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Fables Hobookan
[20 Musiques]

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Découvrez Fables Hobookan, un album captivant où chaque piste est une fable moderne peuplée d'animaux anthropomorphes. Chaque chanson tisse des récits enchanteurs où les animaux, tels des miroirs de nos propres comportements, se livrent à des aventures riches en enseignements. Des lions à la sagesse infinie aux renards rusés, en passant par des corbeaux audacieux et des tortues persévérantes, Fables Hobookan explore les complexités de la nature humaine à travers le prisme du règne animal. Chaque fable est une leçon de vie, une réflexion profonde sur des thèmes universels comme la justice, la vanité, la solidarité et l'ambition. Les mélodies envoûtantes et les arrangements musicaux sophistiqués enveloppent ces histoires morales, créant une expérience auditive aussi divertissante qu'instructive. Fables Hobookan n'est pas seulement un album, c'est un voyage philosophique et poétique qui vous invite à redécouvrir les valeurs essentielles de notre existence. Plongez dans cet univers unique et laissez-vous guider par la sagesse intemporelle des fables. Pour afficher les informations correspondantes, cliquez sur les titres. Pour voir les paroles, cliquez sur 'paroles'.

Paroles, composition, musique : Patrick Courbin / Hobookan - Tous droits réservés


Présenté sur YouTube

Piste audio
Titre
Paroles
Durée
YouTube
  • 01
    Le crapaud et la rainette
    00:03:17

    Le Crapaud et la Rainette

    Dans une mare paisible, sous un ciel enchanteur,
    Vivait un crapaud gris, sans éclat, sans valeur,
    Il rêvait d'être beau, de briller sous les cieux,
    Comme la grenouille rainette, d'un vert lumineux.

    Chaque jour, il l'admirait, de loin, en silence,
    Rainette sautait, gracieuse, avec élégance,
    Le crapaud, dans son coin, ruminait sa folie,
    Devenir plus joli, c'était son seul défi.

    Oh, comment être beau, aussi charmant que toi rainette,
    Grenouille resplendissante, donne-moi ta silhouette,
    Je veux briller, étinceler, changer de destinée,
    D'un simple crapaud laid, en une beauté sacrée.

    Un jour, près de l'étang, il croisa un magicien,
    Le vieux sage des eaux, le mystérieux gardien,
    Il implora son aide, se mit à supplier,
    Le vieux sage sourit, fin prêt à l'exaucer.

    Oh, comment être beau, aussi charmant que toi rainette,
    Grenouille resplendissante, donne-moi ta silhouette,
    Je veux briller, étinceler, changer de destinée,
    D'un simple crapaud laid, en une beauté sacrée.

    Le magicien dit alors, d'une voix assurée,
    La beauté vient du cœur, elle ne peut se voler,
    Mais je peux t'offrir une chance de te prouver,
    Que l'apparence est souvent trompeuse, et ne peut tout dicter.

    Oh, comment être beau, aussi charmant que toi rainette,
    Grenouille resplendissante, donne-moi ta silhouette,
    Je veux briller, étinceler, changer de destinée,
    D'un simple crapaud laid, en une beauté sacrée.

    Le crapaud, transformé, devint alors brillant, phosphorescent,
    Les autres l'évitaient ou le regardait d'un regard méfiant,
    Rainette l'approcha, avec douceur et dit avec tendresse,
    Tu n'as pas changé, juste caché tes faiblesses.

    Oh, comment être beau, aussi charmant que toi rainette,
    Grenouille resplendissante, donne-moi ta silhouette,
    Je veux briller, étinceler, changer de destinée,
    D'un simple crapaud laid, en une beauté sacrée.

    La leçon fut apprise avec tristesse par notre crapaud gris,
    La beauté véritable, réside dans l'esprit,
    Il comprit alors, que l'important en somme,
    C'est d'être soi-même, même si l’on est grossium

  • 02
    Le requin boulimique
    00:03:58

    Le requin boulimique

    Dans l'océan profond, où la vie règne en maître,
    Vivait un grand requin, aux dents aiguisées et nettes,
    Il mangeait tout autour, par boulimie sans fin,
    Ignorant les dangers, engloutissant sans frein.

    Chaque jour, il chassait, avalait sans mesure,
    Poissons et crustacés, tout devenait sa pâture,
    Il ne laissait rien vivre, dans les eaux azurées,
    Dévorant l'océan, avec avidité.

    Petit requin boulimique, ton appétit insensé,
    Te conduit à ta perte, dans l'océan glacé,
    Tu engloutis sans cesse, sans jamais t'arrêter,
    Bientôt tu seras seul, sans rien pour te sustenter.

    Les poissons s'enfuyaient, les coraux se cachaient,
    Effrayée par ses actes, les mers se vidaient.
    Les algues murmuraient, dans le courant salé,
    Requin, prends garde à toi, ta faim va te piéger.

    Petit requin boulimique, ton appétit insensé,
    Te conduit à ta perte, dans l'océan glacé,
    Tu engloutis sans cesse, sans jamais t'arrêter,
    Bientôt tu seras seul, sans rien pour te sustenter.

    Un jour, il se retrouva, seul dans les profondeurs,
    Plus rien à dévorer, plus rien à goûter, plus aucune saveur,
    L'océan était vide et sa boulimie insatiable,
    Le requin comprit alors la leçon, pitoyable.

    Petit requin boulimique, ton appétit insensé,
    Te conduit à ta perte, dans l'océan glacé,
    Tu engloutis sans cesse, sans jamais t'arrêter,
    Bientôt tu seras seul, sans rien pour te sustenter.

    Il réalisa enfin, dans un triste murmure,
    Que la modération est une sagesse pure,
    Son ventre vide criait, son cœur lourd de regrets,
    Le requin boulimique, mort de faim, apprit de ses excès.

    Petit requin boulimique, ton appétit insensé,
    Te conduit à ta perte, dans l'océan glacé,
    Tu engloutis sans cesse, sans jamais t'arrêter,
    Bientôt tu seras seul, sans rien pour te sustenter.

    La mer reprit sa vie, doucement, patiemment,
    Le requin nourrissait les crabes, lentement,
    Dans les profondeurs bleues tous bénirent le carême,
    La sagesse d'un océan dans un triste requiem.

