
    Ar Megiddo
    00:02:57

    Ar Megido

    Oooooo We take flight under the light of God

    Les armées d'archanges s'alignent, pleines de gloire,
    Dans la grande plaine de Megido, prêtes à l'histoire,
    Je suis fier, un général parmi les élus,
    Sous la bannière de Jésus, la lumière absolue.

    Jésus à notre tête, resplendissant de Dieu,
    Éblouissant, nous guidant sous les cieux,
    Nous nous ruons, pour éradiquer le mal,
    Préparer la Terre, pour l'avènement final.

    Oooooo We fight under the light of God

    La vermine et le mal, nous les chassons sans répit,
    Pour purifier ce monde, en cette heure bénie,
    Les épées brillent, sous le soleil éclatant,
    Nous marchons unis, en ce jour triomphant.

    Jésus à notre tête, resplendissant de Dieu,
    Éblouissant, nous guidant sous les cieux,
    Nous nous ruons, pour éradiquer le mal,
    Préparer la Terre, pour l'avènement final.

    Oooooo We fight under the light of God

    Dans le vent, le chant des anges s'élève,
    La terre tremble, sous notre pouvoir sans trève,
    Nous avançons, déterminés et forts,
    Pour la Jérusalem Céleste, un nouveau décor.

    Les ténèbres reculent, devant notre lumière,
    Le mal disparaît, sous notre foi sincère,
    Le jour approche, de la divine venue,
    Où la Terre renaîtra, sous un ciel jamais vu.

    Jésus à notre tête, resplendissant de Dieu,
    Éblouissant, nous guidant sous les cieux,
    Nous nous ruons, pour éradiquer le mal,
    Préparer la Terre, pour l'avènement final.

    Oooooo We fight under the light of God

    La plaine de Megido, témoin de notre foi,
    Les armées célestes, portant la loi,
    Vers la Jérusalem Céleste, nous marchons unis,
    Dans la lumière de Dieu, pour l'éternité infinie.

    Mmmmmmmmmm

    Oooooo We take flight under the light of God

    Oooooooooo
  • 09
    Archanges
    00:04:00

    Archanges

    Ô Dieu d'amour, ô lumière infinie,
    Guide nos cœurs, éclaire notre vie,
    Nous, tes archanges, guerriers dévoués,
    Nous agenouillons, humblement inclinés.

    Toi qui connais le fond de nos âmes,
    Accorde-nous la force, ô flamme,
    De combattre l'ombre, de purifier la terre,
    Par ta grâce, ton amour, notre lumière.

    Dans le silence de cette nuit sacrée,
    Nous élevons nos voix, pour te prier,
    Protège les innocents, garde les justes,
    Que ta bonté en nous s'illustre.

    Toi qui connais le fond de nos âmes,
    Accorde-nous la force, ô flamme,
    De combattre l'ombre, de purifier la terre,
    Par ta grâce, ton amour, notre lumière.

    Seigneur, entends nos cris, nos supplications,
    Nous portons ta parole, ta divine mission,
    Nous marchons dans ta lumière, armés de ta foi,
    Ô Dieu d'amour, guide chacun de nos pas.

    Que nos épées brillent de ta justice,
    Que nos actions soient des prémices,
    D'un monde empli de paix et de lumière,
    Un reflet parfait de ton amour sincère.

    Toi qui connais le fond de nos âmes,
    Accorde-nous la force, ô flamme,
    De combattre l'ombre, de purifier la terre,
    Par ta grâce, ton amour, notre lumière.

    Ô Dieu d'amour, dans ton éternité,
    Nous te prions, en toute humilité,
    Que ta volonté se fasse ici-bas,
    Nous, tes archanges, suivrons ta voie.

    La plaine de Megido, témoin de notre foi,
    Les armées célestes, portant la loi,
    Vers la Jérusalem Céleste, nous marchons unis,
    Dans la lumière de Dieu, pour l'éternité infinie.

  • 10
    Tic Tac
    00:14:37

    Tic Tac

    Mmmmm Tic tac, tic tac, tic tact
    Mmmmm Tic tac, tic tac, tic tact

    Tic tac, tic tac, le temps s'écoule sans fin,
    Regarde les âmes, se perdant en chemin,
    Hilare, il observe, notre danse insensée,
    Les secondes s’égrainent, nos vies enchaînées.

    Tic tac, tic tac, le temps passe et tu trépasses,
    Égaré dans la course, où le vide te menace,
    Tic tac, tic tac, chaque instant est une trace,
    Que la vie s'efface, dans ce cycle qui nous chasse.

    Mmmmm Tic tac, tic tac, tic tact
    Mmmmm Tic tac, tic tac, tic tact

    Les heures s'envolent, comme des rêves oubliés,
    Les visages s’effacent, dans l'ombre du passé,
    Le temps est un maître, impitoyable et froid,
    Nous sommes ses marionnettes, suspendues à sa loi.

    Tic tac, tic tac, le temps passe et tu trépasses,
    Égaré dans la course, où le vide te menace,
    Tic tac, tic tac, chaque instant est une trace,
    Que la vie s'efface, dans ce cycle qui nous chasse.

    Mmmmm Tic tac, tic tac, tic tact
    Mmmmm Tic tac, tic tac, tic tact

    Les aiguilles dansent, une valse sans fin,
    Elles nous rappellent, que tout a une fin,
    Tic tac, tic tac, les battements résonnent,
    Chaque seconde qui fuit, est une vie qui s'étonne.

