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L'homme avance, esprit clair, dans un monde en déclin,
Intelligence tranchante face aux esprits malsains.
Humanité moribonde, perdue dans sa fange,
Il se bat, il se dresse, sa rage le démange.

Les idiots ricanent, plongés dans l'ignorance,
Mais il voit plus loin, au-delà de leurs apparences.
Chaque jour, chaque nuit, c'est un combat acharné,
Contre la bêtise ambiante, il reste déterminé.

Armé de l'intelligence, au milieu des fous,
Il lutte sans relâche, pour ne pas tomber à genoux.
HPI contre le monde, une bataille sans fin,
Il brandit sa sagesse, comme une arme en main.

Les masses se vautrent, dans leur médiocrité,
L'homme s'élève, refuse de s'y plier.
Visionnaire et fort, il défie l'absurdité,
Son esprit aiguisé, guide sa destinée.

Les mensonges s'accumulent, les illusions prospèrent,
Mais lui perce le voile, détruit les chimères.
Il affronte la folie, la corruption du monde,
Sa rage est son flambeau, dans cette nuit immonde.

Armé de l'intelligence, au milieu des fous,
Il lutte sans relâche, pour ne pas tomber à genoux.
HPI contre le monde, une bataille sans fin,
Il brandit sa sagesse, comme une arme en main.

Au milieu des ruines, des rêves avortés,
Il construit son chemin, refusant de plier.
Les âmes endormies, il cherche à réveiller,
Mais la résistance est forte, la bêtise enracinée.

Il voit les injustices, les trahisons, les failles,
Sa colère est immense, comme une mer qui défaille.
L'homme se bat seul, dans un monde insensé,
Sa guerre est celle du vrai, contre la fausseté.

Armé de l'intelligence, au milieu des fous,
Il lutte sans relâche, pour ne pas tomber à genoux.
HPI contre le monde, une bataille sans fin,
Il brandit sa sagesse, comme une arme en main.

Son combat est sacré, un cri de révolte,
Il refuse de se taire, de céder au culte.
Des ignorants qui règnent, dans cette humanité,
L'homme intelligent, cherche à tout changer.

Avec rage et courage, il avance, il persiste,
Chaque pas, chaque mot, est un acte de justice.
Il refuse de faiblir, de se laisser abattre,
Dans cette guerre sans fin, il continue de combattre.

Armé de l'intelligence, au milieu des fous,
Il lutte sans relâche, pour ne pas tomber à genoux.
HPI contre le monde, une bataille sans fin,
Il brandit sa sagesse, comme une arme en main.

Et même si la route, est semée d'embûches,
Il garde son cap, contre vents et marées.
Sa lumière intérieure, brille dans la nuit,
Un phare dans l'obscurité, guidant vers l'infini.

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Yo, c'est l'histoire d'un homme, prêt à tout détruire,
Contre les injustices, il va les faire souffrir,
L'invasion du Tibet, les ouïgours persécutés,
Les horreurs des russes, il va tout écraser.

Le monde est en flammes, les innocents pleurent,
Il voit la souffrance, ressent toute leur peur,
Les puissants se cachent, derrière leurs armées,
Mais cet homme est une tempête, prêt à les affronter.

Il se lève pour le Tibet, contre l'invasion cruelle,
Les moines enchaînés, sous un régime de fiel,
Il hurle pour les ouïgours, des millions en détention,
Chaque cri, chaque larme, alimente sa rébellion.

Il se bat pour la justice, avec rage et fureur,
Contre toutes les horreurs, il est notre sauveur,
Les tyrans vont trembler, face à sa colère,
Il est le vengeur, le libérateur de la Terre.

Il voit les persécutions, des ouïgours torturés,
Des camps de concentration, des vies arrachées,
Les crimes des russes, en Ukraine dévastée,
Il porte le flambeau, de ceux qui veulent résister.

Les tyrans pensent qu'ils sont à l'abri de la justice,
Mais cet homme est une tornade, qui balaye l'injustice,
Il s'élève avec le peuple, des cendres il renaît,
Son cœur est en feu, rien ne peut l'arrêter.

Il se bat pour la justice, avec rage et fureur,
Contre toutes les horreurs, il est notre sauveur,
Les tyrans vont trembler, face à sa colère,
Il est le vengeur, le libérateur de la Terre.

Des missiles, des tanks, des soldats corrompus,
Il affronte les horreurs, ne recule devant rien,
Chaque oppression, chaque tyrannie,
Il les écrasera, les réduira en poussière.

Sa voix est un tonnerre, résonne dans les cieux,
Il défie les puissants, les expose aux yeux,
Les peuples opprimés, trouvent espoir en son nom,
Il est leur bouclier, leur arme, leur champion.

Il se bat pour la justice, avec rage et fureur,
Contre toutes les horreurs, il est notre sauveur,
Les tyrans vont trembler, face à sa colère,
Il est le vengeur, le libérateur de la Terre.

Chaque bataille gagnée, est une victoire pour l'humanité,
Il ne cessera jamais, jusqu'à la liberté,
Pour chaque ouïgour, chaque tibétain,
Pour chaque victime des russes, il tiendra le terrain.

Il est le cauchemar des tyrans, le rêve des opprimés,
Un guerrier de la vérité, un libérateur obstiné,
Sa rage est inextinguible, sa détermination sans fin,
Il va tout détruire, jusqu'à la victoire des siens.

Il se bat pour la justice, avec rage et fureur,
Contre toutes les horreurs, il est notre sauveur,
Les tyrans vont trembler, face à sa colère,
Il est le vengeur, le libérateur de la Terre.

Yo, c'est l'histoire d'un homme, une légende en marche,
Contre toutes les injustices, il mène la charge,
Sa rage est notre espoir, sa force notre lumière,
Il écrasera les tyrans, libèrera la Terre entière.

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Yo, c'est l'histoire d'un homme, un archange sans peur,
Dans les batailles cruelles, il s'élève avec ferveur,
Son verbe est son épée, tranchant et précis,
Un guerrier des mots, contre l'injustice il s'élève.

Il marche dans les ténèbres, là où règnent les tyrans,
Sa voix est un éclair, illuminant le néant,
Les puissants tremblent, face à sa rhétorique,
Son verbe est une arme, sa langue est critique.

Dans l'histoire, on trouve des fragments de terre,
Des morceaux brisés, témoins de la guerre,
Mais jamais de pots de fer, rouillés et disparus,
Ils se sont évanouis, en poussière corrompue.

Il se bat avec les mots, son verbe est une épée,
Contre les tyrannies, il ne cesse de lutter,
Les vestiges racontent, la puissance de son langage,
Un archange enragé, dans cette éternelle rage.

Il n'a pas peur des combats, des batailles sans fin,
Chaque mot qu'il prononce, éclate comme un coup de poing,
Les oppresseurs reculent, face à son éclat,
Son esprit est affûté, comme une lame de combat.

Il révèle les vérités, que d'autres veulent cacher,
Avec une plume acérée, il va tout démasquer,
Les histoires d'antan, sont des leçons gravées,
Dans les fragments de terre, la vérité trouvée.

Il se bat avec les mots, son verbe est une épée,
Contre les tyrannies, il ne cesse de lutter,
Les vestiges racontent, la puissance de son langage,
Un archange enragé, dans cette éternelle rage.

Chaque débat est une guerre, chaque discours une bataille,
Il manie les mots, comme un guerrier manie la dague,
Les tyrans de ce monde, ne peuvent l'arrêter,
Car son esprit est libre, son courage acéré.

Les vestiges de l'histoire, des pots de terre éparpillés,
Racontent les exploits, de cet homme déchaîné,
Les pots de fer rouillés, ont disparu sans trace,
Mais son héritage demeure, dans chaque parole qui fracasse.

Il se bat avec les mots, son verbe est une épée,
Contre les tyrannies, il ne cesse de lutter,
Les vestiges racontent, la puissance de son langage,
Un archange enragé, dans cette éternelle rage.