  • 03
    La hyène et le lion
    00:03:57

    La Hyène et le Lion

    Dans la savane d’Afrique, sous le soleil ardent,
    Vivait une hyène, au sourire insolent,
    Elle défiait les lois, les règles ancestrales,
    Se moquant du vieux lion et de ses belles morales.

    Chaque jour elle braconnait, dévorant sans remords,
    Les proies des autres chasseurs, semant le désaccord,
    Les éléphants murmuraient, les zèbres se méfiaient,
    Mais la hyène effrontée sans vergogne en riait.

    Hyène rebelle, dans la savane dorée,
    Tu défies les lois, tu ne cesses de piller,
    Mais un jour viendra, où tu seras jugé,
    Et tes actes impunis, finiront vengés.

    Le vieux lion régnait, avec sagesse et lenteur,
    Mais ses lois semblaient vieilles, face à tant de malheurs,
    La hyène s’en donnait à cœur joie, sans crainte ni peur,
    Profitant des failles, avec une sinistre ardeur.

    Hyène rebelle, dans la savane dorée,
    Tu défies les lois, tu ne cesses de piller,
    Mais un jour viendra, où tu seras jugé,
    Et tes actes impunis, finiront vengés.

    Un matin se leva, avec un souffle nouveau,
    Les lois du lion changèrent, frappant comme un fléau,
    La hyène ne vit rien venir, ni ses amis vautours,
    Leurs vies de mépris, basculèrent en un jour.

    Hyène rebelle, dans la savane dorée,
    Tu défies les lois, tu ne cesses de piller,
    Mais un jour viendra, où tu seras jugé,
    Et tes actes impunis, finiront vengés.

    Les autres animaux, lassés de tant de méfaits,
    S’unirent contre la hyène, pour rétablir la paix,
    Elle courut sans relâche, cherchant à se cacher,
    Mais ses violations, finirent par l'étouffer.

    Hyène rebelle, dans la savane dorée,
    Tu défies les lois, tu ne cesses de piller,
    Mais un jour viendra, où tu seras jugé,
    Et tes actes impunis, finiront vengés.

    La savane retrouva, sa quiétude et son ordre,
    La hyène comprit trop tard qu'elle arrête de mordre.
    Sous le regard du vieux lion, la justice reprit,
    La hyène paya le prix, de ses mépris finis.

  • 04
    La chèvre et son orgueil
    00:03:30

    La chèvre et son orgueil

    Dans un pré verdoyant, où chantaient les alouettes,
    Vivait une chèvre, au port fier et à la haute tête,
    Persuadée d'être noble, fière jument de course,
    Elle se pavanait, et orgueil éclabousse.

    Ses sabots cliquetaient, comme des fers lustrés,
    Elle trottait en cercle, d'un air exalté,
    Les poules gloussaient, les moutons se moquaient,
    Mais la chèvre, imperturbable, de rêver, continuait.

    Petite chèvre orgueilleuse, dans ton pré enchanté,
    Tu te crois une jument, noble et raffinée,
    Mais ton orgueil te voile, la simple vérité,
    Qu'une chèvre tu es, et le seras à jamais.

    Les vaches murmuraient, entre deux coups de lait,
    Regardez-la trotter, avec son air de ballet,
    Les chiens se roulaient de rire à en pleurer,
    Mais la chèvre ne voyait que son rêve adoré.

    Petite chèvre orgueilleuse, dans ton pré enchanté,
    Tu te crois une jument, noble et raffinée,
    Mais ton orgueil te voile, la simple vérité,
    Qu'une chèvre tu es, et le seras à jamais.

    Elle aurait pu briller, être la reine du troupeau,
    Mais son orgueil aveuglant, l'éloignait des bravos,
    Les autres animaux, la laissaient de côté,
    Car dans son monde de rêves, elle restait enfermée.

    Petite chèvre orgueilleuse, dans ton pré enchanté,
    Tu te crois une jument, noble et raffinée,
    Mais ton orgueil te voile, la simple vérité,
    Qu'une chèvre tu es, et le seras à jamais.

    Un jour, une sage chouette, lui dit en passant,
    Accepte ta nature, et sois-en fière, vraiment,
    Le bonheur est dans l'acceptation, pas dans les illusions,
    Mais la chèvre, trop faraude, ignora cette leçon.

    Petite chèvre orgueilleuse, dans ton pré enchanté,
    Tu te crois une jument, noble et raffinée,
    Mais ton orgueil te voile, la simple vérité,
    Qu'une chèvre tu es, et le seras à jamais.

    Le temps passa, et la chèvre, solitaire,
    Regretta son orgueil et ses rêves éphémères,
    Elle aurait pu être aimée, remarquable en effet,
    Mais son orgueil l'a perdue, dans son pré, seule, elle resterait.

  • 05
    Le sage et l'élève impudent
    00:03:36

    Le sage et l'élève impudent

    Dans un jardin paisible, sous un ciel étoilé,
    Un sage enseignait, ses leçons éclairées,
    À un élève curieux, au regard ébété,
    Pas trop prêt à comprendre tous les secrets sacrés.

    Le sage leva le doigt, vers la lune argentée,
    "Regarde," dit-il, "le mystère illuminé,
    Cette lumière douce, dans le ciel dessinée,
    C'est là qu'à jamais se trouve la vérité."

    Oh, élève inattentif, écoute le conseil,
    Ne regarde pas le doigt, mais la lumière éternelle,
    Car le chemin de la sagesse, est parsemé d'étincelles,
    Suis la voie de la lune, et tu trouveras le ciel.

    Mais l'élève, distrait, fixait le doigt pointé,
    Ignorant la sagesse, il se perdit en vanité,
    D'un geste imprévu, il attrapa le doigt sacré,
    Et d'un mouvement absurde, le fourra dans son nez.

    Oh, élève inattentif, écoute le conseil,
    Ne regarde pas le doigt, mais la lumière éternelle,
    Car le chemin de la sagesse, est parsemé d'étincelles,
    Suis la voie de la lune, et tu trouveras le ciel.

    Le sage soupira, devant tant d'ignorance,
    Voyant l'élève manquer, de pure clairvoyance,
    "Tu t'égareras toujours, dans ta folle errance,
    Si tu ne vois pas au-delà, de ta propre arrogance."