    Le temps est un tyran, riant de nos efforts,
    Nous cherchons le sens, mais restons dehors,
    Perdus dans l’illusion, de pouvoir l'arrêter,
    Mais il nous échappe, dans un souffle léger.

    Tic tac, tic tac, le temps passe et tu trépasses,
    Égaré dans la course, où le vide te menace,
    Tic tac, tic tac, chaque instant est une trace,
    Que la vie s'efface, dans ce cycle qui nous chasse.

    Mmmmm Tic tac, tic tac, tic tact
    Mmmmm Tic tac, tic tac, tic tact

    Les jours se succèdent, sans jamais ralentir,
    Nos espoirs s'étiolent, dans ce monde à fuir,
    Le temps est un spectre, qui nous suit pas à pas,
    Il regarde en silence, nos vies, nos combats.

    Tic tac, tic tac, le temps passe et tu trépasses,
    Égaré dans la course, où le vide te menace,
    Tic tac, tic tac, chaque instant est une trace,
    Que la vie s'efface, dans ce cycle qui nous chasse.

    Mmmmm Tic tac, tic tac, tic tact
    Mmmmm Tic tac, tic tac, tic tact

    Nous courons après l'ombre, d'un futur incertain,
    Ignorant les présents, que le temps nous destine,
    Tic tac, tic tac, c'est la danse éternelle,
    Des âmes égarées, dans une course infidèle.

    Tic tac, tic tac, le temps passe et tu trépasses,
    Égaré dans la course, où le vide te menace,
    Tic tac, tic tac, chaque instant est une trace,
    Que la vie s'efface, dans ce cycle qui nous chasse.

    Tic tac, tic tac, le temps s'estompe doucement,
    Il emporte nos rêves, nos rires, nos chants,
    Mais dans ce tic tac, une leçon à tirer,
    Chéris chaque instant, avant de trépasser.

    Mmmmm Tic tac, tic tac, tic tact

    Mmmmm Tic tac, tic tac, tic tact

    Tic tac
  • 11
    Toc toc
    00:07:09

    Toc Toc

    Toc toc, quelqu'un répond ? J'arrive pour te chercher !
    Toc toc, quelqu'un répond ? J'arrive pour te juger !

    Toc toc, c'est la mort qui frappe à ta porte,
    As-tu été bon, as-tu été fort ?
    La vie est un chemin où l'âme se tord,
    Es-tu prêt à revendiquer la lumière encore ?

    Toc toc, le jugement est imminent,
    As-tu été honnête, as-tu été brillant ?
    Les jours défilent, le temps est constant,
    Es-tu digne de Dieu, es-tu prêt maintenant ?

    Toc toc, c'est la mort qui toc à ta porte,
    Es-tu prêt à répondre de tes actes en sorte ?
    Toc toc, le moment est venu,
    De revendiquer la lumière, d'être reconnu.

    Toc toc, quelqu'un répond ? J'arrive pour te chercher !
    Toc toc, quelqu'un répond ? J'arrive pour te juger !

    Toc toc, les souvenirs défilent en cascade,
    As-tu vécu avec courage, évité la façade ?
    Chaque instant compte, chaque choix est une parade,
    As-tu été digne, as-tu évité l'armada ?

    Toc toc, c'est la mort qui toc à ta porte,
    Es-tu prêt à répondre de tes actes en sorte ?
    Toc toc, le moment est venu,
    De revendiquer la lumière, d'être reconnu.

    Toc toc, quelqu'un répond ? J'arrive pour te chercher !
    Toc toc, quelqu'un répond ? J'arrive pour te juger !

    Toc toc, l'heure est à la réflexion,
    As-tu donné de l'amour, partagé ta vision ?
    La vie est une épreuve, pleine de missions,
    Es-tu prêt pour l'éternelle rémission ?

    Toc toc, c'est la mort qui toc à ta porte,
    Es-tu prêt à répondre de tes actes en sorte ?
    Toc toc, le moment est venu,
    De revendiquer la lumière, d'être reconnu.

    Toc toc, quelqu'un répond ? J'arrive pour te chercher !
    Toc toc, quelqu'un répond ? J'arrive pour te juger !

    Toc toc, la fin est là, es-tu prêt ?
    As-tu été juste, as-tu été parfait ?
    Le temps est venu de payer ta dette,
    Es-tu prêt à rejoindre la lumière, à faire la fête ?

    Toc toc, c'est la mort qui toc à ta porte,
    Es-tu prêt à répondre de tes actes en sorte ?
    Toc toc, le moment est venu,
    De revendiquer la lumière, d'être reconnu.

    Toc toc, quelqu'un répond ? J'arrive pour te chercher !
    Toc toc, quelqu'un répond ? J'arrive pour te juger !

    Toc toc, le dernier coup retentit,
    Es-tu prêt à affronter l'infini ?
    La vie a passé, le jugement s'initie,
    Toc toc, la porte s'ouvre, l'âme s'élucide.

    Toc toc, quelqu'un répond ? J'arrive pour te chercher !
    Toc toc, quelqu'un répond ? J'arrive pour te juger !

