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Dans la nuit, elle cache ses larmes,
Une femme brisée par la douleur.
Sous les coups de celui qu’elle appelle homme,
Son cœur bat, rempli de peur.

Chaque jour, un nouvel enfer,
Chaque nuit, des cicatrices nouvelles.
Elle rêve de fuir ce cauchemar amer,
Mais ses enfants la retiennent, ses ailes coupées.

Oh, femme enchaînée par la terreur,
Tes yeux crient silencieusement ta douleur.
Dans l’ombre, tu souffres en silence,
Prisonnière de cette violence.

Elle regarde ses enfants dormir,
Leur innocence est son seul répit.
Sans argent, sans espoir de fuir,
Elle endure, pour eux, cette vie.

Elle pense à des jours meilleurs,
Où les coups seraient un lointain souvenir.
Mais chaque cri, chaque heure,
La ramène à cette sombre réalité.

Oh, femme enchaînée par la terreur,
Tes yeux crient silencieusement ta douleur.
Dans l’ombre, tu souffres en silence,
Prisonnière de cette violence.

Sous les étoiles, elle prie en silence,
Pour une délivrance, un acte de courage.
Mais le destin la laisse sans défense,
Face à ce sombre présage.

Un soir, les coups sont trop forts,
Elle sent sa vie s’échapper doucement.
Elle murmure un dernier mot d’amour,
Pour ses enfants, dans un souffle mourant.

Oh, femme enchaînée par la terreur,
Tes yeux crient silencieusement ta douleur.
Dans l’ombre, tu souffres en silence,
Prisonnière de cette violence.

Quand l’aube éclaire son visage pâle,
Elle repose, enfin libre de sa souffrance.
Ses enfants pleurent, son corps est un récital,
De cette vie brisée, de cette sombre danse.

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Il se noie dans les bouteilles,
Chaque soir, un peu plus loin.
Depuis qu'elle est partie, la vie est cruelle,
Son cœur est brisé, noyé dans le vin.

Chaque matin, il vacille,
Ivre, il affronte le jour.
Au travail, ses pas sont des îles,
Perdues dans un océan de détours.

Oh, homme brisé par l'amour,
Tu te perds dans l'alcool chaque jour.
Elle est partie, laissant ton cœur en lambeaux,
Et tu sombreras, seul, dans les flots.

Les jours passent, il est licencié,
Sans argent, sans espoir de retour.
Il erre dans les rues, désespéré,
Le regard vide, sans avenir, sans amour.

Elle s'amuse, loin de ses tourments,
Avec un nouvel amant, insouciante.
Il se souvient des jours heureux,
Aujourd'hui, il est seul, malheureux.

Oh, homme brisé par l'amour,
Tu te perds dans l'alcool chaque jour.
Elle est partie, laissant ton cœur en lambeaux,
Et tu sombreras, seul, dans les flots.

Sous les ponts, il trouve refuge,
Dans le froid, dans la nuit.
Son âme hurle, son corps est une fugue,
De tristesse, de douleur infinie.

Un soir, le froid est trop intense,
Il s'endort pour ne plus se réveiller.
Son cœur cesse de battre dans la souffrance,
Sous un pont, son dernier séjour, son dernier été.

Oh, homme brisé par l'amour,
Tu t'es perdu dans l'alcool chaque jour.
Elle est partie, laissant ton cœur en lambeaux,
Et tu sombreras, seul, dans les flots.

Quand l'aube éclaire son visage glacé,
Personne ne pleure, personne ne sait.
Un homme seul, par l'amour dévasté,
A quitté ce monde, sous un pont, oublié.

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Dans l'ombre, elle guette ses pas,
Une femme rongée par la jalousie.
Son cœur bat fort, elle ne comprend pas,
Pourquoi cette peur la hante, la trahit.

Elle l'aime avec une telle intensité,
Mais le doute s'insinue, sournois.
Chaque regard, chaque mot est suspect,
Elle souffre, pleure, se noie.

Oh, femme perdue dans la jalousie,
Ton amour devient ta folie.
Tu crains de perdre ce cœur précieux,
Mais tu t’éloignes, tu t’éteins peu à peu.

Elle surveille chaque mouvement,
Épie ses appels, ses messages.
Elle se perd dans ses tourments,
Son amour devient une cage.

Chaque sourire qu'il offre à d'autres,
Est une blessure, un coup de couteau.
Elle veut le garder, le protéger des autres,
Mais sa jalousie est un fardeau.

Oh, femme perdue dans la jalousie,
Ton amour devient ta folie.
Tu crains de perdre ce cœur précieux,
Mais tu t’éloignes, tu t’éteins peu à peu.