Les puissants peuvent essayer, de le faire taire,
Mais il se relèvera, encore plus fier,
Chaque injustice, chaque mensonge dévoilé,
Par sa voix puissante, ils seront annihilés.

Il est l'archange des mots, le guerrier de la vérité,
Son verbe est son bouclier, sa plume est sa fierté,
Il laisse derrière lui, des fragments de sagesse,
Un héritage éternel, dans cette guerre sans cesse.

Il se bat avec les mots, son verbe est une épée,
Contre les tyrannies, il ne cesse de lutter,
Les vestiges racontent, la puissance de son langage,
Un archange enragé, dans cette éternelle rage.

Yo, c'est l'histoire d'un homme, un archange immortel,
Dans les batailles de mots, il excelle et révèle,
Les fragments de terre, témoignent de sa quête,
Un guerrier de la vérité, dont l'esprit ne faiblit jamais.

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Écoute bien, c'est l'histoire d'un archange de lumière,
Armé d'un glaive puissant, pourfendeur des injustices,
Son armure resplendit, sa beauté intemporelle,
Son aura illumine tout, sa rage est éternelle.

Il descend des cieux, dans un éclat de feu,
Pour affronter les ténèbres, partout où elles se meuvent,
Sa lame est sacrée, tranchant à chaque coup,
Les démons tremblent de peur, devant ce guerrier fou.

Son armure brille, sous la lumière divine,
Chaque reflet raconte, sa beauté sans égale,
Il marche sans hésiter, vers les forces du mal,
Avec une fureur pure, il fait tomber les voiles.

Il se bat avec un glaive, sa justice est sévère,
Contre les ténèbres, il mène la guerre,
Son aura éclaire, sa beauté sans âge,
Un archange enragé, déchaînant sa rage.

Les injustices s'effacent, sous la force de ses coups,
Chaque démon rencontré, finit à genoux,
Sa rage est infinie, sa mission est claire,
Libérer les âmes, des griffes du désespoir.

Il traverse les champs de bataille, un ange invincible,
Son aura éclatante, rend tout mal invisible,
Il est le champion des justes, le cauchemar des tyrans,
Un symbole de lumière, pour chaque être vivant.

Il se bat avec un glaive, sa justice est sévère,
Contre les ténèbres, il mène la guerre,
Son aura éclaire, sa beauté sans âge,
Un archange enragé, déchaînant sa rage.

Il n'a peur de rien, sa force est divine,
Les ténèbres reculent, là où il s'incline,
Chaque coup porté, est une marque de justice,
Les oppresseurs fuient, devant son artifice.

Son armure resplendit, chaque coupure guérit,
Les âmes tourmentées trouvent en lui un répit,
Il est la lumière dans l'ombre, l'éclair dans la nuit,
Un guerrier intemporel, prêt à défendre la vie.

Il se bat avec un glaive, sa justice est sévère,
Contre les ténèbres, il mène la guerre,
Son aura éclaire, sa beauté sans âge,
Un archange enragé, déchaînant sa rage.

Chaque bataille remportée, est une victoire de plus,
Les démons anéantis, les injustices en flux,
Il ne cessera jamais, jusqu'à ce que tout soit pur,
Son glaive est son serment, son cœur est si sûr.

Les légendes chantent son nom, un écho dans les cieux,
Il est l'archange de lumière, le plus beau des dieux,
Les forces du mal savent, qu'elles ne peuvent rivaliser,

Il se bat avec un glaive, sa justice est sévère,
Contre les ténèbres, il mène la guerre,
Son aura éclaire, sa beauté sans âge,
Un archange enragé, déchaînant sa rage.

Yo, c'est l'histoire d'un archange, un guerrier éternel,
Son glaive brille de justice, sa beauté est telle,
Que nul démon ne résiste, à sa fureur sans faille,
Il est la lumière divine, dans cette bataille.

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Yo, c'est l'histoire d'un homme qui lutte pour sa dignité,
Partout les coeurs vides le traitent avec saleté,
Il hurle de rage, son mental est en feu,
Son âme est une furie, qui défie les vieux.

Partout il va, les regards le dévisagent,
Les humains sans âme lui crachent sur le visage,
Mais il ne se courbe pas, il relève la tête,
Avec une rage brûlante, il devient une tempête.

Il est un guerrier solitaire, au cœur de la nuit,
Son cri est un tonnerre, qui déchire les ennuis,
Chaque insulte, chaque coup, nourrit sa furie,
Il se bat pour le respect, la vérité et la vie.

Il hurle en cage, son âme est un jury,
Contre l'obscurité, il mène une guerre sans répit,
Les humains sans cœur, ne peuvent l'arrêter,
Il se bat pour le respect, pour la dignité.

Les ruelles sont sombres, les visages sont gris,
Mais son esprit brille, illuminant chaque nuit,
Il affronte les ténèbres, avec une force intérieure,
Sa furie est son arme, sa rage est son honneur.

Les coups bas, les trahisons, il les connaît bien,
Mais il ne faiblit jamais, il se relève enfin,
Sa détermination est une flamme inextinguible,
Il combat les ombres, sa volonté indestructible.

Il hurle en cage, son âme est un jury,
Contre l'obscurité, il mène une guerre sans répit,
Les humains sans cœur, ne peuvent l'arrêter,
Il se bat pour le respect, pour la dignité.

Son cri résonne dans la nuit, écho de sa douleur,
Mais aussi de sa force, de sa rage intérieure,
Chaque pas qu'il fait, est une déclaration,
Il ne reculera pas, face à l'humiliation.

Les âmes vides le craignent, car il ne cède pas,
Sa furie est leur châtiment, il ne pardonnera pas,
Il est le guerrier de l'ombre, l'ange de la colère,
Son âme éclate de lumière, dans ce monde de fer.

Il hurle en cage, son âme est un jury,
Contre l'obscurité, il mène une guerre sans répit,
Les humains sans cœur, ne peuvent l'arrêter,
Il se bat pour le respect, pour la dignité.

Chaque bataille gagnée, est un pas vers la lumière,
Les humains sans âme, tombent dans la poussière,
Sa furie est sa force, sa rage est son guide,
Il ne cesse de lutter, contre l'injustice avide.

Les cicatrices qu'il porte, sont des marques de bravoure,
Il se battra jusqu'au bout, pour le respect et l'amour,
Sa légende est gravée, dans les murmures de la nuit,
Un homme qui se bat, son âme une furie.

Il hurle en cage, son âme est un jury,
Contre l'obscurité, il mène une guerre sans répit,
Les humains sans cœur, ne peuvent l'arrêter,
Il se bat pour le respect, pour la dignité.

Yo, c'est l'histoire d'un homme, un guerrier de lumière,
Sa rage est son arme, son âme est sa bannière,
Il se bat pour le respect, dans ce monde sans pitié,
Son cri est une furie, éclairant l'obscurité.

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Yo, écoute l'histoire d'un homme, un révélateur des âmes,
Il dévoile le sombre, même sous les flammes,
Il les regarde, leur parle, et ils perdent pieds,
Sous son regard, Dieu les démasque sans pitié.

Il marche parmi nous, un éclat dans ses yeux,
Il voit au-delà des façades, des mensonges pieux,
Chaque mot qu'il prononce, est une vérité brute,
Les âmes se dévoilent, leurs ténèbres absolues.

Les puissants tremblent, leurs secrets exposés,
Sous sa lumière divine, ils sont démasqués,
Les masques tombent, révélant la laideur,
Dieu les pèse et les trouve indignes de son honneur.

Il dévoile les ténèbres, avec un regard perçant,
Les âmes se révèlent, sous son jugement ardent,
Dieu les pèse, les juge et les trouve méprisables,
Au banquet céleste, ils sont inacceptables.

Chaque interaction, une épreuve sacrée,
Les âmes se montrent, leurs péchés démasqués,
Les sourires hypocrites, ne peuvent plus mentir,
Sous son regard intense, les âmes noires s'empirent.

Il est le messager, le juge de la lumière,
Les démons cachés, ne peuvent plus se taire,
Il révèle la corruption, les failles des puissants,
Et sous le regard de Dieu, ils deviennent insignifiants.