    Oh, élève inattentif, écoute le conseil,
    Ne regarde pas le doigt, mais la lumière éternelle,
    Car le chemin de la sagesse, est parsemé d'étincelles,
    Suis la voie de la lune, et tu trouveras le ciel.

    Les étoiles scintillaient, témoins de l'absurde scène,
    Le sage savait que l'élève, devait apprendre sa peine.
    Le vrai apprentissage, parfois de douleur s'emmène,
    Car le gros doigt du sage lui colla la migraine.

    Oh, élève inattentif, écoute le conseil,
    Ne regarde pas le doigt, mais la lumière éternelle,
    Car le chemin de la sagesse, est parsemé d'étincelles,
    Suis la voie de la lune, et tu trouveras le ciel.

    Le jardin resta paisible, sous la lune éclairée,
    Le sage continua, ses leçons de vérité,
    L'élève, avec le temps, peut-être comprendrait,
    Que le chemin vers la sagesse, demande un bon engrais.

  • 06
    La Fourmi mal avisée
    00:03:35

    La Fourmi mal avisée

    Sous le ciel d'été vivait une fourmi laborieuse,
    Elle travaillait sans relâche, infatigable et précieuse,
    Elle amassait des réserves, avant l'hiver, rigoureuse,
    Ignorant le monde autour, concentrée et sérieuse.

    Petite fourmi, avec ton sac sur le dos,
    Tu traverses les champs et les sous-bois, sans lever le museau,
    "Il faut thésauriser," penses-tu avec brio,
    Pour survivre aux froids jours, sans jamais faire défaut.

    Petite fourmi, ouvre les yeux, regarde autour de toi,
    La vie est plus que l'effort, elle est amour et joie,
    Ne laisse pas l'avidité, t'emprisonner ainsi,
    Apprends à vivre, à aimer, c'est là le vrai défi.

    Elle ignorait les fleurs, n'écoutait plus les chants des oiseaux,
    Les rires des autres insectes, les jeux sous les rameaux.
    Sa seule obsession : remplir son précieux chariot,
    Accumuler des trésors, frénétiques curiaux.

    Petite fourmi, avec ton sac sur le dos,
    Tu traverses les champs et les sous-bois, sans lever le museau,
    "Il faut thésauriser," penses-tu avec brio,
    Pour survivre aux froids jours, sans jamais faire défaut.

    Un soir d'orage, le ciel devint noir, menaçant,
    Les éclairs zébraient la nuit, le tonnerre grondant,
    La pluie inonda la terre, tout fut submergé,
    La fourmi perdit ses réserves, son labeur épuisé.

    Petite fourmi, ouvre les yeux, regarde autour de toi,
    La vie est plus que ton effort, elle est amour et joie,
    Ne laisse pas l'avidité t'emprisonner ainsi,
    Apprends à vivre, à aimer, c'est là le vrai défi.

    Sans ressources, sans abri, elle comprit son erreur,
    Que la vie n'est pas seulement accumulation et labeur,
    Que l'amour et le partage, sont les vrais valeurs,
    Mais il était trop tard, pour ce pauvre corps rêveur.

    Petite fourmi, ouvre les yeux, regarde autour de toi,
    La vie est plus que l'effort, elle est amour et joie,
    Ne laisse pas l'avidité, t'emprisonner ainsi,
    Apprends à vivre, à aimer, c'est le vrai défi.

    Le vent souffla doucement, sur la terre détrempée,
    Les autres insectes, dansaient, libres et légers,
    La fourmi n'avait pas compris, ce que la vie lui avait dicté,
    Que l'amour et la vie, sont les vraies richesses à chérir et à respecter.

  • 07
    Le rat et les petites souris
    00:03:02

    Le rat et les petites souris

    Dans un sombre grenier, où règne le mystère,
    Vivait un gros rat, de manière bien austère,
    Se moquant des souris, si petites et légères,
    Les harcelant sans cesse, sans jamais se taire.

    Gros rat arrogant, avec ton air narquois,
    Tu riais des souris, les disant rabougries,
    "Vous êtes fragiles , si petites, pas aussi fortes que moi,"
    Ta cruauté faisait écho, festin de mistigri.

    Gros rat, trop fier, tu attirais l’attention,
    Maintenant piégé, il est trop tard pour le pardon,
    Les petites souris, que tu as tant méprisées,
    Ont trouvé leur chemin, toi, t'es bien enfermé.

    Les petites souris, avec grâce passaient,
    Sous les regards du rat, qui toujours les blessait,
    Il riait aux éclats, de leur taille menue,
    Sans jamais penser, qu’un jour il serait déchu.

    Gros rat, trop fier, tu attirais l’attention,
    Maintenant piégé, il est trop tard pour le pardon,
    Les petites souris, que tu as tant méprisées,
    Ont trouvé leur chemin, toi, t'es bien enfermé.

    Un jour, le destin, décida de changer,
    Le gros rat, trop gras, ne pouvait plus se cacher,
    Un piège se referma, sur lui, sans pitié,
    Il comprit trop tard, qu’il devait se faire discret.

    Gros rat, trop fier, tu attirais l’attention,
    Maintenant piégé, il est trop tard pour le pardon,
    Les petites souris, que tu as tant méprisées,
    Ont trouvé leur chemin, toi, t'es bien enfermé.

    Les souris dansaient, en toute légèreté,
    Libres de ses moqueries, et de ses cruautés,
    Le gros rat en cage, regrettait ses méfaits,
    Et le temps des pardons, faux-semblants contrefaits.

    Gros rat, trop fier, tu attirais l’attention,
    Maintenant piégé, il est trop tard pour le pardon,
    Les petites souris, que tu as tant méprisées,
    Ont trouvé leur chemin, toi, t'es bien enfermé.

    Le gros rat, en pleurs, compris son arrogance,
    Que la gentillesse et l’humilité sont là de vraies alliances,
    Mais enfermé à jamais, sans espoir de clémence,
    Il méditait sur ses erreurs, dans un silence immense.

  • 08
    Le vieux hibou arrogant
    00:02:45

    Le vieux hibou arrogant

    Dans la forêt épaisse, un vieux hibou trônait,
    Du haut de son arbre, il surveillait et critiquait,
    Sage autoproclamé, il refusait tout progrès,
    Car pour lui, seul son savoir méritait le respect.