Son cœur se brise chaque jour,
Sous le poids de cette méfiance.
Elle rêve d'un amour sans détour,
Mais se perd dans cette danse.

Il ne peut plus supporter cette rage,
Cette surveillance, cette hystérie.
Il lui dit adieu, quitte leur page,
Laisse derrière lui ses cris, sa folie.

Elle reste seule, dévastée,
Par ses propres peurs, ses illusions.
L'amour qu'elle voulait tant protéger,
S'est envolé, laissant la désolation.

Oh, femme perdue dans la jalousie,
Ton amour est devenu ta folie.
Tu as craint de perdre ce cœur précieux,
Et maintenant, tu es seule, malheureuse.

Quand l'aube éclaire son visage,
Elle comprend enfin son mirage.
Sa jalousie, une prison dorée,
A détruit l'amour qu'elle voulait garder

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Dans une cité où règne la peur,
Un jeune homme sensible grandit.
Il cherche l’évasion, la chaleur,
Dans des ruelles sombres, sans répit.

Il déteste rester seul chez lui,
Alors il sort, rejoint la rue.
Il rencontre des jeunes, des vies détruites,
Des chemins sombres qu’il n’avait pas vus.

C'est triste, jeune perdu dans la cité,
Ton cœur fragile cherche à s’échapper.
Mais les ombres qui t’enlacent sont des freins,
Elles te mènent vers un destin cruel et sans fin.

Il suit les meneurs, les regards d’acier,
Apprend à dealer, à voler pour survivre.
Chaque jour, il s’enfonce dans cette vie écorchée,
Sa sensibilité se transforme en colère vive.

Il rêve d’un monde meilleur,
Mais la réalité le ramène.
Dans la violence, il cherche une lueur,
Mais ses espoirs sont des chaînes.

C'est triste, jeune perdu dans la cité,
Ton cœur fragile cherche à s’échapper.
Mais les ombres qui t’enlacent sont des freins,
Elles te mènent vers un destin cruel et sans fin.

Une nuit, les étoiles pleurent,
Un règlement de compte éclate.
Les balles sifflent, marquent l’heure,
Sa vie s’éteint dans cette bataille.

Dans la rue, son corps repose,
Un jeune homme sensible, brisé.
Les rêves qu’il avait, les choses,
Sont emportés par la cruauté.

Les sirènes hurlent, les larmes coulent,
Un destin tragique dans la cité.
Il voulait juste trouver un amour,
Mais la violence l’a emporté.

C'est triste, jeune perdu dans la cité,
Ton cœur fragile cherche à s’échapper.
Mais les ombres qui t’enlacent sont des freins,
Elles te mènent vers un destin cruel et sans fin.

Le matin éclaire son visage,
Les rêves et la douleur se mêlent.
Un jeune homme sensible, une image,
D’une vie éteinte dans cette citadelle.

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Il a grandi sous les coups, les cris,
Un jeune homme dur, au cœur endurci.
Son père violent, son seul repère,
Il apprend la douleur, la guerre.

Il s'engage dans l'armée, sans hésiter,
Un légionnaire, prêt à tout sacrifier.
Sans foi, sans loi, sans amour en lui,
Il laisse la haine guider sa vie.

Regarde, homme forgé par la violence,
Tu cherches la paix dans l’arrogance.
Dans la jungle, tu deviens soldat,
Dans le désert, tu deviens homme, sans foi.

Chaque bataille est un pas de plus,
Dans une vie où la mort est complice.
Il se bat avec rage, avec feu,
Sa jeunesse perdue dans les adieux.

Les années passent, les cicatrices s'accumulent,
Dans la chaleur du désert, ses rêves s'annulent.
Il pense à une vie qu'il n'a jamais connue,
À l'amour qu'il a toujours cru perdu.

Regarde, homme forgé par la violence,
Tu cherches la paix dans l’arrogance.
Dans la jungle, tu deviens soldat,
Dans le désert, tu deviens homme, sans foi.

Un jour, une balle le frappe en plein cœur,
Il tombe, la douleur remplace la terreur.
Il pense à une famille, à un enfant,
À une vie où il pourrait être présent.

Dans son dernier souffle, il comprend enfin,
Qu'il aurait préféré être père, un chemin divin.
Mais la vie l'a sculpté autrement,
Un guerrier, un homme sans sentiment.

Son cœur bat une dernière fois,
Avec un rêve d'amour qu'il ne connaîtra pas.
Il ferme les yeux, un sourire triste,
Dans la mort, il trouve une paix douce et subtile.