Il dévoile les ténèbres, avec un regard perçant,
Les âmes se révèlent, sous son jugement ardent,
Dieu les pèse, les juge et les trouve méprisables,
Au banquet céleste, ils sont inacceptables.

Il est le miroir, où les âmes se reflètent,
Les justes se relèvent, les faux se décomposent,
Chaque parole, une épée de vérité,
Les âmes sont jugées, sans possibilité de fuite.

Les ténèbres en chacun, ne peuvent se cacher,
Sous son regard divin, elles sont exposées,
Les âmes noires s'effondrent, leurs secrets à nu,
Dieu les écarte, leurs âmes impures sont vaincues.

Il dévoile les ténèbres, avec un regard perçant,
Les âmes se révèlent, sous son jugement ardent,
Dieu les pèse, les juge et les trouve méprisables,
Au banquet céleste, ils sont inacceptables.

Les hommes se détournent, craignant sa lumière,
Car sous son regard, leurs péchés s'accélèrent,
Les jugements divins tombent, implacables et justes,
Les âmes sombres s'éloignent, bannies et exclues.

Il continue sa route, révélateur des cœurs,
Les âmes sont pesées, sous l'œil du Créateur,
Les dignes sont accueillis, les faux rejetés,
Il est le gardien de la vérité, l'éclaireur de l'humanité.

Il dévoile les ténèbres, avec un regard perçant,
Les âmes se révèlent, sous son jugement ardent,
Dieu les pèse, les juge et les trouve méprisables,
Au banquet céleste, ils sont inacceptables.

Yo, c'est l'histoire d'un homme, un révélateur divin,
Sous son regard, les âmes se montrent sans fin,
Dieu les juge, les pèse, et les trouve inadéquates,
Au banquet céleste, seules les âmes pures éclatent.

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Yo, c'est l'histoire d'un homme, visionnaire sans faille,
Il voit passé, présent, futur, avec une précision sans égale,
Les excès des âmes mortes, avides et démoniaques,
Il passe, et le tri divin s'effectue sans hésitation.

Il marche parmi nous, les yeux empreints de sagesse,
Il voit les erreurs, les failles, et les promesses,
Le passé dévoile les péchés, les secrets sombres,
Le présent montre l'avidité, les âmes dans l'ombre.

Le futur n'est qu'une toile, tissée de conséquences,
Les âmes démoniaques, plongent dans la décadence,
Sous son regard perçant, le jugement est clair,
La moisson divine commence, triant le rare et le cher.

Il voit passé, présent, futur avec clarté,
Les âmes sont jugées, leur sort est scellé,
La moisson des élus, peu nombreux à rester,
Le reste file en enfer, dans les flammes de l'éternité.

Les âmes avides et sombres, leurs désirs dévoilés,
Ils pensaient échapper, à ce regard acéré,
Leurs envies démoniaques, sont des chaînes pesantes,
Ils sont pesés, jugés, leurs actes indécents.

Chaque regard qu'il porte, est un miroir sacré,
Les excès révélés, les âmes sont exposées,
La moisson divine s'accomplit, sans compromis,
Les élus sont rares, les autres plongent dans la nuit.

Il voit passé, présent, futur avec clarté,
Les âmes sont jugées, leur sort est scellé,
La moisson des élus, peu nombreux à rester,
Le reste file en enfer, dans les flammes de l'éternité.

Le tri divin est impitoyable, juste et précis,
Les âmes se dévoilent, leur nature sans merci,
Les morts avides, leurs cœurs corrompus,
Sous son regard, leurs illusions se dénudent.

Il traverse le temps, avec une vision parfaite,
Chaque péché, chaque vice, il les détecte,
Les élus se lèvent, brillants de pureté,
Les autres chutent, vers leur sombre destinée.

Il voit passé, présent, futur avec clarté,
Les âmes sont jugées, leur sort est scellé,
La moisson des élus, peu nombreux à rester,
Le reste file en enfer, dans les flammes de l'éternité.

Il est le gardien du temps, l'arbitre des âmes,
Chaque excès, chaque péché, il les condamne,
Les élus sont rares, purs et dignes de grâce,
Les autres, en enfer, trouvent leur place.

La moisson divine est stricte, le tri sans pitié,
Les âmes avides et sombres sont écartées,
Il poursuit sa mission, sans jamais faillir,
Visionnaire éternel, il ne peut faiblir.

Il voit passé, présent, futur avec clarté,
Les âmes sont jugées, leur sort est scellé,
La moisson des élus, peu nombreux à rester,
Le reste file en enfer, dans les flammes de l'éternité.

Yo, c'est l'histoire d'un homme, visionnaire divin,
Il voit tout, sans erreur, sans fin,
Le tri est fait, les âmes sont pesées,
Seuls les élus sont sauvés, les autres condamnés.

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Yo, écoute l'histoire d'un homme qui voit clair,
Il regarde la Terre, sans l'humain, elle brille sans frontières,
La nature vivante, épanouie et libre,
L'humain, le rebelle, la tique nuisible.

Il contemple les forêts, les montagnes et les rivières,
Sans l'empreinte humaine, elles sont sans barrières,
Les oiseaux chantent, les animaux courent libres,
La nature renaît, dans un monde sans faiblesses.

Les villes désertées, deviennent des forêts,
Les océans bleus, sans plastique ni déchets,
L'homme était la tique, la brebis galeuse,
Sans lui, la Terre est belle, éclatante et précieuse.

Sans l'humain, la Terre est resplendissante,
La nature renaît, vivante et épanouie,
L'homme, le rebelle, la tique arrogante,
Quand il disparaîtra, la nature sera bénie.

Les déserts fleurissent, les glaciers se reforment,
Les animaux reviennent, là où l'homme déforme,
Les forêts se densifient, sans tronçonneuses en vue,
Chaque coin de nature, retrouve sa vertu.

Les pollutions cessent, les airs redeviennent purs,
Les rivières coulent claires, sans toxines, sans murmures,
L'homme était la plaie, la tique envahissante,
Sa disparition apporte, une renaissance éclatante.

Sans l'humain, la Terre est resplendissante,
La nature renaît, vivante et épanouie,
L'homme, le rebelle, la tique arrogante,
Quand il disparaîtra, la nature sera bénie.

Les forêts tropicales s'étendent sans fin,
Les savanes s'animent, les écosystèmes se joignent,
Chaque espèce retrouve, son habitat sacré,
La Terre respire enfin, libérée et enchantée.

Les coraux se colorent, les poissons prospèrent,
Les chants des baleines, résonnent dans les mers,
L'homme était la tique, la blessure de la Terre,
Sans lui, la planète retrouve son mystère.

Sans l'humain, la Terre est resplendissante,
La nature renaît, vivante et épanouie,
L'homme, le rebelle, la tique arrogante,
Quand il disparaîtra, la nature sera bénie.

Les saisons reprennent, leur cycle éternel,
Les fleurs éclosent, les forêts sont en plein ciel,
La Terre sans l'humain, retrouve son équilibre,
Un paradis retrouvé, un monde indescriptible.

Les rivières chantent, les montagnes résonnent,
La nature s'épanouit, un symphonie sans personne,
L'homme était la tique, la brebis galeuse,
Son absence est le remède, à une Terre majestueuse.

Sans l'humain, la Terre est resplendissante,
La nature renaît, vivante et épanouie,
L'homme, le rebelle, la tique arrogante,
Quand il disparaîtra, la nature sera bénie.

Yo, c'est l'histoire d'un homme, qui voit la vérité,
Sans l'humain, la Terre trouve sa pureté,
La nature renaît, belle et éclatante,
L'homme n'était qu'une tique, nuisible et arrogante.

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Depuis petit j'encaisse, en silence et sans trêve,
Les injustices du monde, les cicatrices se grèvent.
Dans les cours d'école, déjà, les coups volaient bas,
Un gosse trop différent, les autres riaient de moi.