    Vieux hibou, si fier, tu te crois si savant,
    Tu juges et tu analyses, regardant de haut les passants,
    Du sommet de ton arbre, tu détiens la vérité,
    Mais dans ta tour d’ivoire, tu es bien isolé.

    Hibou arrogant, tombé de ton perchoir,
    La foudre t’a rappelé, qu’il faut savoir bien voir,
    Demande de l’aide, mais personne ne viendra,
    Tu es le sage, trouve donc ta propre voie.

    Les petits animaux, en bas, tu les méprises,
    Leurs efforts et leurs rêves, tu les pulvérises,
    Pour toi, vieux hibou, seul ton savoir démêle,
    Mais ton arrogance te conduit vers une défaite réelle.

    Hibou arrogant, tombé de ton perchoir,
    La foudre t’a rappelé, qu’il faut savoir bien voir,
    Demande de l’aide, mais personne ne viendra,
    Tu es le sage, trouve donc ta propre voie.

    Un jour, Dame tempête, dans la forêt s’abat,
    La foudre frappe ton arbre, et te jette en bas,
    Sur le sol humide, toi, le vieux sage déchu,
    Tu demandes de l’aide, mais personne n’est venu.

    Hibou arrogant, tombé de ton perchoir,
    La foudre t’a rappelé, qu’il faut savoir bien voir,
    Demande de l’aide, mais personne ne viendra,
    Tu es le sage, trouve donc ta propre voie.

    Les animaux autour, te regardent en silence,
    Ils se rappellent tes mots, tes critiques et ton arrogance,
    Ils te disent doucement, avec un brin de sarcasme,
    "C'est toi le sage, trouve donc la clé de ton marasme."

    Hibou arrogant, tombé de ton perchoir,
    La foudre t’a rappelé, qu’il faut savoir bien voir,
    Demande de l’aide, mais personne ne viendra,
    Tu es le sage, trouve donc ta propre voie.

    Vieux hibou, à terre, tu comprends enfin,
    Que l’humilité et l’écoute sont des trésors sans fin,
    Mais désormais seul, face à ton désarroi,
    Tu dois trouver la force, de te relever cette fois.

  • 09
    Le cerf arrogant
    00:03:25

    Le cerf arrogant

    Dans une forêt bien dense, un cerf majestueux bramait,
    Dans sa harde, il choisissait ses biches, celle qu'il embrasserait,
    S'accouplant, ici et là, sans souci des sentiments,
    Il était le roi, beau et fort, au cœur vide et véhément.

    Grand cerf, ta beauté est éclatante mais tu t’enorgueillis,
    Tes bois sont imposants, mais ta fierté finie,
    Tu marches la tête haute, parmi les biches en attente,
    Elles espèrent ton amour, sous ta prestance étincelante.

    Cerf arrogant, tu ignores les cœurs blessés,
    Ta beauté attire les jaloux et les esprits étroits,
    Un jour viendra où tu paieras pour ta vanité,
    Car la forêt murmure, et les dangers se déploient.

    Les biches soupirent, dans l'ombre de ta domination,
    Elles rêvent d’un amour sincère, loin de ta prétention,
    Mais toi, cerf superbe, tu ne vois que ta splendeur,
    Ignorant les murmures, les désirs et les peurs.

    Cerf arrogant, tu ignores les cœurs blessés,
    Ta beauté attire les jaloux et les esprits étroits,
    Un jour viendra où tu paieras pour ta vanité,
    Car la forêt murmure, et les dangers se déploient.

    Un matin clair, dans le silence du bois,
    Tu te tiens fier, contemplant le ciel, sans émoi,
    Mais un coup retentit, brisant ta tranquillité,
    Un chasseur habile te vise, et ta grandeur s'effondre, effacée.

    Cerf arrogant, tu ignores les cœurs blessés,
    Ta beauté attire les jaloux et les esprits étroits,
    Un jour viendra où tu paieras pour ta vanité,
    Car la forêt murmure, et les dangers se déploient.

    La terre tremble sous ton poids, alors que tu tombes,
    Les feuilles frémissent, et ta vie s'assombrit dans l’ombre,
    À trop vouloir briller, tu as attiré la folie,
    Des jaloux et des insensés, qui ont scellé ta vie.

    Cerf arrogant, tu ignores les cœurs blessés,
    Ta beauté attire les jaloux et les esprits étroits,
    Un jour viendra où tu paieras pour ta vanité,
    Car la forêt murmure, et les dangers se déploient.

    Dans la clairière silencieuse, ton règne est achevé,
    La beauté est éphémère, et la sagesse un trésor inestimé,
    Que ton histoire rappelle, à ceux qui veulent écouter,
    Que l’humilité et l’amour, sont les vraies clés de l’éternité.

  • 10
    L'ours puissant
    00:03:39

    L'ours puissant

    Dans une forêt lointaine, un ours puissant vivait,
    Gentil et tendre, son amour partout il exposait,
    Sa force immense était un trésor et son fardeau,
    Car il écrasait tous ceux qu’il voyait, lapin ou renardeau.

    Ours immense, au cœur si grand et généreux,
    Tu rêves d'enlacer les lapins, les faons sous les cieux,
    Mais ta force est trop grande, pour leur délicatesse,
    Et dans tes bras puissants, leur vie s’efface en vitesse.

    Ours puissant, pourquoi le monde est-il ainsi fait?
    Que ta gentillesse cause douleur et regret,
    Les lapins, les faons sont trop fragiles, c’est vrai,
    Mais ton amour, ô ours, n’en est pas moins parfait.

    Tu marches dans la forêt, avec les larmes aux yeux,
    Le cœur lourd de chagrin, sous un ciel bien trop bleu,
    Tu trouves injuste que ta force soit une malédiction,
    Quand tout ce que tu désires, c’est offrir l'affection.

    Ours puissant, pourquoi le monde est-il ainsi fait?
    Que ta gentillesse cause douleur et regret,
    Les lapins, les faons sont trop fragiles, c’est vrai,
    Mais ton amour, ô ours, n’en est pas moins parfait.

    Les animaux se cachent, craignant ton étreinte,
    Ils ne comprennent pas ton cœur, ton trop plein de complaintes,
    Toi, noble ours, tu pleures sous les étoiles scintillantes,
    Cherchant une façon d’aimer, qui soit plus bienfaisante.