Regarde, homme forgé par la violence,
Tu cherches la paix dans l’arrogance.
Dans la jungle, tu deviens soldat,
Dans le désert, tu deviens homme, sans foi.

Quand la rosée lui rafraîchit le visage,
Le monde continue sans lui.
Un légionnaire, une vie brisée,
Par une balle et un rêve inachevé.

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Une jeune femme, belle à en pleurer,
Peut tout avoir, rien ne lui est refusé.
Elle se fiche des autres, ne pense qu'à elle,
Son reflet dans le miroir, son unique étincelle.

Elle devient influenceuse, sans talent, sans art,
Juste une image, une icône, un standard.
Des adolescents la voient comme une princesse,
Elle accumule richesse et succès, sans détresse.

Trop belle, dame de vanité,
Ton monde est fait d’illusion dorée.
Mais derrière l'écran, la réalité se dresse,
Une vérité cruelle, une tristesse.

Chaque soirée, des verres à volonté,
Des rires superficiels, des promesses brisées.
Elle ne voit pas les regards de désir,
Les ombres qui l’entourent, le danger à venir.

Une nuit de plus, un verre de trop,
L'homme qui la ramène, un désir en écho.
Il l'a désirée en secret, depuis des années,
Mais ce soir, sa folie va tout emporter.

Trop belle, dame de vanité,
Ton monde est fait d’illusion dorée.
Mais derrière l'écran, la réalité se dresse,
Une vérité cruelle, une tristesse.

Dans l'obscurité, ses cris sont étouffés,
Sa beauté devient un fardeau, une fatalité.
L’homme qu’elle ignorait, qu’elle méprisait,
Lui prend tout, sa vie, sa dignité.

Elle est trouvée, sans vie, sans éclat,
Une reine déchue, une étoile qui ne brille pas.
Ses followers pleurent une image, une façade,
Sans jamais connaître la fin de sa balade.

Elle vivait pour les apparences, pour les vues,
Mais derrière l'écran, son âme s'est perdue.
Une leçon amère dans ce monde de faux-semblants,
Où la beauté est une arme, un piège constant.

Trop belle, dame de vanité,
Ton monde est fait d’illusion dorée.
Mais derrière l'écran, la réalité se dresse,
Une vérité cruelle, une tristesse.

Au petit matin, dans la ruelle humide,
Le monde continue, mais elle est oubliée.
Une jeune femme trop belle, victime de sa gloire,
Une histoire tragique, une vie sans espoir.

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Elle a onze ans, elle rit, elle joue,
Avec ses amies, dans un monde si doux.
Son innocence éclaire ses journées,
Mais une nuit, tout va basculer.

Un soir sombre, la peur s'installe,
Son frère la blesse, elle se sent mal.
Elle garde le silence, ses larmes cachées,
Son cœur brisé, son enfance volée.

Jolie petite fille au cœur brisé,
Ton rire s'est envolé.
La douleur est ton secret,
Mais un jour, tu seras libérée.

Les années passent, elle devient femme,
Une colère cachée, une flamme.
Elle grandit avec cette douleur,
Une ombre qui nourrit sa rancœur.

Elle décide enfin de tout révéler,
À sa famille, son histoire à dévoiler.
Mais leur unité les rend aveugles,
Ils ne comprennent pas, elle est seule.

Jolie petite fille au cœur brisé,
Ton rire s'est envolé.
La douleur est ton secret,
Mais un jour, tu seras libérée.

Malgré tout, elle trouve du soutien,
Des amis qui comprennent sa peine.
Elle reconstruit sa vie, pas à pas,
Chaque jour une victoire, un nouveau pas.

Elle est bien entourée, elle est aimée,
Ses amis sont sa famille, son pilier.
La douleur s'apaise, la colère s'efface,
Elle trouve enfin la paix, l'amour remplace.

Elle rit de nouveau, elle joue, elle danse,
Dans un monde où elle trouve sa chance.
Elle est heureuse, malgré tout ce qu’elle a vécu,
Une survivante, une force inattendue.

Jolie femme au cœur guéri,
Ta vérité t’a libérée.
Dans l’amour, tu as trouvé,
La force de tout surmonter.

Quand l’aube éclaire ton visage,
Tu souris, tourne une nouvelle page.
Tu es une jeune fille devenue femme,
Heureuse, malgré les drames.

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Un petit garçon, différent des siens,
Ses parents veulent le changer, c'est certain.
Mais il n'est pas comme eux, il le regrette,
Chaque jour, leur désapprobation le guette.