Les poings serrés, j'encaissais, des larmes plein les yeux,
Sans répliquer, je subissais, sous le regard des cieux.
Chaque coup, chaque insulte, forgeaient ma détermination,
Le feu grandissait en moi, alimentant ma rébellion.

Je refuse l'injustice, les mensonges, les infâmes,
Dans ce monde corrompu, je me dresse, je clame.
Ma colère est mon arme, ma rage, ma force,
Je combats pour la vérité, sans remords, sans entorse.

À l'adolescence, la révolte en moi explose,
Je m'inscris aux combats, là où ma rage s'impose.
Arts martiaux clandestins, des arènes souterraines,
Pour vider ma colère, je frappe, je déchaîne.

Les poings contre les visages, les os qui se brisent,
Chaque combat un exutoire, chaque victoire, une remise.
Le sang sur mes phalanges, la sueur sur ma peau,
J'apprends à canaliser, à frapper juste et haut.

Je refuse l'injustice, les mensonges, les infâmes,
Dans ce monde corrompu, je me dresse, je clame.
Ma colère est mon arme, ma rage, ma force,
Je combats pour la vérité, sans remords, sans entorse.

Adulte, ma haine est mûre, ma révolte est totale,
Je combats l'hypocrisie, les âmes corrompues qui déraillent.
Je traque les menteurs, les tricheurs, les faux saints,
Mon âme est une tempête, ma justice, mon écrin.

Je ne tolère plus les abus, les trahisons, les faux-semblants,
Chaque mensonge dévoilé, chaque secret, je mets à cran.
Je suis l'ombre dans la nuit, le juge sans pitié,
Pour chaque victime oubliée, je suis leur vérité.

Je refuse l'injustice, les mensonges, les infâmes,
Dans ce monde corrompu, je me dresse, je clame.
Ma colère est mon arme, ma rage, ma force,
Je combats pour la vérité, sans remords, sans entorse.

Ma vie est une guerre, un combat incessant,
Je refuse de plier, de céder un instant.
Les fausses promesses, les belles paroles, tout est mensonge,
Je vois clair dans leur jeu, je les expose et plonge.

L'humanité me déçoit, mais je reste debout,
Je combats pour la justice, même seul, jusqu'au bout.
Je suis la voix des opprimés, l'écho de leur douleur,
Mon cœur est un volcan, ma colère, leur bonheur.

Je refuse l'injustice, les mensonges, les infâmes,
Dans ce monde corrompu, je me dresse, je clame.
Ma colère est mon arme, ma rage, ma force,
Je combats pour la vérité, sans remords, sans entorse.

Je suis celui qui se lève, qui ne plie jamais,
Un guerrier de la vérité, jusqu'à mon dernier souffle je paierai.
Les cicatrices de mon passé sont mon bouclier,
Face à l'injustice, je ne peux que m'indigner, je ne peux que lutter.

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Depuis l'enfance, une lumière dans mon cœur,
Jésus, mon guide, mon frère, mon sauveur.
Ses paroles résonnent en moi, écho divin,
Chaque mot, chaque geste, un chemin vers la fin.

Dans ses enseignements, j'ai trouvé la paix,
Un amour infini, au-delà des mots parfaits.
Il est mon père céleste, mon frère éternel,
Je suis son disciple, son amour est mon ciel.

Je suis proche du Christ, au-delà de l'entendement,
Son amour me guide, dans chaque moment.
Je vois les mensonges, les dogmes corrompus,
Dans sa vérité, je suis absolu.

Une rencontre mystique, au-delà du réel,
Dans une vision sacrée, il m'a pris sous son aile.
Son regard perçant, sa douceur infinie,
M'a montré la voie, l'amour et l'harmonie.

Jésus, mon refuge, mon ancre en cette vie,
Dans sa lumière, j'ai trouvé mon abri.
Les trames du mensonge, des hommes égarés,
Je les vois clairement, grâce à lui, dévoilées.

Chaque jour, je marche dans sa lumière,
Jésus, mon guide, mon frère, mon repère.
Il m'a appris à aimer, à pardonner,
À voir au-delà des illusions, à discerner.

Les hommes peuvent mentir, les dogmes peuvent tromper,
Mais en Jésus, je trouve la pure vérité.
Son amour est ma force, sa sagesse, mon bouclier,
Contre les ténèbres, il est mon épée.

Je suis proche du Christ, au-delà de l'entendement,
Son amour me guide, dans chaque moment.
Je vois les mensonges, les dogmes corrompus,
Dans sa vérité, je suis absolu.

Je vis pour lui, mon cœur est son temple,
Dans sa grâce infinie, je trouve mon exemple.
Jésus, mon roi, mon maître, mon tout,
Je suis son serviteur, fidèle jusqu'au bout.

Les dogmes des hommes ne peuvent m'atteindre,
Dans son amour pur, je ne fais que m'étendre.
Jésus est ma vérité, ma voie, ma vie,
Son amour est mon guide, mon éternelle harmonie.

Je marche avec le Christ, main dans la main,
Son amour me transcende, me rend souverain.
Les mensonges des hommes, je les vois, je les défie,
Car dans la lumière de Jésus, je trouve ma vraie vie.

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Bodhisattva

Oooooooo Non ! Par pitié, non !

Mmmmmmmmmm

Ils m'appellent bodhisattva, l'écorché vif,
Ils ne voient que les masques de leurs égos restrictifs.
Ils me nomment HPI, HPE sans relâche,
Mais ces étiquettes sur mon âme ne sont qu'une tâche.
Ma lumière brille, au-delà de leurs mots,
Ils tentent de comprendre, mais ne voient pas ce qu’il faut.

Je suis au-delà, de vos définitions,
Au-delà de vos cases, de vos perceptions.
Je suis une lumière, je suis une âme pure,
Vous ne pouvez comprendre, sombres créatures.
Je suis au-delà, de vos étiquettes vaines,
Empathie, compassion, c’est bien tout ce que j'aime.

Oooooooo Non ! Par pitié, non !

Mmmmmm

Ils murmurent des mots pour me cerner,
Mais ils ne voient pas la lumière qui m’a forgé.
Je suis plus que vos cadres, plus que vos cerveaux,
Je ressens tout, mais ne joue pas à vos jeux faux.
La souffrance des autres, je la porte comme un vaisseau,
Mais vos définitions ne sont que des mots trop lourds et sots.

Je suis au-delà, de vos dérisions,
Au-delà de vos phrases, de vos imperfections.
Je suis une lumière, je suis une âme pure,
Vous ne pouvez comprendre, stoppez-là vos morsures.
Rois et Reines, ne vous donnez plus la peine,
Votre misère, votre gêne, n'engendrent que de la haine.

Oooooooo Non ! Par pitié, non !

Mmmmmm

Je marche seul, au milieu de vos lois,
Vos classements me glissent dessus, je ne les vois pas.
Je suis plus qu’une étiquette, plus qu'un simple être humain,
Je suis une force, un phare, une lueur dans le lointain.
Ils veulent me comprendre, mais ils échouent à chaque fois,
Ils ne savent pas lire la pureté de Dieu au fond de moi.

Je suis au-delà, de vos inquisitions,
Au-delà de vos sermons, de vos divisions.
Je suis une lumière, je suis une âme pure,
Vous ne pouvez apprendre, vous êtes une torture.
Vos phrases pathogène sont de sourds acouphènes,
Intoxication endogène, merdogène, vos démences exogènes.

Oooooooo Non ! Par pitié, non !

Mmmmmm

Vous pouvez continuer de parler, de me juger, de m’étiqueter,
Mais jamais vous ne saurez ce que c’est, un esprit indompté.
Mon âme est au-delà de vos frontières décimées,
Je brille dans l'infini, là où vous ne pouvez errer.

Oooooooo Non ! Par pitié, non !

Mmmmmm

Non !

Non !

Non !

Oooooooooo

Mmmmmmm

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Folie des Homo Sapiens, aveuglés par le matériel,
Ils courent après des rêves, des chimères éternelles.
La réalité limitée, par le mental cadenassée,
Ils ne voient que l’illusion, une vie emprisonnée.