    Toc toc, c'est la mort qui toc à ta porte,
    Es-tu prêt à répondre de tes actes en sorte ?
    Toc toc, le moment est venu,
    De revendiquer la lumière, d'être reconnu.

    Toc toc, quelqu'un répond ? J'arrive pour te chercher !

  • 12
    Oh non !
    00:03:20

    Oh non

    Oh non, il est trop tard pauvre connard !
    Oh non, t'es pas chrétien pauvre crétin !

    Oh non, tu es venu sur terre sans comprendre,
    La vie t'a échappé, tu n'as su t'étendre.
    Inconscient, tu as erré dans l'ombre,
    Oh non, tu n'as fait qu'attendre.

    Oh non, tu n'as rien compris,
    Rien appris, ta vie s'est enfuie.
    Oh non, de l'autre côté, c'est fini,
    Tu es disgracié, banni, méprisable, puni.

    Oh non, il est trop tard pauvre connard !
    Oh non, t'es pas chrétien pauvre crétin !

    Oh non, tu as subi sans te battre,
    Chaque jour passé à attendre le désastre.
    Rien accompli, tu as fui tes astres,
    Oh non, ta vie n'a été que désastre.

    Oh non, tu n'as rien compris,
    Rien appris, ta vie s'est enfuie.
    Oh non, de l'autre côté, c'est fini,
    Tu es disgracié, banni, méprisable, puni.

    Oh non, il est trop tard pauvre connard !
    Oh non, t'es pas chrétien pauvre crétin !

    Oh non, la misère t'a englouti,
    Dans la merde, tu as péri sans un cri.
    De l'autre côté, la prise de conscience jaillit,
    Oh non, tu es perdu, ton âme faiblit.

    Oh non, tu n'as rien compris,
    Rien appris, ta vie s'est enfuie.
    Oh non, de l'autre côté, c'est fini,
    Tu es disgracié, banni, méprisable, puni.

    Oh non, il est trop tard pauvre connard !
    Oh non, t'es pas chrétien pauvre crétin !

    Oh non, la dette est payée, tu es disgracié,
    Banni de la lumière, à jamais écarté.
    Méprisable, ton esprit est dévasté,
    Oh non, tu rêves déjà de revenir, de racheter.

    Oh non, tu n'as rien compris,
    Rien appris, ta vie s'est enfuie.
    Oh non, de l'autre côté, c'est fini,
    Tu es disgracié, banni, méprisable, puni.

    Oh non, il est trop tard pauvre connard !
    Oh non, t'es pas chrétien pauvre crétin !

    Oh non, tu te souviens des jours perdus,
    Des moments gaspillés, des rêves non vus.
    Chaque instant oublié te laisse confus,
    Oh non, le regret te ronge, tu n'as rien perçu.

    Oh non, tu n'as rien compris,
    Rien appris, ta vie s'est enfuie.
    Oh non, de l'autre côté, c'est fini,
    Tu es disgracié, banni, méprisable, puni.

    Oh non, il est trop tard pauvre connard !
    Oh non, t'es pas chrétien pauvre crétin !

    Oh non, c'est la fin de ton histoire,
    Une vie de néant, de désespoir.
    Tu rêves de revenir, d'effacer le noir,
    Oh non, tu n'as rien compris, rien appris, au revoir.

    Oh non, tu n'as rien compris,
    Rien appris, ta vie s'est enfuie.
    Oh non, de l'autre côté, c'est fini,
    Tu es disgracié, banni, méprisable, puni.

    Oh non, il est trop tard pauvre connard !
    Oh non, t'es pas chrétien pauvre crétin !
  • 13
    Errance
    00:03:55

    Errance

    Dans l'abîme tu erres, tu t'abimes.
    Dans le néant tu sombres dans ce sombre océan !

    Dans l'abîme de l'oubli, une âme perdue,
    Errant sans but, des richesses retenues.
    Avarice et méchanceté, ses seules vertus,
    Maintenant seule, dans l'ombre, elle est détenue.

    Errance et solitude, son seul destin,
    Rien que souffrance, dans ce bas astral malsain.
    Tant qu'elle ne reviendra pas, elle sera en déclin,
    Errant comme une merde, sans fin.

    Dans l'abîme tu erres, tu t'abimes.
    Dans le néant tu sombres dans ce sombre océan !

    Autour des lieux où jadis elle brillait,
    L'âme erre, espérant retrouver ce qu'elle aimait.
    La gloire, les richesses, l'amour lui échappaient,
    Mais tout est fini, tout est passé.

    Errance et solitude, son seul destin,
    Rien que souffrance, dans ce bas astral malsain.
    Tant qu'elle ne reviendra pas, elle sera en déclin,
    Errant comme une merde, sans fin.

    Dans l'abîme tu erres, tu t'abimes.
    Dans le néant tu sombres dans ce sombre océan !

    Avare et ignoble, elle fut en vie,
    Accumuler des trésors, sa seule frénésie.
    Maintenant morte, elle est en agonie,
    Ne méritant que l'errance, rien n'est fini.

    Errance et solitude, son seul destin,
    Rien que souffrance, dans ce bas astral malsain.
    Tant qu'elle ne reviendra pas, elle sera en déclin,
    Errant comme une merde, sans fin.

    Dans l'abîme tu erres, tu t'abimes.
    Dans le néant tu sombres dans ce sombre océan !