Ils veulent le faire grandir à leur image,
Mais il se sent étranger dans leur paysage.
Ils le freinent, le peinent, le sermonnent sans cesse,
Son cœur se serre, sa joie se laisse.

Doux petit garçon, perdu dans leur monde,
Ta tristesse est profonde.
Mais souviens-toi, tu es unique et fort,
Ton chemin sera différent, mais il sera le tien, à ton corps.

Chaque jour, il se lève avec l'angoisse,
D'être jugé, critiqué, dans leur boîte.
Il se renferme sur lui-même, dans sa peine,
Rêvant d'une vie où il se sente à l'aise.

Leurs mots le blessent, comme des lames,
Son cœur saigne, mais il garde son âme.
Rien ne pourra corriger leurs erreurs,
Il grandira, survivra, malgré la douleur.

Doux petit garçon, perdu dans leur monde,
Ta tristesse est profonde.
Mais souviens-toi, tu es unique et fort,
Ton chemin sera différent, mais il sera le tien, à ton corps.

Un jour, il partira, loin de leur ombre,
Il tracera sa route, sans encombre.
Malgré tout, il gardera cette peine,
D'avoir jamais pu satisfaire leurs chaînes.

Dans ses souvenirs, il portera leur image,
Celle de parents qui n'ont jamais vu son courage.
Mais il saura que sa valeur réside en lui,
Et malgré tout, il sourira, il choisira la vie.

Doux petit garçon, perdu dans leur monde,
Ta tristesse est profonde.
Mais souviens-toi, tu es unique et fort,
Ton chemin sera différent, mais il sera le tien, à ton corps.

Quand le soleil caresse ton visage,
Tu sais que ton destin n'est pas un mirage.
Tu marcheras avec fierté sur ton chemin,
Car tu sais que ton bonheur est enfin tien.

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Un petit garçon dans une ville d'Ukraine,
Vit heureux, sous le ciel azuréen.
Mais un jour, la guerre s'abat sans prévenir,
Des histoires de grands, il ne peut les saisir.

Les bombes tombent, la haine se déverse,
Il ne comprend pas, sa ville devient un enfer.
Il a peur, il tremble, il pleure dans le noir,
Pourquoi tant de violence, pourquoi tant de désespoir ?

Pauvre Ukraine, toi si paisible,
Maintenant meurtrie, dans l'horreur indicible.
Les larmes des enfants arrosent tes rues,
Dans le silence, résonnent les adieux.

Il voit des morts partout, des cris dans la nuit,
Des rêves brisés, dans ce monde meurtri.
Il ne sait pas pourquoi, il ne sait pas comment,
Juste un petit garçon, pris dans le tourment.

Il veut vivre encore, sentir le vent sur sa peau,
Mais la guerre ravage tout, même les plus beaux échos.
Il cherche refuge, un peu de lumière dans le noir,
Mais tout ce qu'il trouve, c'est la peur, le désespoir.

Pauvre Ukraine, toi si paisible,
Maintenant meurtrie, dans l'horreur indicible.
Les larmes des enfants arrosent tes rues,
Dans le silence, résonnent les adieux.

Combien d'enfants comme lui, pris dans la tourmente,
Combien de vies brisées, dans cette guerre démente ?
Il rêve d'un avenir où la paix règne enfin,
Où les sourires reviennent, où les cœurs reprennent.

Mais pour l'instant, il serre fort sa mère dans ses bras,
Espérant que demain, il n'y aura plus de trépas.
Pauvre Ukraine, dans tes terres si belles,
La guerre a semé la douleur, la peine éternelle.

Pauvre Ukraine, toi si paisible,
Maintenant meurtrie, dans l'horreur indicible.
Les larmes des enfants arrosent tes rues,
Dans le silence, résonnent les adieux.

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Une petite fille, seule dans son coin,
Chaque matin, elle se lève, triste et sans émoi.
À l'école, d'autres filles la harcèlent sans cesse,
Elle n'a rien fait pourtant, juste être elle-même.

Plus jolie, plus intelligente, elle est plus douce aussi,
C'est une belle âme, au milieu de jeunes démons.
Elle ne dit rien, la peur lui serre le cœur,
On lui a dit qu'elle souffrirait si elle ouvrait sa gueule.

Parfaite petite fille au cœur brisé,
Dans l'ombre, tu as tant pleuré.
Mais personne n'a entendu ta voix,
Dans ce monde cruel, sans foi ni lois.

Un soir, en sortant de l'école, la bande arrive,
Les démons se déchaînent, l'horreur s'invite.
Elle crie, elle pleure, mais personne ne vient,
Elle est seule, abandonnée, dans ce triste destin.