    Ours puissant, pourquoi le monde est-il ainsi fait?
    Que ta gentillesse cause douleur et regret,
    Les lapins, les faons sont trop fragiles, c’est vrai,
    Mais ton amour, ô ours, n’en est pas moins parfait.

    Un sage hibou te voit, et avec douceur te dit,
    "Ours généreux, ta force est aussi ta beauté,
    Apprends à aimer avec délicatesse et esprit,
    Pour que ta tendresse soit enfin acceptée."

    Dans la forêt enchantée, l’ours trouve son chemin,
    Il apprend à aimer, avec douceur, enfin,
    Sa force devient un cadeau, un trésor sans égal,
    Et les petits animaux se blottissent, sans plus de mal.

  • 11
    Le frelon asiatique
    00:03:20

    Le frelon asiatique

    Au sommet de la ruche, un frelon asiatique régnait,
    Chef impitoyable, par la peur et la terreur, il gouvernait,
    Chaque jour, son armée partait en dévastation,
    Détruisant la beauté, semant la désolation.

    Frelon puissant, à la tête de ta ruche,
    Tes ordres sont clairs, tes piqûres sont cruelles,
    Parasite envahissant, en haut de la vieille pruche,
    Tu violes les lois de la Nature éternelle.

    Frelon asiatique, tu piques, tu piques
    Vermine frénétique, tu te crois invincible,
    Mais la Nature est forte, et toujours imprévisible,
    En haut de ta branche, entouré de tes soldats,
    Le jour viendra, où tu tomberas.
    Frelon asiatique, tu piques, tu piques

    Des jardins fleuris aux ruches pacifiques,
    Ton armée attaque tout, laissant chaos et panique,
    Tu ne vois pas la colère des arbres et des rivières,
    Qui murmurent doucement, "Notre vengeance sera sévère."

    Frelon asiatique, tu piques, tu piques
    Vermine frénétique, tu te crois invincible,
    Mais la Nature est forte, et toujours imprévisible,
    En haut de ta branche, entouré de tes soldats,
    Le jour viendra, où tu tomberas.
    Frelon asiatique, tu piques, tu piques

    Les abeilles tremblent, les fleurs se fanent,
    Sous ton règne sombre, la lumière profane,
    Mais la Nature se prépare, silencieuse et sereine,
    À renverser ton pouvoir, à renverser ta reine.

    Frelon asiatique, tu piques, tu piques
    Vermine frénétique, tu te crois invincible,
    Mais la Nature est forte, et toujours imprévisible,
    En haut de ta branche, entouré de tes soldats,
    Le jour viendra, où tu tomberas.
    Frelon asiatique, tu piques, tu piques

    Un vent se lève, porteur d'une tempête nouvelle,
    Les arbres se redressent, les rivières chantent à tue-tête,
    Ta ruche vacille, ton pouvoir chancelle,
    Sous l'assaut de la Nature, qui répare ses dette.

    Frelon asiatique, tu piques, tu piques
    Vermine frénétique, tu te crois invincible,
    Mais la Nature est forte, et toujours imprévisible,
    En haut de ta branche, entouré de tes soldats,
    Le jour viendra, où tu tomberas.
    Frelon asiatique, tu piques, tu piques

    La Nature reprend ses droits, en une danse majestueuse,
    Le frelon tombe, victime de sa propre arrogance pernicieuse,
    La forêt renaît, les fleurs sourient à nouveau,
    Et les gentilles ruches retrouvent paix, sous un ciel bien beau.

  • 12
    Le moustique et le moine
    00:02:55

    Le moustique et le moine

    Un moustique naquit, fragile et maladif,
    Son instinct le guidait, dans son rêve primitif,
    Cherchant à se nourrir, se reproduire, c'est prédit,
    Ignorant qu'en lui résidait le danger, le mépris.

    Moustique insouciant, tes ailes battent sans crainte,
    Tu suis ton chemin, de proie en proie, sans plainte,
    À la recherche de sang, pour survivre et prospérer,
    Sans savoir que ta piqûre peut tout bouleverser.

    Petit moustique, tu voles sans réfléchir,
    Mais ta morsure entraîne un funeste avenir,
    Le vieux moine est tombé, victime de ta voracité,
    Avec lui, tant de sagesse et d'humanité.

    Sous la lumière de la lune, tu trouves ta proie,
    Un vieux moine, serein, dévoué à ses lois,
    Tu le piques sans hésiter, ton ventre se remplit,
    Mais la maladie en toi, commence son ignoble récit.

    Petit moustique, tu voles sans réfléchir,
    Mais ta morsure entraîne un funeste avenir,
    Le vieux moine est tombé, victime de ta voracité,
    Avec lui, tant de sagesse et d'humanité.

    Le moine tombe malade, trop vieux pour lutter,
    Sa force s'épuise, sa vie commence à s'effacer,
    Avec lui, des années de sagesse, de bonté,
    S'évanouissent dans le silence, fragilité domptée.

    Petit moustique, tu voles sans réfléchir,
    Mais ta morsure entraîne un funeste avenir,
    Le vieux moine est tombé, victime de ta voracité,
    Avec lui, tant de sagesse et d'humanité.

    Les gens qu'il aidait, maintenant abandonnés,
    Sombrent dans le chaos, leur espoirs arrachés,
    Le château de cartes s'écroule, les braves gens mécontents,
    Tout cela à cause d'un moustique, un tueur inconscient.

    Petit moustique, tu voles sans réfléchir,
    Mais ta morsure entraîne un funeste avenir,
    Le vieux moine est tombé, victime de ta voracité,
    Avec lui, tant de sagesse et d'humanité.

    Petit moustique, dans ta quête aveugle de la vie,
    Tu as semé la mort, sans jamais comprendre les bruits,
    La sagesse et l'amour, éteints par ta piqûre,
    Rappellent que même les plus petits peuvent causer les plus grandes blessures.

  • 13
    Les lapins
    00:03:15

    Les lapins

    Dans un pré verdoyant, vivait un couple de lapins,
    Leur amour débordant, leur instinct maternel sans fin,
    Ils se reproduisaient, avec une ardeur insatiable,
    Mais la famine pointait, une douleur intenable.