Ils ne conçoivent rien, au-delà du visible,
Leur esprit enfermé, dans des cages invisibles.
Ils cherchent l’or, les richesses, le pouvoir,
Ignorant les vraies étoiles, les mystères du savoir.

Folie des hommes, perdus dans le mirage,
Embourbés dans le matériel, sans voir les nuages.
Ils ne voient pas la lumière, ni l'immensité,
Prisonniers de leur esprit, de leur vanité.

Leur monde est petit, limité par les sens,
Ils ne voient pas la vérité, la beauté immense.
Chaque jour, ils s’enfoncent dans des désirs futiles,
Écrasant les rêves, les visions subtiles.

Ils construisent des murs, autour de leur âme,
Ignorant les signes, les espoirs en flammes.
Les Sapiens dansent, sur un fil d'illusion,
Perdus dans la matière, loin de l’évasion.

Folie des hommes, perdus dans le mirage,
Embourbés dans le matériel, sans voir les nuages.
Ils ne voient pas la lumière, ni l'immensité,
Prisonniers de leur esprit, de leur vanité.

Ils cherchent à combler un vide qu’ils ne comprennent pas,
Accumuler des biens, sans se demander pourquoi.
Leur cœur est fermé, à la magie de l’univers,
Ils ne voient que le sol, ignorent l’ampleur du revers.

Chaque pas est lourd, chaque jour est un combat,
Pour des choses éphémères, qu’ils ne garderont pas.
Ils oublient les étoiles, les secrets du cosmos,
Enchaînés à la terre, dans un monde morose.

Folie des hommes, perdus dans le mirage,
Embourbés dans le matériel, sans voir les nuages.
Ils ne voient pas la lumière, ni l'immensité,
Prisonniers de leur esprit, de leur vanité.

Ils pourraient s’élever, voir au-delà du tangible,
Comprendre que l’âme est plus que visible.
Mais ils choisissent l'ombre, les chaînes du mental,
Ignorant l’éveil, dans un monde infernal.

Leur folie les pousse, vers des abîmes profonds,
Oubliant la sagesse, la paix des horizons.
Ils restent enfermés, dans leur prison dorée,
Homo Sapiens fous, dans un rêve brisé.

Folie des hommes, perdus dans le mirage,
Embourbés dans le matériel, sans voir les nuages.
Ils ne voient pas la lumière, ni l'immensité,
Prisonniers de leur esprit, de leur vanité.

Dans cette danse insensée, ils oublient l’essentiel,
Perdus dans la matière, loin de l’étincelle.
Ils pourraient s’élever, briser les chaînes du mental,
Mais choisissent l'illusion, un chemin infernal.

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Il a juré de défendre, l’honneur de son amie,
Contre le frère ignoble, auteur de tant de cris.
Depuis ses onze ans, elle a subi en silence,
Des abus, des douleurs, marquant son existence.

Chaque souvenir, chaque larme versée,
Ravive sa rage, il ne peut pardonner.
Il veut voir justice, pour cet être cruel,
Pour que plus jamais, personne ne vive ce ciel.

Il lutte pour la justice, il veut voir le jour,
Où l’innocence sera sauvée, où triomphera l’amour.
Son cœur est en guerre, pour que la lumière,
Éclaire la vérité, et dissipe les mystères.

Les nuits sont remplies, de souvenirs amers,
Son amie, son soutien, mérite un monde clair.
Mais les cauchemars la hantent, la douleur persiste,
Il se promet de lutter, il résiste, il insiste.

Il voit la justice comme un espoir,
Un moyen de changer, de réécrire l’histoire.
Pour chaque larme, chaque cri étouffé,
Il veut voir ce monstre enfin confronté.

Il lutte pour la justice, il veut voir le jour,
Où l’innocence sera sauvée, où triomphera l’amour.
Son cœur est en guerre, pour que la lumière,
Éclaire la vérité, et dissipe les mystères.

Il imagine le tribunal, où la vérité se lève,
Où les juges écoutent, et les cœurs se relèvent.
Il rêve de justice, de rédemption,
Pour que ce frère change, et comprenne ses actions.

Son amie pleure encore, la nuit dans ses bras,
Chaque cauchemar est une ombre qui ne partira pas.
Il cherche la justice, une fin pour ce mal,
Pour ce frère perdu, pour un avenir égal.

Il lutte pour la justice, il veut voir le jour,
Où l’innocence sera sauvée, où triomphera l’amour.
Son cœur est en guerre, pour que la lumière,
Éclaire la vérité, et dissipe les mystères.

Il sait que sa lutte pourrait être longue,
Mais pour elle, il est prêt, il ne s’effondre pas.
Il voit sa douleur, chaque jour qui passe,
Et dans son cœur brûle, une volonté tenace.

Il cherche une voie, une justice réelle,
Pour réparer les torts, pour un futur fidèle.
Son âme est en guerre, contre l’injustice,
Pour l’amour et la paix, pour un monde propice.v
Il lutte pour la justice, il veut voir le jour,
Où l’innocence sera sauvée, où triomphera l’amour.
Son cœur est en guerre, pour que la lumière,
Éclaire la vérité, et dissipe les mystères.

Dans cette bataille, il trouve sa force,
Pour elle, pour la justice, il persévère.
Il sait que la justice est souvent lente,
Mais son cœur, sa détermination, sont une arme puissante.

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Les belles âmes marchent, dans un monde en flammes,
Cherchant la lumière, au milieu du drame.
Leurs cœurs purs et doux, brillent dans la nuit,
Mais l'injustice frappe, sans aucun répit.

Chaque jour, chaque heure, une épreuve nouvelle,
Pour ces âmes lumineuses, dont la bonté révèle,
La cruauté du monde, l'ombre et la douleur,
Elles avancent pourtant, portées par leur valeur.

Elles subissent en silence, les coups du destin,
Leurs cœurs sont des balises, malgré le chemin.
Belles âmes, courageuses, elles résistent,
Face aux injustices, elles persistent.

Elles donnent sans compter, amour et tendresse,
Mais reçoivent souvent, des échos de détresse.
Leur générosité, vue comme une faiblesse,
Dans ce monde cruel, rempli de tristesse.

Leurs sourires éclatants, cachent des larmes secrètes,
Elles portent le poids, de ce monde en quête.
De justice et de paix, de vérités cachées,
Elles luttent chaque jour, pour ne pas trébucher.

Elles subissent en silence, les coups du destin,
Leurs cœurs sont des balises, malgré le chemin.
Belles âmes, courageuses, elles résistent,
Face aux injustices, elles persistent.

Chaque injustice, chaque mensonge,
Renforce leur foi, dans un monde où tout plonge.
Elles voient la beauté, là où d'autres voient le noir,
Leurs esprits s'élèvent, loin de ce brouillard.

Elles souffrent en silence, leur cœur en prière,
Pour un monde meilleur, une terre plus claire.
Leurs luttes quotidiennes, pour un peu de lumière,
Elles inspirent, elles montrent, un chemin plus clair.

Elles subissent en silence, les coups du destin,
Leurs cœurs sont des balises, malgré le chemin.
Belles âmes, courageuses, elles résistent,
Face aux injustices, elles persistent.

Leurs rêves sont grands, leurs espoirs intacts,
Même quand le monde, semble en plein impact.
Elles voient au-delà, des douleurs présentes,
Cherchant à créer, des futures éclatantes.

Leurs vies sont des chants, de lutte et de foi,
Malgré les injustices, elles gardent l'éclat.
Leurs histoires racontent, la force des cœurs,
Qui battent pour la justice, malgré les douleurs.

Elles subissent en silence, les coups du destin,
Leurs cœurs sont des balises, malgré le chemin.
Belles âmes, courageuses, elles résistent,
Face aux injustices, elles persistent.

Dans ce monde d'injustices, elles sont la lumière,
Des phares dans la nuit, des guides, des prières.
Leurs belles âmes brillent, même dans l'obscurité.