Les coups pleuvent, la violence éclate,
Son innocence brisée, dans cette journée de haine.
Elle est morte, une heure plus tard, à l’hôpital froid,
Avant que ses parents ne sachent, avant tout émoi.

Parfaite petite fille au cœur brisé,
Dans l'ombre, tu as tant pleuré.
Mais personne n'a entendu ta voix,
Dans ce monde cruel, sans foi ni lois.

Combien de vies brisées, combien de larmes versées,
Dans ce silence assourdissant, dans cette nuit glacée.
Elle ne sera plus là pour rire, pour aimer,
Juste une étoile de plus, dans le ciel émerveillé.

Maintenant, elle repose en paix,
Loin de la douleur, loin de ces mauvais.
Mais son histoire reste, comme un cri dans le vent,
Une leçon amère, un rappel troublant.

Et nous, restons-nous indifférents,
Face à tant de souffrance, face à tant de tourments ?
Ouvrons nos cœurs, tendons nos mains,
Pour que plus jamais, l'innocence ne soit en vain.

Parfaite petite fille au cœur brisé,
Dans l'ombre, tu as tant pleuré.
Mais personne n'a entendu ta voix,
Dans ce monde cruel, sans foi ni lois.

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Dans une cage sombre, un petit chien attend,
Les jours s'étirent, l'attente est pesante.
Un couple arrive, avec un petit garçon,
Le petit chien espère, pour lui c'est la raison.

Les cœurs se lient, le chien est heureux,
Enfin, une famille, un foyer, un lieu.
Il découvre l'amour, la chaleur d'un chez-soi,
Mais le destin cruel garde des éclats de bois.

Un petit chien, une grande attente,
Un foyer doux, une famille éclatante.
Mais l'ombre surgit, la douleur éclate,
Dans ce monde brutal, la tristesse se combat.

Un jour, le petit garçon revient de l'école,
La colère brûle en lui, une ombre folle.
Il se jette sur le chien, lui coupe une oreille,
Le chien hurle, pleure, sa peine est sans pareille.

Le père, mécontent, rejoint la scène,
La main lourde, il frappe, la peur s'emmène.
Le petit chien, brisé, pleure la nuit,
Il ne comprend pas, son monde s'assombrit.

Un petit chien, une grande attente,
Un foyer doux, une famille éclatante.
Mais l'ombre surgit, la douleur éclate,
Dans ce monde brutal, la tristesse se combat.

Un soir sombre, le père l'emmène loin,
Dans une forêt, il l'attache, sans fin.
Le chien ne peut bouger, ne peut plus crier,
Personne ne vient, il est seul, abandonné.

La soif le brûle, la faim le déchire,
Dans sa solitude, il soupire.
Un jouet cassé, un cœur brisé,
Le petit chien s'éteint, loin des regards, loin des cris.

Un petit chien, une grande attente,
Un foyer doux, une famille éclatante.
Mais l'ombre surgit, la douleur éclate,
Dans ce monde brutal, la tristesse se combat.

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Un homme à qui les misères s'acharnent,
Mais son âme est vieille, elle s'élargit, s'écarte.
Proche de Jésus, proche de Dieu,
Son cœur les considère comme son père, son frère précieux.

Toute sa vie, il a affronté,
Des guerres, des larmes, des peines entrelacées.
Mais plus il perdait son énergie vitale,
Plus son amour pour Dieu devenait inaltérable.

Dans les tourments, il trouve sa force,
Une foi inébranlable, une lumière intense.
Chaque épreuve, chaque douleur,
Le rapproche de son Créateur, dans une union profonde, dans une fusion.

Toute sa vie, il a affronté,
Des guerres, des larmes, des peines entrelacées.
Mais plus il perdait son énergie vitale,
Plus son amour pour Dieu devenait inaltérable.

Les souffrances inouïes ne le font pas vaciller,
Car dans chaque épreuve, il voit Dieu briller.
Son cœur est un sanctuaire, sa foi est son bouclier,
Dans la tempête, il reste ferme, il reste entier.

Et lorsque vient la fin, lorsque son souffle s'apaise,
Il sait que son âme retrouvera la paix.
Car auprès de Dieu, il trouvera l'éternel repos,
Son amour pour son Créateur, jamais ne s'éteindra, jamais ne s'effacera.

Toute sa vie, il a affronté,
Des guerres, des larmes, des peines entrelacées.
Mais plus il perdait son énergie vitale,
Plus son amour pour Dieu devenait inaltérable.

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