    Les lapins prolifiques, leur famille grandissait,
    Des petits partout, chaque jour de nouveaux bondissaient,
    Mais le pré, bien que vaste, n'avait plus assez de carottes,
    Les lapins affamés, mangeaient l'herbe et les racines pâlottes.

    Lapins insouciants, pensez à votre progéniture,
    Modérez vos ardeurs, préservez la nature,
    Mendier ne sauvera pas votre destinée,
    La sagesse et la mesure sont la clé de la prospérité.

    Partout ils allaient, pleurant sur leur sort,
    Demandant des carottes, implorant de l'aide, encore,
    Mais les champs étaient vides, les réserves épuisées,
    Leur nombre croissant devenait un problème à éviter.

    Lapins insouciants, pensez à votre progéniture,
    Modérez vos ardeurs, préservez la nature,
    Mendier ne sauvera pas votre destinée,
    La sagesse et la mesure sont la clé de la prospérité.

    Leurs voisins les écoutaient, compatissants mais impuissants,
    Leurs propres ressources allaient également en s'épuisant,
    Si les lapins avaient réfléchi, et modéré leur passion,
    Ils auraient trouvé l'équilibre, au lieu d'une privation.

    Lapins insouciants, pensez à votre progéniture,
    Modérez vos ardeurs, préservez la nature,
    Mendier ne sauvera pas votre destinée,
    La sagesse et la mesure sont la clé de la prospérité.

    Les lapins apprirent, trop tard cette funeste leçon,
    Que l'excès et l'avidité mènent souvent vers la destruction,
    Si seulement ils avaient écouté les sages conseils,
    Ils auraient pu vivre heureux, sous un tendre soleil.

    Lapins insouciants, pensez à votre progéniture,
    Modérez vos ardeurs, préservez la nature,
    Mendier ne sauvera pas votre destinée,
    La sagesse et la mesure sont la clé de la prospérité.

    Petits lapins, souvenez-vous de cette histoire,
    Que la modération et la sagesse sont vos deux seuls espoirs,
    Pour vivre en harmonie, et en paix avec la nature,
    Modérez vos ardeurs, pour un futur plus sûr.

  • 14
    Le renard et le paon
    00:03:58

    Le renard et le paon

    Dans une forêt luxuriante, au cœur de la clairière,
    Vivait un renard rusé, au pelage d'or et de lumière,
    Non loin de là, un paon majestueux déployait ses plumes,
    Se pavanant sans cesse, fier de sa parure de brume.

    Le renard, malin, admirait en silence,
    La beauté éclatante du paon, son insolence,
    Chaque matin, le paon dansait sous les rayons du soleil,
    Tandis que le renard observait, caché dans son sommeil.

    Ô paon, si fier, ta beauté te rend aveugle,
    Ne vois-tu pas le danger qui rôde, les vaches qui beuglent ?
    La vanité attire les regards, mais aussi les pièges,
    Prends garde à ta fierté, ou ton sang tâchera la neige.

    Un jour, le paon, sûr de lui, s'aventura,
    Hors de la clairière, loin de son habitat,
    Le renard le suivit, ses yeux brillants de malice,
    Sachant que la fierté du paon serait bien son délice.

    Ô paon, si fier, ta beauté te rend aveugle,
    Ne vois-tu pas le danger qui rôde, les vaches qui beuglent ?
    La vanité attire les regards, mais aussi les pièges,
    Prends garde à ta fierté, ou ton sang tâchera la neige.

    Le paon, distrait par son reflet dans une mare,
    Ne vit pas le renard s'approcher, parfait petit trimard,
    D'un bond, le renard le saisit, sa ruse triomphante,
    Le paon réalisa trop tard que sa beauté se brisait sous la machoîre puissante.

    Ô paon, si fier, ta beauté te rend aveugle,
    Ne vois-tu pas le danger qui rôde, les vaches qui beuglent ?
    La vanité attire les regards, mais aussi les pièges,
    Prends garde à ta fierté, ou ton sang tâchera la neige.

    Le renard repartit, le paon abandonné,
    Ayant appris que la prudence vaut mieux que la beauté,
    Le paon, dépouillé de ses plumes, regagna la clairière,
    Humilié, mais plus sage, découpé en lanières.

    Ô paon, si fier, ta beauté te rend aveugle,
    Ne vois-tu pas le danger qui rôde, les vaches qui beuglent ?
    La vanité attire les regards, mais aussi les pièges,
    Prends garde à ta fierté, ou ton sang tâchera la neige.

    Beauté et fierté sont souvent des pièges dorés,
    La sagesse et l'humilité doivent guider nos pensées,
    Car si l'orgueil nous mène à nous croire invincibles,
    La chute n'en sera que plus rapide et irréversible.

  • 15
    La cigogne et le héron
    00:03:49

    La cigogne et le héron

    Près d’un marais tranquille, un havre de paix,
    Vivait une cigogne, élégante et fière en secret,
    Non loin, un héron, tout aussi noble et sage,
    Observait les alentours, surveillant son rivage.

    La cigogne, gracile, se pavanait sur une patte,
    Portant haut son bec, telle une reine écarlate,
    Le héron, patient, de son œil aiguisé,
    Voyait en elle une rivale à surveiller de près.

    Grande cigogne, si belle, ton allure te fait flotter,
    Mais n'oublie pas la prudence, ou tu pourrais tomber,
    Le monde est plein de dangers, même pour les plus gracieux,
    Reste vigilante, ou bien tu perdras tout sous les azurs cieux.

    Un jour, une proie attira la cigogne au loin,
    Un poisson doré, brillant dans un recoin,
    Le héron, prudent, resta à bonne distance,
    Pressentant le danger derrière cette chance.

    Grande cigogne, si belle, ton allure te fait flotter,
    Mais n'oublie pas la prudence, ou tu pourrais tomber,
    Le monde est plein de dangers, même pour les plus gracieux,
    Reste vigilante, ou bien tu perdras tout sous les azurs cieux.

    La cigogne plongea, les ailes grandes ouvertes,
    Mais un piège attendait, une ruse bien experte,
    Le poisson n’était qu’un appât brillant,
    Pour une trappe sournoise qui la serra lentement.

    Grande cigogne, si belle, ton allure te fait flotter,
    Mais n'oublie pas la prudence, ou tu pourrais tomber,
    Le monde est plein de dangers, même pour les plus gracieux,
    Reste vigilante, ou bien tu perdras tout sous les azurs cieux.