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Je suis née dans une cage, un monde sans lumière,
Éducation erronée, amour en pointillé,
Famille sans cœur, sans âme, sans valeur,
Ils m'ont muselée, enchaînée, torturée sans honneur.

Chaque jour, chaque nuit, c'était la même douleur,
Le poids des chaînes, la peur, la rancœur.
Ils ont détérioré mon esprit, brisé mes ailes,
Mais au fond de moi, une flamme rebelle.

Je me bats pour ma liberté,
Contre ceux qui m'ont opprimée.
Je trouve la force en moi,
Pour briser les chaînes, enfin vivre ma voix.

Leurs mots étaient des armes, leurs actes des prisons,
Ils m'ont enfermée dans un monde sans raison.
Mes rêves étouffés, mon cœur malmené,
Mais je refuse de céder, je veux me libérer.

Je vois leur vrai visage, sans masque, sans fard,
Famille sans âme, ils ont joué leur part.
Dans cette tragédie, où j'étais l'otage,
Mais je cherche la clé, pour sortir de cette cage.

Je me bats pour ma liberté,
Contre ceux qui m'ont opprimée.
Je trouve la force en moi,
Pour briser les chaînes, enfin vivre ma voix.

Chaque cicatrice, chaque larme, chaque cri,
M'a rendue plus forte, m'a appris à survivre ici.
Ils ont tenté de m'éteindre, de tuer l'espoir,
Mais je suis encore debout, prête à croire.

Mon cœur est une forteresse, mon esprit un champ de bataille,
Contre leur cruauté, je me dresse, je me taille.
Un chemin vers la liberté, loin de leur emprise,
Je trace ma route, guidée par ma devise.

Je me bats pour ma liberté,
Contre ceux qui m'ont opprimée.
Je trouve la force en moi,
Pour briser les chaînes, enfin vivre ma voix.

Les années ont passé, mais la douleur reste,
Chaque pas vers la lumière, une victoire, une fête.
Je regarde en arrière, vois les ruines de leur empire,
Mais je marche vers l'avant, sans jamais faiblir.

Je suis une survivante, une guerrière, une âme libre,
Malgré les ombres du passé, je refuse d'être une cible.
Leur pouvoir sur moi est brisé, enfin terminé,
Je suis maîtresse de mon destin, prête à m'élever.

Je me bats pour ma liberté,
Contre ceux qui m'ont opprimée.
Je trouve la force en moi,
Pour briser les chaînes, enfin vivre ma voix.

Aujourd'hui, je respire, je vis, je me tiens droite,
Leur influence s'efface, je suis prête au combat.
Chaque jour est un pas vers la liberté retrouvée,
Je suis moi, je suis forte, enfin libérée.

---

---

Je me suis toujours sentie prisonnière. De trop lourdes chaînes,
Envie d'évoluer, de m'envoler loin de cette peine.
La tristesse m'envahit, le silence devient ma voix,
Quand je devrais parler, m'exprimer, je n'y arrive pas.

Toute ma vie, j'ai été jugée, soupesée sans pitié,
Pas assez d'argent, trop grosse, ils m'ont brisée.
Mes parents ont fait de leur mieux pour m'anéantir,
Mais au fond de moi, un désir de partir.

Mon ange, libère-moi,
De ces chaînes qui m'enferment ici-bas.
Mon ange, prends ma main,
Guide-moi vers un meilleur destin.

Je suis partie en Bretagne, espérant trouver la paix,
À Carcassonne, avec mon ange gardien, j'ai fui ce passé.
Mais les souvenirs, les douleurs, me poursuivent encore,
Je ne vois pas la lumière, l'espoir qui éclaire mon décor.

Le silence est mon refuge, ma prison aussi,
Je veux crier, m'affirmer, mais la peur me trahit.
Chaque jour est une lutte contre moi-même,
Pour briser les chaînes de cette vie qui m'oppresse.

Mon ange, libère-moi,
De ces chaînes qui m'enferment ici-bas.
Mon ange, prends ma main,
Guide-moi vers un meilleur destin.

Les nuits sont longues, peuplées de mes cauchemars,
Je rêve d'une vie où je pourrais aimer mon reflet dans le miroir.
Croire en moi, en mes forces, en mes désirs,
Sortir de cette cage, enfin m'épanouir.

Mais les voix du passé murmurent à mon oreille,
Me rappelant sans cesse que je ne suis qu'une étincelle.
Je veux être une flamme, briller de mille feux,
Mais pour cela, il faut que j'accepte ce chemin heureux.

Mon ange, libère-moi,
De ces chaînes qui m'enferment ici-bas.
Mon ange, prends ma main,
Guide-moi vers un meilleur destin.

Je sens la force en moi, une flamme qui grandit,
Je veux la nourrir, la laisser s'épanouir.
Avec toi, mon ange, je peux affronter la vie,
Ensemble, on peut vaincre, dépasser les défis.

Chaque pas que je fais vers la lumière,
Est une victoire sur cette vie de misère.
Je suis prête à lutter, à trouver ma voix,
Avec toi à mes côtés, je n'ai plus peur du combat.

Mon ange, libère-moi,
De ces chaînes qui m'enferment ici-bas.
Mon ange, prends ma main,
Guide-moi vers un meilleur destin.

Aujourd'hui, je me tiens droite, prête à affronter,
Les démons du passé, les ombres de ma vie brisée.
Avec toi, mon ange, je trouve la force en moi,
Pour briser les chaînes, enfin vivre ma voix.

---

---

Au fond de moi, je suis prisonnière,
D'une tristesse, d'une vie amère.
Pourtant, j'ai un univers incroyable,
Des atouts rares, des dons enviables.

Je m'enferme, solitaire, silencieuse,
Avec des rêves, des pensées précieuses.
Je pousse mon mental, je cherche la voie,
Pour que mon âme explose enfin dans la joie.

Je veux m'envoler, briser les chaînes,
Trouver la lumière, apaiser ma peine.
Déployer mes ailes, toucher le ciel,
Libérer mon cœur, vivre l'essentiel.

Les jours passent, je me sens piégée,
Dans ce labyrinthe de pensées embrouillées.
J'ai des trésors cachés, des forces immenses,
Mais la peur, le doute, me laissent en transe.

Je rêve d'une vie où je pourrais briller,
Mais chaque effort me laisse épuisée.
Je veux croire en moi, en mon potentiel,
Mais les ténèbres me retiennent, cruelles.

Je veux m'envoler, briser les chaînes,
Trouver la lumière, apaiser ma peine.
Déployer mes ailes, toucher le ciel,
Libérer mon cœur, vivre l'essentiel.

Je sens en moi une force qui sommeille,
Une étincelle, un éclat, une merveille.
Je veux la réveiller, la laisser s'épanouir,
Mais les ombres me murmurent de fuir.

Chaque jour, je lutte, je cherche une issue,
Un chemin vers la paix, vers l'inconnu.
Je veux m'élever, transcender les peurs,
Pour enfin goûter à la vraie douceur.

Je veux m'envoler, briser les chaînes,
Trouver la lumière, apaiser ma peine.
Déployer mes ailes, toucher le ciel,
Libérer mon cœur, vivre l'essentiel.

Un jour viendra où je me libérerai,
Mes rêves, mes forces, je les révélerai.
Je serai enfin celle que je dois être,
Libre et sereine, prête à renaître.

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Dans ce monde de fous, où les bons sont en guerre,
Les beaux esprits luttent, combattent les pots de fer.
La patience, la force, le courage en étendard,
Ils se battent contre ceux qui se pensent les dieux, bâtards.

Les dominants, les puissants, ceux qui fulminent,
Croyant qu'ils sont au sommet, qu'ils éliminent.
Mais les beaux esprits tiennent, jamais ne s'inclinent,
C'est leur mission de lumière, ils s'alignent.

Révoltez-vous, beaux esprits, ne laissez pas le mal,
Transformez le plomb en or, dans ce chaos infernal.
L'humanité est en jeu, ne baissez pas les bras,
Combattez l'obscurité, ramenez la joie.