    Les lieux de sa gloire la hantent encore,
    Elle espère goûter à ces jours d'or.
    Mais l'amour d'une femme est un rêve mort,
    Tout est fini, tout est dehors.

    Errance et solitude, son seul destin,
    Rien que souffrance, dans ce bas astral malsain.
    Tant qu'elle ne reviendra pas, elle sera en déclin,
    Errant comme une merde, sans fin.

    Dans l'abîme tu erres, tu t'abimes.
    Dans le néant tu sombres dans ce sombre océan !

    Pas de rédemption tant qu'elle s'accroche,
    À ces richesses, à ce monde où elle flanche.
    Se réincarner, trouver la lumière blanche,
    Est sa seule chance, mais l'âme est franche.

    Errance et solitude, son seul destin,
    Rien que souffrance, dans ce bas astral malsain.
    Tant qu'elle ne reviendra pas, elle sera en déclin,
    Errant comme une merde, sans fin.

    Dans l'abîme tu erres, tu t'abimes.
    Dans le néant tu sombres dans ce sombre océan !

    Errance éternelle, jusqu'à la volonté,
    De revenir, de changer, de tout recommencer.
    Sinon, elle errera, souffrira, pour l'éternité,
    Une âme perdue, une âme damnée.

    Errance et solitude, son seul destin,
    Rien que souffrance, dans ce bas astral malsain.
    Tant qu'elle ne reviendra pas, elle sera en déclin,
    Errant comme une merde, sans fin.

    Dans l'abîme tu erres, tu t'abimes.
    Dans le néant tu sombres dans ce sombre océan !
  • 14
    Délivrance
    00:03:36

    Délivrance

    A l'aurore des nuits, tu t'animes.
    Plus rien ne compte que l'amour unanime !

    Dans le ciel, une âme resplendit,
    Brillant de mille feux, éclat divin.
    Toute sa vie, elle fut digne et infinie,
    Maintenant prête pour le festin sans fin.

    Délivrance, enfin, tu es arrivée,
    Au festin céleste, tu es conviée.
    Dans l’éclat de Dieu, tu es élevée,
    Digne de l'éternité, à jamais aimée.

    A l'aurore des nuits, tu t'animes.
    Plus rien ne compte que l'amour unanime !

    Les pièges malsains, elle les a déjoués,
    Toujours croyant en quelques saints.
    Digne de l’éternelle joie, désormais,
    Elle goûte à l'euphorie divine, ce chemin.

    Délivrance, enfin, tu es arrivée,
    Au festin céleste, tu es conviée.
    Dans l’éclat de Dieu, tu es élevée,
    Digne de l'éternité, à jamais aimée.

    A l'aurore des nuits, tu t'animes.
    Plus rien ne compte que l'amour unanime !

    Tes ancêtres t’accueillent avec amour,
    Ils savent que ta bonté les sauve.
    Vous riez tous ensemble, sans détour,
    Dans la lumière divine, vous trouvez l'aube.

    Délivrance, enfin, tu es arrivée,
    Au festin céleste, tu es conviée.
    Dans l’éclat de Dieu, tu es élevée,
    Digne de l'éternité, à jamais aimée.

    A l'aurore des nuits, tu t'animes.
    Plus rien ne compte que l'amour unanime !

    Magnifique âme, pure et éclatante,
    La beauté divine te couronne.
    Dans l'éternité, tu es constante,
    Digne de la lumière, aucune trahison.

    Délivrance, enfin, tu es arrivée,
    Au festin céleste, tu es conviée.
    Dans l’éclat de Dieu, tu es élevée,
    Digne de l'éternité, à jamais aimée.

    A l'aurore des nuits, tu t'animes.
    Plus rien ne compte que l'amour unanime !

    Vous dansez tous, unis dans la gloire,
    Au plus près de la lumière de Dieu.
    Vos cœurs chantent une belle histoire,
    Dans ce royaume, tout est merveilleux.

    Délivrance, enfin, tu es arrivée,
    Au festin céleste, tu es conviée.
    Dans l’éclat de Dieu, tu es élevée,
    Digne de l'éternité, à jamais aimée.

    A l'aurore des nuits, tu t'animes.
    Plus rien ne compte que l'amour unanime !

    Délivrance, l’âme s’élève, sublime,
    Dans la grâce divine, pure et infinie.
    Digne du paradis, où l’amour prime,
    Pour l’éternité, dans la lumière, réunie.

    Délivrance, enfin, tu es arrivée,
    Au festin céleste, tu es conviée.
    Dans l’éclat de Dieu, tu es élevée,
    Digne de l'éternité, à jamais aimée.

    A l'aurore des nuits, tu t'animes.
    Plus rien ne compte que l'amour unanime !
  • 15
    Conclusions divines
    00:03:57

    Conclusions divines

    Êtes-vous assez beau pour comprendre ?
    Que dans la vie nous ne faisons qu'apprendre ?

    Il est temps d'apprendre, de saisir la lumière,
    D'ouvrir nos cœurs, de lever nos prières.
    Nous sommes ici, pour une raison sacrée,
    Ne soyons pas des âmes perdues, égarées.

    Conclusions divines, un appel à l'âme,
    Un devoir sacré, une flamme.
    Sans cela, nous ne sommes rien,
    Juste des poches de chair, sans lendemain.