    Le héron, sage, s’approcha sans bruit,
    Libérant la cigogne, la ramenant à la vie,
    Elle apprit alors, humilité et respect,
    Que la beauté sans sagesse mène souvent au regret.

    Grande cigogne, si belle, ton allure te fait flotter,
    Mais n'oublie pas la prudence, ou tu pourrais tomber,
    Le monde est plein de dangers, même pour les plus gracieux,
    Reste vigilante, ou bien tu perdras tout sous les azurs cieux.

    Beauté et grâce ne suffisent pas toujours,
    Il faut aussi la sagesse pour éviter les détours,
    Car dans le grand marais de la vie imprévue,
    La prudence est la clé pour rester en vue.

  • 16
    La corneille et le renard
    00:03:36

    La corneille et le renard

    Dans une forêt profonde, là où les ombres dansent,
    Vivait une corneille, pleine de malveillance,
    Non loin, un renard, rusé et avisé,
    Observait le comportement, de ce volatile sans pitié.

    La corneille, moqueuse, se percha sur un arbre,
    Ricanant des animaux, semant le trouble, burinant le marbre,
    Elle raillait le lapin, humiliait le hérisson,
    Réduisant à néant, leur paix et leur raison.

    Sombre corneille, si noire, ta méchanceté te consume,
    N'oublie pas que le vent, tourne et résume,
    La vie est un miroir, ce que tu envoies revient,
    Tes actes sans pitié, te reviendront demain.

    Le renard, observant, fut saisi d'une idée,
    Décider de montrer à la corneille, les voies du regret,
    Il fit mine d'être blessé, faible et vulnérable,
    Attirant la corneille, dans un piège remarquable.

    Sombre corneille, si noire, ta méchanceté te consume,
    N'oublie pas que le vent, tourne et résume,
    La vie est un miroir, ce que tu envoies revient,
    Tes actes sans pitié, te reviendront demain.

    La corneille s’approcha, pensant triompher,
    Mais le renard, vif, se releva d’un bond enchanté,
    Il attrapa la corneille, lui montrant sa ruse,
    La malice a ses limites, et le mal en abuse.

    Sombre corneille, si noire, ta méchanceté te consume,
    N'oublie pas que le vent, tourne et résume,
    La vie est un miroir, ce que tu envoies revient,
    Tes actes sans pitié, te reviendront demain.

    La corneille, honteuse, comprit la leçon,
    Le renard la relâcha, lui offrant un pardon,
    Elle apprit alors, la valeur de la gentillesse,
    Que la cruauté gratuite, ne mène qu’à la détresse.

    Sombre corneille, si noire, ta méchanceté te consume,
    N'oublie pas que le vent, tourne et résume,
    La vie est un miroir, ce que tu envoies revient,
    Tes actes sans pitié, te reviendront demain.

    La forêt retrouva, sa paix et sa douceur,
    La corneille, transformée, sema alors des fleurs,
    Car la méchanceté gratuite, n’a jamais de profit,
    Et c’est la bonté qui éclaire notre vie.

  • 17
    La compagnie des loups
    00:03:11

    La compagnie des loups

    Dans une vallée lointaine, où le ciel est bleu,
    Vivait une compagnie, avec des loups ambitieux,
    Ils prospéraient sans cadre, sans loi ni barrière,
    Abusant des moutons, sans aucune manière.

    Les loups construisaient des usines, sans se soucier,
    Des conséquences pour la vallée, des dommages causés,
    Les moutons, naïfs, suivaient le troupeau,
    Ignorant que leur avenir, dépendait de ces maux.

    Grands loups, votre avidité vous mènera à la ruine,
    Car une société sans règles, finit par être maligne,
    La nature se vengera, des abus et des torts,
    Et ce que vous semez, vous récolterez alors.

    Les loups vendaient des produits, malsains et toxiques,
    Promettant aux moutons, une vie idyllique,
    Les moutons consommaient, sans poser de questions,
    Ignorant les dangers, de leur consommation.

    Grands loups, votre avidité vous mènera à la ruine,
    Car une société sans règles, finit par être maligne,
    La nature se vengera, des abus et des torts,
    Et ce que vous semez, vous récolterez alors.

    Un jour, la vallée fut secouée par un cri,
    Les rivières empoisonnées, les champs anéantis,
    Les moutons commencèrent à comprendre la réalité,
    Que leur aveuglement, les avait menés dans cette fatalité.

    Grands loups, votre avidité vous mènera à la ruine,
    Car une société sans règles, finit par être maligne,
    La nature se vengera, des abus et des torts,
    Et ce que vous semez, vous récolterez alors.

    Les loups furent confrontés, à une grande rébellion,
    Les moutons, éveillés, réclamaient réparation,
    La vallée reprit vie, les lois furent instaurées,
    Les loups apprirent enfin, la valeur de l’équité.

    Grands loups, votre avidité vous mènera à la ruine,
    Car une société sans règles, finit par être maligne,
    La nature se vengera, des abus et des torts,
    Et ce que vous semez, vous récolterez alors.

    La vallée prospéra, dans l’harmonie et la loi,
    Les loups rééduqués, les moutons, profitaient bien loin de ces putois,
    Car une société juste, est fondée sur l’amour,
    Et non sur la cupidité, qui dévore chaque jour.

  • 18
    Le renard et le hérisson
    00:03:02

    Le renard et le hérisson

    Dans une forêt profonde, où régnait la lumière,
    Vivait un renard avare, attaché à ses pierres,
    Il amassait des trésors, des richesses et de l'or,
    Ne partageant jamais, pensant survivre encore.

    Le renard, un jour, croisa un hérisson,
    Qui vivait simplement et sans grande prétention,
    "Pourquoi accumules-tu, renard, toujours plus de cet or?"
    "Pour être puissant, pour briller toujours plus et encore."

    Renard avare, ta richesse est un leurre,
    Car sans partage et amour, elle te mène à l'erreur,
    Un jour tu verras, quand la forêt s'éteindra,
    Que l'avarice te laissera, seul dans le froid.

    Le renard riait fort, de la sagesse du hérisson,
    Ignorant ses paroles, poursuivant sa mission,
    Il cachait ses trésors, dans des cavernes sombres,
    Ne voyant pas que sa vie, devenait une tombe.