Chaque jour, c'est un combat, une lutte constante,
Face à l'ignorance, aux puissants arrogants, aux folies inconstantes.
Ils pensent nous écraser, nous réduire au silence,
Mais on est là, debout, puissants de résilience.

Ils sèment le chaos, la peur, la discorde,
Mais les beaux esprits transforment chaque mot en accord.
On ne se laisse pas faire, on riposte, on persiste,
On est la voix des justes, des résistants altruistes.

Révoltez-vous, beaux esprits, ne laissez pas le mal,
Transformez le plomb en or, dans ce chaos infernal.
L'humanité est en jeu, ne baissez pas les bras,
Combattez l'obscurité, ramenez la joie.

Ils nous veulent dociles, soumis, sans ambition,
Mais on est là, forts, avec notre vision.
Les beaux esprits avancent, contre vents et marées,
Ils éclairent le chemin, refusent de s'arrêter.

On ne recule pas, on garde la tête haute,
Contre les tyrans, les despotes et leurs bottes.
On est la lumière dans leur obscurité,
On est la vérité dans leur réalité.

Révoltez-vous, beaux esprits, ne laissez pas le mal,
Transformez le plomb en or, dans ce chaos infernal.
L'humanité est en jeu, ne baissez pas les bras,
Combattez l'obscurité, ramenez la joie.

Le destin de l'humanité est entre nos mains,
Les beaux esprits unis, on trace notre chemin.
On lutte, on persévère, on ne laisse rien passer,
C'est ensemble qu'on triomphera, qu'on fera tout changer.

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IYo, écoute l'histoire d'un homme en guerre,
Contre une multinationale, le ciel est son repère,
Des milliers d'âmes derrière lui, prêtes à se battre,
Il va les écraser, les réduire en poussière.

Ils pensent qu'ils sont intouchables, cachés derrière leurs murs,
Mais cet homme est déterminé, il restera pas dans l'ombre,
Avec le feu dans ses yeux, il va les démasquer,
Chaque mensonge, chaque crime, il va tout dévoiler.

Ils jouent avec la vie, pour des profits sans fin,
Mais lui, il porte la voix de tous ces destins,
Des travailleurs épuisés, des familles brisées,
Il est leur champion, prêt à tout exploser.

Il se bat pour la justice, le ciel est à ses côtés,
Les âmes des opprimés, ensemble pour triompher,
Multinationale, tu vas tomber,
Face à l'homme de fer, tu vas succomber.

Il entre dans la cour, déterminé et fort,
Avec des preuves en main, il n'aura aucun remords,
Les avocats tremblent, sentant la défaite,
Cet homme est un lion, prêt à la conquête.

Ils ont des milliards, des moyens illimités,
Mais lui, il a le peuple, une force inégalée,
Les témoignages s'accumulent, la vérité éclate,
Chaque mot, chaque geste, leur empire s'écrase.

Il se bat pour la justice, le ciel est à ses côtés,
Les âmes des opprimés, ensemble pour triompher,
Multinationale, tu vas tomber,
Face à l'homme de fer, tu vas succomber.

Ils croyaient être invincibles, protégés par la loi,
Mais cet homme est une tempête, qu'ils ne peuvent pas ignorer,
Avec le soutien divin, il renverse les géants,
Chaque coup porté, les rapproche du néant.

Le tribunal résonne, des cris de victoire,
Il a écrasé l'injustice, redonné espoir,
Les multinationales tremblent, devant cette puissance,
Ils savent désormais, qu'ils n'ont plus de chance.

Il se bat pour la justice, le ciel est à ses côtés,
Les âmes des opprimés, ensemble pour triompher,
Multinationale, tu vas tomber,
Face à l'homme de fer, tu vas succomber.

Maintenant, il est victorieux, debout sur les ruines,
De cette multinationale, qui croyait tout dominer,
Il a montré au monde, qu'on peut renverser,
Même les plus grands empires, avec la vérité.

Les âmes chantent sa gloire, les cieux applaudissent,
Il est le héros des justes, l'invincible justice,
Les autres entreprises, retiennent leur souffle,
Car elles savent qu'il veille, prêt à mordre la poussière.

Il se bat pour la justice, le ciel est à ses côtés,
Les âmes des opprimés, ensemble pour triompher,
Multinationale, tu vas tomber,
Face à l'homme de fer, tu vas succomber.

Yo, c'est l'histoire d'un homme, qui n'a jamais flanché,
Face à la multinationale, il les a fait tomber,
Avec le ciel et les âmes, il a tout écrasé,
Son nom est gravé, dans la justice sacrée.

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Six ans, dans la rue, pas très loin de ma mère,
Une journée tranquille, en 1976, rien à voir avec l’enfer.
Un sarrasin en fuite, il venait de piller,
La poste en fracas, les sirènes retentissaient.

Il me repère, le petit innocent dans l’coin, sur sa voie,
Poursuivi par deux gendarmes, il n’avait plus de choix.
Il court vers moi, otage en perspective,
Le chaos dans ses yeux, une rage vive.

Mon enfance marquée par ce jour de malheur,
Le sang et la peur, gravés dans mon cœur.
Un gendarme tire, sa cervelle éclate,
Sur mon visage d’enfant, son âme se dilate.

Le temps s’arrête, la scène au ralenti,
Le bruit sourd d’un coup, ma vision obscurcie.
Le mécréant tombe, sa vie s’envole,
Sa cervelle éclatée, sur mon visage s'étalent la fin de ses idoles.

La rue devient rouge, l’horreur en spectacle,
Mon innocence brisée, dans ce combat sans miracle.
Ma mère hurle, court, m’emporte loin de la scène,
Mais les images restent, gravées dans ma peine.

Mon enfance marquée par ce jour de malheur,
Le sang et la peur, gravés dans mon cœur.
Un gendarme tire, sa cervelle éclate,
Sur mon visage d’enfant, son âme se dilate.

J'ai grandi avec ça, ce poids dans ma mémoire,
Chaque nuit, chaque rêve, un cauchemar noir.
La violence, la peur, devenues mon quotidien,
Mais j’ai appris à me battre, à ne pas céder de terrain.

Ce sarrasin, son acte de démon, sa fin justifiable,
M’ont forgé un esprit, une force colossale.
Je ne laisse rien passer, je reste vigilant,
Un guerrier dans l’âme, face aux mécréants.

Mon enfance marquée par ce jour de malheur,
Le sang et la peur, gravés dans mon cœur.
Un gendarme tire, sa cervelle éclate,
Sur mon visage d’enfant, son âme se dilate.

Maintenant adulte, je porte cette cicatrice,
Une marque indélébile, un signe de justice.
L'innocence perdue, la force retrouvée,
Dans ce monde de chaos, je continue à lutter.

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Tous les soirs, je vois mon père sombrer,
Dans l'alcool, il se perd, devient démoniaque.
Il titube, murmure des mots déformés,
Des menaces terrifiantes, un cauchemar en vrac.

"Je te brûlerai la nuit," ses paroles résonnent,
Dans ma tête, le danger, chaque instant.
Pour échapper à l'enfer, je m'abandonne,
Escalade la façade, dors dehors, petit migrant.

Le matin, je rentre, prends mes affaires,
Pour l'école, pour une chance de m'en sortir.
Les profs, aveugles, dans leur tour d'ivoire,
Me jugent, me brisent, sans rien ressentir.

Ils voient un gamin qui s'endort en classe,
Ignorent la nuit passée dans la crasse.
Ils m'orientent, m'estiment, puis me délaissent,
La France éducative, froide, sans tendresse.

Mon cœur fragile, brisé par la douleur,
Cherche la paix dans un monde de terreur.
L'éducation aveugle, insensible à mes pleurs,
Je rêve d'un jour, où je serai vainqueur.

Dans les rues, je cherche un peu de répit,
Mais l'ombre de mon père me poursuit sans cesse.
Les nuits froides, les matins pleins de mépris,
Je lutte, je tiens, malgré la détresse.

Les regards des autres, pleins de jugement,
Ignorent les cicatrices que je porte en moi.
Je me bats, je me relève, constamment,
Pour prouver que je peux, malgré tout, être roi.