    Êtes-vous assez beau pour comprendre ?
    Que dans la vie nous ne faisons qu'apprendre ?

    Comprendre les leçons, grandir dans la foi,
    Prendre le temps pour Dieu, c'est notre loi.
    Chaque instant compte, chaque souffle est précieux,
    Cherchons la vérité dans les cieux.

    Conclusions divines, un appel à l'âme,
    Un devoir sacré, une flamme.
    Sans cela, nous ne sommes rien,
    Juste des poches de chair, sans lendemain.

    Êtes-vous assez beau pour comprendre ?
    Que dans la vie nous ne faisons qu'apprendre ?

    Nous marchons sur la terre, avec des yeux fermés,
    À la recherche de trésors qui vont s'évaporer.
    Mais le vrai trésor est en notre cœur,
    La foi, l'amour, la divine lueur.

    Conclusions divines, un appel à l'âme,
    Un devoir sacré, une flamme.
    Sans cela, nous ne sommes rien,
    Juste des poches de chair, sans lendemain.

    Êtes-vous assez beau pour comprendre ?
    Que dans la vie nous ne faisons qu'apprendre ?

    Il est temps de comprendre, de vivre pour l'éternel,
    De se tourner vers Dieu, de suivre son appel.
    Nous avons un devoir, un chemin tracé,
    Ne laissons pas notre âme se ternir, s'effacer.

    Conclusions divines, un appel à l'âme,
    Un devoir sacré, une flamme.
    Sans cela, nous ne sommes rien,
    Juste des poches de chair, sans lendemain.

    Êtes-vous assez beau pour comprendre ?
    Que dans la vie nous ne faisons qu'apprendre ?

    Êtes-vous assez beau pour comprendre ?
    Que dans la vie nous ne faisons qu'apprendre ?

    Prenons le temps, dans ce monde effréné,
    D'écouter la voix divine, de ne pas la nier.
    Cherchons la sagesse, trouvons la paix,
    Dans la lumière de Dieu, soyons liés.

    Conclusions divines, un appel à l'âme,
    Un devoir sacré, une flamme.
    Sans cela, nous ne sommes rien,
    Juste des poches de chair, sans lendemain.

    Élever notre âme, toucher le divin,
    C'est notre mission, notre dessein.
    Ne soyons pas des êtres sans éclat,
    Mais des flammes de foi, brûlant ici-bas.

    Conclusions divines, un appel à l'âme,
    Un devoir sacré, une flamme.
    Sans cela, nous ne sommes rien,
    Juste des poches de chair, sans lendemain.

    Êtes-vous assez beau pour comprendre ?
    Que dans la vie nous ne faisons qu'apprendre ?

    Élever notre âme, toucher le divin,
    C'est notre mission, notre dessein.
    Ne soyons pas des êtres sans éclat,
    Mais des flammes de foi, brûlant ici-bas.

    Conclusions divines, un appel à l'âme,
    Un devoir sacré, une flamme.
    Sans cela, nous ne sommes rien,
    Juste des poches de chair, sans lendemain.

    Conclusions divines, un appel à l'âme,
    Un devoir sacré, une flamme.

    Mmmmmm
  • 16
    Maman mon étoile éternelle
    00:08:30

    Maman mon étoile éternelle

    Huit ans déjà, et le temps s’efface,
    Mais ton amour brûle, intact, dans l’espace.
    Chaque souffle du vent murmure ton nom,
    Chaque battement de mon cœur chante ton son.

    Tu t’envoles en larmes dans mes yeux,
    Tu t’envoles en amour dans mes jours courageux.
    Maman, tu es ma lumière infinie,
    Ma force, mon ciel, mon merveilleux abri.

    Oh Maman, étoile éternelle,
    Tu veilles sur moi, douce sentinelle.
    Ta voix résonne dans l’infini,
    Je sens tes bras dans chaque nuit.
    Oh Maman, guide-moi encore,
    Dans ce monde froid, dans ce décor.
    Tu es ma force, mon armée céleste,
    Ma reine, ma flamme, ma tendresse.

    ...

    Je suis là mon fils, tout va bien.
    Je reste à tes côtés jusqu'au final joyeux,
    Quand tu ouvriras la porte qui te mènera aux cieux.
    Là où tu pourras révéler que tu es un saint.

    Chaque matin, je cherche ton odeur,
    Dans le silence, je ressens ta chaleur.
    Les souvenirs dansent dans mes veines,
    Comme un poème, une mer sans peine.

    Tu es l’amie des anges et du Christ,
    La muse des cieux, l’âme d’un lys.
    Quand je tombe, c’est ta voix qui m’appelle,
    Quand je prie, c’est ton amour qui ruisselle.

    Tu t’envoles en larmes dans mes yeux,
    Tu t’envoles en amour dans mon feu.
    Maman, tu es ma lumière infinie,
    Ma force, mon ciel, mon abri.

    Oh Maman, étoile éternelle,
    Tu veilles sur moi, douce sentinelle.
    Ta voix résonne dans l’infini,
    Je sens tes bras dans chaque nuit.
    Oh Maman, guide-moi encore,
    Dans ce monde froid, dans ce décor.
    Tu es ma force, mon armée céleste,
    Ma reine, ma flamme, ma tendresse.

    ...