    Renard avare, ta richesse est un leurre,
    Car sans partage et amour, elle te mène à l'erreur,
    Un jour tu verras, quand la forêt s'éteindra,
    Que l'avarice te laissera, seul dans le froid.

    Un hiver rigoureux, frappa la forêt,
    Les animaux souffraient, cherchant à se réchauffer,
    Le renard, isolé, entouré de ses biens,
    Comprit trop tard, qu'il avait perdu les siens.

    Renard avare, ta richesse est un leurre,
    Car sans partage et amour, elle te mène à l'erreur,
    Un jour tu verras, quand la forêt s'éteindra,
    Que l'avarice te laissera, seul dans le froid.

    Le hérisson survécut, grâce à ses amis,
    Partageant la chaleur, et les racines pâlies,
    Le renard, démuni, pleura son illusion,
    Comprenant enfin, la leçon du hérisson.

    Renard avare, ta richesse est un leurre,
    Car sans partage et amour, elle te mène à l'erreur,
    Un jour tu verras, quand la forêt s'éteindra,
    Que l'avarice te laissera, seul dans le froid.

    La forêt reprit vie, quand le printemps revint,
    Le renard, changé, partagea ses biens,
    Car la vraie richesse, n'est pas dans l'or amassé,
    Mais dans l'amour et l'entraide, qui font mieux perdurer.

  • 19
    La tortue et le lièvre
    00:03:52

    La tortue et le lièvre

    Dans un bois lointain, où le jour se fait doux,
    Vivait une tortue, au cœur fier et chelou,
    Elle se croyait reine, dans son petit monde,
    Dédaignant les conseils, ignorante et immonde.

    Le lièvre, modeste, travaillait sans relâche,
    Cultivant ses champs, aidant autour sans panache,
    "Pourquoi te donnes-tu, lièvre, autant de mal?"
    "Pour vivre simplement, sans orgueil ni rival."

    Grasse tortue vaniteuse, ton orgueil est un voile,
    Il te cache la beauté des choses, te mène au désarroi,
    Un jour tu verras, quand l'épreuve viendra sous les pâles étoiles,
    Que la vanité te laissera, seule dans le froid.

    La tortue riait fort, du travail du lièvre,
    Ignorant ses efforts, vivant mieux dans sa fièvre,
    Elle paradait sans cesse, enivrée par son éclat,
    Ne voyant pas que sa vie, s'étiolait en blabla.

    Grasse tortue vaniteuse, ton orgueil est un voile,
    Il te cache la beauté des choses, te mène au désarroi,
    Un jour tu verras, quand l'épreuve viendra sous les pâles étoiles,
    Que la vanité te laissera, seule dans le froid.

    Un orage terrible, frappa la contrée,
    Les champs furent noyés, les abris balayés,
    Le lièvre, bien préparé, trouva un refuge sûr,
    La tortue, désemparée, chercha aide, sans mur.

    Grasse tortue vaniteuse, ton orgueil est un voile,
    Il te cache la beauté des choses, te mène au désarroi,
    Un jour tu verras, quand l'épreuve viendra sous les pâles étoiles,
    Que la vanité te laissera, seule dans le froid.

    Le lièvre accueillit, la tortue en détresse,
    Lui offrant un abri, chaleur et belle tendresse,
    La tortue comprit, enfin sa leçon,
    Et remercia le lièvre, en toute humilité, sans ambition.

    Grasse tortue vaniteuse, ton orgueil est un voile,
    Il te cache la beauté des choses, te mène au désarroi,
    Un jour tu verras, quand l'épreuve viendra sous les pâles étoiles,
    Que la vanité te laissera, seule dans le froid.

    La forêt reprit vie, avec l'arrivée du printemps,
    La tortue et le lièvre, ensemble, partagèrent du temps,
    Car la vraie beauté, n'est pas dans l'apparence,
    Mais dans l'humilité, l'amour et la bienveillance.

  • 20
    Le singe et le perroquet
    00:03:59

    Le singe et le perroquet

    Dans une jungle dense, où résonnent les chants,
    Vivait un singe cupide, aux désirs trop grands,
    Il amassait des fruits, sans jamais partager,
    Ne pensant qu'à lui, oubliant la bonté.

    Le perroquet sage, observait en silence,
    Partageant ses graines, avec fière élégance,
    "Pourquoi accumules-tu, singe, autant de ces beaux fruits?"
    "Pour être riche et puissant, et régner sans ennemis."

    Triste singe cupide, ta richesse est un piège,
    Elle te lie à l'égoïsme, t'enferme sur un manège,
    Un jour tu verras, quand la famine frappera,
    Que l'avarice te laissera, seul et sans voix.

    Le singe riait fort, de la générosité du perroquet,
    Ignorant ses conseils, poursuivant ses projets,
    Il cachait ses provisions, dans des cachettes sombres,
    Ne voyant pas que sa vie, devenait hécatombe.

    Triste singe cupide, ta richesse est un piège,
    Elle te lie à l'égoïsme, t'enferme sur un manège,
    Un jour tu verras, quand la famine frappera,
    Que l'avarice te laissera, seul et sans voix.

    Une sécheresse implacable, frappa la jungle entière,
    Les animaux souffraient, peinant à survivre sans cette mane fruitière,
    Le singe, isolé, entouré de ses fruits pourris,
    Comprit trop tard, qu'il vivait dans une pouillerie.

    Triste singe cupide, ta richesse est un piège,
    Elle te lie à l'égoïsme, t'enferme sur un manège,
    Un jour tu verras, quand la famine frappera,
    Que l'avarice te laissera, seul et sans voix.

    Le perroquet survécut, grâce à tous ses amis,
    Partageant les ressources, et les rares fruits,
    Le singe, démuni, pleura son illusion,
    Comprenant enfin, la leçon du perroquet, sans confusion.

    Triste singe cupide, ta richesse est un piège,
    Elle te lie à l'égoïsme, t'enferme sur un manège,
    Un jour tu verras, quand la famine frappera,
    Que l'avarice te laissera, seul et sans voix.

    La jungle retrouva sa splendeur, avec le retour des pluies,
    Le singe, changé, partagea ses fruits,
    Car la vraie richesse, n'est pas dans l'accumulation,
    Mais dans le partage, l'amour et la collaboration.


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