Un jour, je trouverai la force de m'élever,
Quitter l'ombre, vers la lumière m'envoler.
L'enfant blessé deviendra fort, déterminé,
Face à l'injustice, je ne cesserai de lutter.

Je rêve d'un monde où je serai libre enfin,
Où la douleur et la peur ne seront plus.
Je construirai ma vie, pierre après pierre, sans frein,
Pour un futur où l'espoir jamais ne se tue.

Mon cœur fragile, brisé par la douleur,
Cherche la paix dans un monde de terreur.
L'éducation aveugle, insensible à mes pleurs,
Je rêve d'un jour, où je serai vainqueur.

L'enfant blessé deviendra fort, déterminé,
Face à l'injustice, je ne cesserai de lutter.
Avec courage, je transformerai ma destinée,
Pour que jamais plus personne ne soit oublié.

---

---

Un matin d'hiver, je suis appelé,
Au chevet de ma grand-mère, là, allongée.
Sa main dans la mienne, froide, figée,
Je la regarde, espérant qu'elle va se réveiller.

Mmmmmmm

Quinze jours avant, dans la réanimation,
Elle avait ouvert les yeux à ma voix.
Maintenant, son silence est une condamnation,
Je réalise que son départ est sans retour, sans choix.

Mmmmmmm

Nous sommes le 16 décembre, jour de douleur,
Ma vie bascule, plongée dans l'horreur.
Sans elle, je dois affronter mes peurs,
Son absence creuse un vide, un grand malheur.

Mmmmmmm

Ma grand-mère, mon pilier, ma lumière,
Je me sens perdu, sans repère.
Je dois vivre sans son amour, sa prière,
Espérant qu'elle veille sur moi, mon caractère.

Mmmmmmm

Grand-mère, protège-moi d'en haut,
Sois fière de moi, guide mon chemin.
Ton amour m'enveloppe, m'illumine,
Dans ce monde sombre, je trouverai ma voie.

Mmmmmmm

Chaque jour sans toi est une bataille,
Je ressens ton absence comme une entaille.
Mais je garde en moi ta sagesse, ton sourire,
Pour affronter la vie, ne jamais fuir.

Mmmmmmm

Ton amour reste en moi, une force vive,
Dans les moments de doute, il m'enivre.
Je te sens près de moi, malgré tout,
Et je continue à avancer, coûte que coûte.

Mmmmmmm

Ma vie a changé, le 16 décembre marqué,
Je porte en moi ton souvenir, ton passé.
Je me bats pour être digne de ton nom,
Chaque jour, je m'efforce de devenir meilleur, avec passion.

Mmmmmmm

Ta mémoire est une étoile qui me guide,
Dans les nuits sombres, elle me précède.
Je sais que de là-haut, tu m'observes,
Et je promets de vivre pour que tu sois fière.

Mmmmmmm

Grand-mère, protège-moi d'en haut,
Sois fière de moi, guide mon chemin.
Ton amour m'enveloppe, m'illumine,
Dans ce monde sombre, je trouverai ma voie.

Mmmmmmm

Le 16 décembre 1986 reste gravé en moi,
Mais ton amour, grand-mère, ne s'éteindra pas.
Je vivrai pour toi, pour nous, chaque jour,
Dans l'espoir de rendre hommage à ton amour.

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Un matin en Grèce, mon beau-père appelle,
Sa voix tremblante, la nouvelle cruelle.
Ma mère est partie, je dois rentrer,
En France, sur Paris, le cœur déchiré.

Je prends le premier vol, laissant la mer derrière,
Retour dans ce pays qui m'a vomi vulgairement.
Affronter les papiers, les formalités de fer,
Stoïque, je fais face, sans fléchir un instant.

Rah !

Ma sœur, mon unique héritage, me pousse à refuser,
Ce peu d'héritage que ma mère a laissé.
À cause d'elle, je jette les affaires de ma mère,
Sur le trottoir, à la décharge, aux ordures amères.

Elle est l'ordure, la seule à blâmer,
Ma mère mérite mieux que ce sort infligé.
Chaque papier signé, chaque bien délaissé,
Je le fais avec respect, malgré la douleur, la vérité.

Rah !

France ingrate, tu m'as vomi, mais je suis là,
Pour ma mère, pour son souvenir, je tiendrai.
Même si ma sœur me trahit, me blesse,
Je resterai stoïque, face à cette détresse.

Les souvenirs de ma mère jetés comme des déchets,
Chaque pièce, chaque objet, un morceau d'elle laissé.
Le cœur lourd, je continue, déterminé,
Pour honorer sa mémoire, tout sacrifier.

Rah !

La douleur est vive, la trahison amère,
Mais je tiens bon, pour elle, ma chère mère.
Dans chaque action, chaque geste, je sens sa présence,
Je lutte contre l'injustice, en silence.

Retourner en Grèce, le cœur encore meurtri,
Mais avec la paix de savoir que j'ai fait ce qui est juste.
Laisser derrière moi les conflits, les cris,
Retrouver la mer, la liberté, loin de la rouille.

Rah !

Ma sœur restera une ombre du passé,
Une trahison, un souvenir amer.
Mais pour ma mère, j'ai tout affronté,
Et je continuerai à vivre, avec elle dans mon cœur.

France ingrate, tu m'as vomi, mais je suis là,
Pour ma mère, pour son souvenir, je tiendrai.
Même si ma sœur me trahit, me blesse,
Je resterai stoïque, face à cette détresse.

Rah !

Ma mère est partie, mais son amour reste en moi,
Chaque jour, je vis pour honorer sa voix.
Malgré les trahisons, les douleurs infligées,
Je reste debout, fort, pour elle, déterminé.

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Mes nièces et mon neveux, enfants de mon sang,
Subissent la torture d'une mère démoniaque, errante.
Ma sœur, démon incarné, malsaine et cruelle,
Les abandonne, les brise, les accuse encore, rebelle.

Ils fuient son ombre, cherchent la lumière,
Des âmes blessées par une mère sans repère.
Elle devrait se repentir, âme fragile et perdue,
Mais continue de cracher sur l'amour, la vertu.

L'enfer ou l'effacement divin, voilà son destin,
Elle a vomi tout l'amour que j'ai donné en vain.
Ses actes ignobles, une trahison insoutenable,
M'ont laissé brisé, dans un monde instable.

Elle m'a trahi, a piétiné ma confiance,
Mais je reste debout, malgré cette souffrance.
Pour mes nièces et mes neveux, je me bats,
Contre ce démon, je ne céderai pas.

Démon familial, tes jours sont comptés,
Je protégerai les miens, rien ne pourra m'arrêter.
L'amour triomphera, même face à la haine,
Je veillerai sur eux, malgré ta chaîne.

Elle a osé trahir, m'a plongé dans l'horreur,
Mais mon cœur reste fort, rempli de fureur.
Chaque larme, chaque cri, chaque nuit sans fin,
Je les transformerai en force, en espoir divin.

Pour mes nièces et mes neveux, je lutte sans relâche,
Pour leur offrir un avenir, loin de cette tâche.
Ils méritent la paix, loin de sa démence,
Je les guiderai vers une nouvelle chance.

Elle ne comprend pas, continue son chemin,
Aveuglée par sa folie, son cœur vil et malsain.
Mais l'amour que j'ai pour eux, est un feu sacré,
Qui brûlera son ombre, fera place à la clarté.

Pour eux, je suis prêt à tout affronter,
À briser ses chaînes, à leur donner la liberté.
Ma sœur, ton règne de terreur prendra fin,
Pour les enfants innocents, un nouveau matin.

Démon familial, tes jours sont comptés,
Je protégerai les miens, rien ne pourra m'arrêter.
L'amour triomphera, même face à la haine,
Je veillerai sur eux, malgré ta chaîne.

Les enfants brisés, je les relèverai,
Avec amour et force, je les sauverai.
Ma sœur, ton ombre ne régnera plus,
Pour eux, je suis la lumière, je les guiderai vers la vertu.

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