    Je suis là mon fils, je veille sur tes nuits.
    Je reste à tes côtés jusqu'au final joyeux,
    Quand tu ouvriras la porte qui te mènera aux cieux.
    Là où tu pourras t'envoler vers ton infini.

    Parfois, la nuit, je sens ta main,
    Dans un frisson doux et divin.
    Je parle au ciel, il me répond,
    Ton amour est un phare, un pont.

    Aucune distance ne pourra jamais,
    Effacer l’éclat que tu me laissais.
    Tu es l’ombre qui danse à mes pas,
    L’amour qui ne meurt, qui ne s’efface pas.

    Tu t’envoles en larmes dans mes yeux,
    Tu t’envoles en amour dans mon feu.
    Maman, tu es ma lumière infinie,
    Ma force, mon ciel, mon abri.

    Oh Maman, étoile éternelle,
    Tu veilles sur moi, douce sentinelle.
    Ta voix résonne dans l’infini,
    Je sens tes bras dans chaque nuit.
    Oh Maman, guide-moi encore,
    Dans ce monde froid, dans ce décor.
    Tu es ma force, mon armée céleste,
    Ma reine, ma flamme, ma tendresse.

    ...

    Je suis là mon fils, je veille sur tes jours.
    Je reste à tes côtés jusqu'au final joyeux,
    Quand tu ouvriras la porte qui te mènera aux cieux.
    Là où tu pourras retrouver ton éternel amour.

    Un jour, je sais, je te reverrai,
    Dans l’aurore d’un ciel sacré.
    Et là, enfin, dans tes bras serré,
    Je dirai tout ce que je n’ai pas osé.

    Oh Maman, mon étoile, mon tout,
    Je t’aime au-delà des vents et des flous.
    Dans chaque battement, chaque prière,
    Tu vis en moi, douce lumière.

    Je suis là, mon fils...
  • 17
    Le ciel voit tout
    00:13:09

    Le Ciel Voit Tout

    Une année s’efface comme mille autres qui me pèsent,
    Chaque jour est une lame, chaque nuit une nouvelle braise.
    Ils ont pris le beau, une part intime de mon âme,
    Et laissé le vide, ils n'ont laissé que des flammes.

    Le temps m’écrase, la douleur me broie,
    Chaque seconde m’éloigne toujours plus de moi.
    Mais le ciel regarde, il voit tout,
    Chaque injustice, chaque prière à genoux.

    Nous sommes là... Nous veillons...
    Rien ne sera gracié de cette perversion...

    Le ciel voit tout, il sait déjà,
    Chaque sentence, chacun de leur faux pas.
    On ne vole pas la lumière d’un cœur,
    Sans payer le prix que leur mal inflige à l’honneur.
    Le ciel voit tout et avec rage il tranchera,
    Quand l’heure sonnera, avec passion il les jugera.

    Je prie le Christ, les poings serrés,
    Que l’univers rende à mon âme sa vérité.
    Les voleurs rient, me crachent leurs mépris,
    Mais l’écho de leurs cris s’éteindra sous ma pluie.

    Leur heure viendra bientôt, je le ressens,
    Car chaque larme tombe efface mon firmament.
    Chaque douleur dans mon corps est un verset sacré,
    Écrit dans un livre qu’ils ne pourront brûler.

    Le temps m’écrase et révèle ces fous,
    Chaque seconde m’éloigne plus de vous.
    Mais le ciel regarde, il voit tout,
    Chaque injustice, chaque prière à genoux.

    Nous sommes là... Nous veillons...
    Rien ne sera gracié de cette perversion...

    Le ciel voit tout, il sait déjà,
    Chaque sentence, chacun de leur faux pas.
    On ne vole pas la lumière d’un cœur,
    Sans payer le prix que leur mal inflige à l’honneur.
    Le ciel voit tout et avec rage il tranchera,
    Quand l’heure sonnera, avec passion il les jugera.

    Mon corps s’effondre, mon souffle se brise,
    Chaque aube est une croix que la douleur aiguise.
    J’attends la justice, je compte les heures,
    Pendant qu’eux fêtent leur règne, vils imposteurs.

    Mais la vérité danse déjà dans l’éther,
    Un feu sacré qui les brûle en enfer.
    Ils peuvent fuir, mentir sur leurs fautes,
    Le vent portera leurs crimes jusqu'aux choeur des apôtres.

    Le temps m’écrase, la haine de ces voyous,
    Chaque seconde m’éloigne de nous.
    Mais le ciel regarde, il voit tout,
    Chaque injustice, chaque prière à genoux.

    Nous sommes là... Nous veillons...
    Rien ne sera gracié de cette perversion...

    Le ciel voit tout, il sait déjà,
    Chaque sentence, chacun de leur faux pas.
    On ne vole pas la lumière d’un cœur,
    Sans payer le prix que leur mal inflige à l’honneur.
    Le ciel voit tout et avec rage il tranchera,
    Quand l’heure sonnera, avec passion il les jugera.

    Je n’étais venu sur cette terre que pour aimer,
    Dans cette vie que pour offrir des fleurs, des éclats sacrés.
    Mais ils ont voulu me briser, âmes négligées, satanées.
    Sans savoir que mon étoile ne s’éteindra jamais.

    Le ciel voit tout, il entend tout, et l’heure approche,
    Leur nuit sera longue, leur chuchotements, leurs mépris de mioches.
    Je laisse à Dieu le poids d'accomplir leurs sentences,
    Car la lumière revient toujours face à la défiance, au silence.

    Nous sommes là... Nous veillons...
    Rien ne sera gracié de cette perversion...

    Nous sommes là... Nous veillons...
    Rien ne sera gracié de cette perversion...

  • 18
    De la viande pour le Diable
    00:03:26

    De la viande pour le Diable

    Je marche seul dans votre monde éteint,
    Vos rires sonnent creux, vos âmes sont sans destin.
    Vous achetez des rêves, vous vendez les serments célestins.
    Mais vos puissants égos vous rayent de l'éternel festin.

    De la viande pour le Diable…
    Des os qu’il broie dans un rictus béant…
    Du sang qu’il boit en festins écœurants…
    Votre chair pour le Diable…

    Je ne suis pas des vôtres, je ne suis pas d’ici,
    Loin de vos désert de vie et de vos longs oublis.
    Vous brûlez la lumière, vous souillez la foi,
    Vous n'êtes que de la viande servie au roi des rats.

    Vos mots sont des chaînes, des murs sans fissures,
    Vos vérités changent au gré de vos murmures.
    Vous volez, vous trahissez, puis vous levez les poings,
    Pour que vos sales mensonges fassent lois. Pitoyables comédiens.

    De la viande pour le Diable…
    Des os qu’il broie dans un rictus béant…
    Du sang qu’il boit en festins écœurants…
    Votre chair pour le Diable…

    Je ne suis pas des vôtres, je ne suis pas d’ici,
    Loin de vos désert de vie et de vos longs oublis.
    Vous brûlez la lumière, vous souillez la foi,
    Vous n'êtes que de la viande servie au roi des rats.

    J’étouffe sous vos dogmes, vos injures de clapiers,
    Vos âmes sont mortes, mais vous osez parler.
    Vous croyez être libres, vous croyez tout savoir,
    Mais vous n'êtes que des ombres jouant dans le noir.

    Vous riez de l’amour, méprisez la grandeur,
    Ne vivez que pour vous, étouffez les lueurs.
    Et quand vient l’orage, quand sonne le glas,
    Vous criez à l’injustice et courrez au trépas.

    De la viande pour le Diable…
    Des os qu’il broie dans un rictus béant…
    Du sang qu’il boit en festins écœurants…
    Votre chair pour le Diable…

    Je ne suis pas des vôtres, je ne suis pas d’ici,
    Loin de vos désert de vie et de vos longs oublis.
    Vous brûlez la lumière, vous souillez la foi,
    Vous n'êtes que de la viande servie au roi des rats.

    Plus je m'élève, plus loin de vous, plus haut,
    Moins je pleure sur votre monde que vous mettez en lambeaux.
    Vous tomberez seuls, sous le poids de vos propres lois,
    Car la viande des traîtres n’a jamais qu'un seul roi.

    De la viande pour le Diable…
    Des os qu’il broie dans un rictus béant…
    Du sang qu’il boit en festins écœurants…
    Votre chair pour le Diable…

  • 19
    Vipères de cendres
    00:04:00

    Vipères de cendres

    Ils rampent en silence, sans briser les roseaux,
    Leurs langues qui sifflent des serments fauves et faux.
    Dans l’ombre ils tissent leurs fils d’amertume, ils écument
    Couronnés de mensonges, nourris des brumes qu'ils exhument.

    Vipères de cendres...

    Leur venin s’insinue dans les veines du monde,
    Leur souffle est un vent qui ère et vagabonde.
    Ils murmurent, ils séduisent, et attendent que tu sombres,
    Ils te serrent puis t’étouffent et te traînent dans l’ombre.

    Leurs yeux sont des braises, leur sang de cendre,
    Leur peau se délite sous le poids de novembre.
    Ils ont cru défier l’étoile invincible. Le parfait inflexible.
    Mais leur règne s’effrite, fragile et risible. Putrescible insensible.

    Ils s’insinuent sous les pierres, sous les trônes d’argent,
    Leurs crocs caressent les âmes vacillantes. Les esprits voyageant.
    Ils chuchotent l’orgueil, vendent des couronnes. Tristes baronnes.
    Puis s’enroulent autour de ceux qu’ils abandonnent puis fanfaronnes.

    Vipères de cendres...

    Leur venin s’insinue dans les veines du monde,
    Leur souffle est un vent qui ère et vagabonde.
    Ils murmurent, ils séduisent, et attendent que tu sombres,
    Ils te serrent puis t’étouffent et te traînent dans l’ombre.

    Ils rampent, ils s’étendent, se glissent dans notre oubli,
    Leurs écailles de poussière, leurs rires nous affaiblit.
    Seul le feu les attend, loin d'un ciel qui supplie,
    Et les cendres de ces traîtres retournent enfin à la nuit.

    Le désert les a vus, se faufiler sans un bruit,
    Le jardin les a nourris de fruits interdits.
    Mais l’aube les déchire toujours dans un cri éclatant,
    Et les vipères s’effacent dans les vents fulgurants.

    Vipères de cendres...

    Leur venin s’insinue dans les veines du monde,
    Leur souffle est un vent qui erre et vagabonde.
    Ils murmurent, ils séduisent, et attendent que tu sombres,
    Ils te serrent puis t’étouffent et te traînent dans l’ombre.

    Quant à moi, Bellérophon solitaire, je veille comme une flamme dans la brume.
    J’observe ces ombres s’effacer dans l’écume.
    Et le sable du temps avale tous ces parjures,
    Et les vipères de cendres disparaissent en brisures.

  • 20
    Filles du Vent
    00:03:28

    Filles du Vent

    Elles venaient de la route, chantaient dans les forêts,
    Des chemins sans attaches, des chevaux qui cabraient.
    Leurs regards étaient francs, tissés de précieux horizons,
    Deux étoiles nomades au creux de vos saisons.

    Elles portaient l’histoire des âmes errantes,
    Des ancêtres en exil et des luttes brûlantes.
    De notre peuple sans chaînes, mais traqué sans une trêve,
    Libre sous la lune mais captif dans vos rêves.

    Filles du vent, enfants des routes,
    Libres comme un éclair qui danse et vous dégoûte.
    Vos rires résonnent dans l’écho de mes âges,
    Et je porte en moi votre force comme un héritage.

    Dans le feu des veillées, elles tissaient le passé,
    Dans les murmures anciens et les chants oubliés.
    Elles parlaient d’un monde que vous ne pouvez comprendre,
    Où l’on vit sans frontières, où l’on rêve sans méprendre.

    Nous Yéniches sommes nés là où nul ne nous voit,
    Dans l’ombre des villes, entre vos cris et vos effrois.
    Méprisés, dispersés, mais toujours indomptés,
    Le vent pour complice, le silence en allié.

    Filles du vent, enfants des routes,
    Libres comme un éclair qui danse et vous déroute.
    Vos rires résonnent dans l’écho de mes âges,
    Et je porte en moi votre force comme un héritage.

    Elles lisaient l’avenir dans les lignes des paumes,
    Recueillait vos destins et vos nombreux symptômes.
    Leurs mains sur mon front, tendres et fières,
    Ont laissé leur empreinte comme une lumière.

    Un matin d’hiver, le temps m'en a prit une,
    Un 16 de décembre, ma plus ancienne tribune.
    J’avais seize ans, les poings serrés,
    La gorge nouée sur ce dernier décret.

    Un matin de printemps, le temps m'a reprit l'autre,
    Un 12 du moiis d'avril, ma mère, mon apôtre.
    J'avais 46 ans, les poings toujours serrés,
    Mon coeur reste brisé et mon âme ulcérée.

    Mais elles m’ont laissé une âme de nomade,
    Un sang voyageur, libre de toutes vos parades.
    Et quand le vent dansera sur vos sentiers tous gris,
    Je sais qu’un jour, je les enlacerai. Loin de vos tyrannies.

    Filles du vent, enfants des routes,
    Libres comme un éclair qui danse et vous envoûte.
    Vos rires résonnent dans l’écho de mes âges,
    Et je porte en moi votre force comme un héritage.

    Filles du vent, je porte votre flambeau,
    Dans mes veines, votre sang coule sans fardeau.
    Et quand le ciel pleure sur leurs pavés tout gris,
    Je sais qu’un jour, on se retrouvera… Dans l’amour infini.

  • 21
    Pantins de Sang
    00:04:09

    Pantins de Sang

    Ils errent dans l'ombre, sous des cieux corrompus,
    Leurs masques de cire cachent des âmes fendues.
    Leurs laisses sont tenues par des mains trop visibles,
    Dans leurs yeux sans reflets meurt la peur indicible.

    Ils pensent dicter des lois du haut de leurs gravois,
    Dansent sur notre Foi, créent la pluie, créent le froid.
    Leurs rires de démons dans leurs palais de verre,
    Font vaciller les sages, font fissurer la terre.

    Pantins de sang, rois d’un empire dément,
    Vous tissez la haine jusqu'à l'effondrement.
    Vos chaînes s’effilochent par vos actes de fous,
    Vous dansez dans le sang de nos frères à genoux.

    Ces Sheitans brisent la terre de leurs moroses forges,
    D’un mot ou d’un décret, nous brisent ou nous égorgent.
    Leur honneur n’a d’écho que dans leurs illusions,
    Fous règnant sur un royaume mal bâti sur notre soumission.

    Ils jalousent nos âmes libres, nos âmes bien trop hautes,
    Nous qui osons nous battre pour révéler leurs fautes.
    Mais plus ils serrent l’étau sur nos cous émaciés,
    Plus la tempête divine ira les balayer.

    Pantins de sang, rois d’un empire dément,
    Vous tissez la haine jusqu'à l'effondrement.
    Vos chaînes s’effilochent par vos actes de fous,
    Vous dansez dans le sang de nos frères à genoux.

    Quel courage il nous faut pour que Goliath s’écroule !
    Quel beauté d'âme il faut pour que leur monde coule !
    Rien ne demeure de la haine, chaque peste sera guérie !
    Quand la vérité éclatera et qu'ils seront punit !

    Pantins de sang, rois d’un empire dément,
    Vous tissez la haine jusqu'à l'effondrement.
    Vos chaînes s’effilochent par vos actes de fous,
    Vous dansez dans le sang de nos frères à genoux.

    Pantins de sang dégustez donc nos vies,
    Vampires de suie votre pouvoir est faible sur nos âmes asservies.
    Car l'heure viendra surement pour un dernier jugement,
    D'une colère céleste qui défie l'entendement.


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