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Dans l'enfance, il ouvre les yeux,
Un garçon sensible, cœur en fleur.
Chaque émotion est un feu,
Qui brûle en lui avec ardeur.

Il ressent l'amour dans chaque sourire,
La tristesse dans chaque larme versée.
Chaque injustice le fait frémir,
Chaque injustice le fait trembler.

Oh, enfant de sensibilité,
Tu ressens tout avec intensité.
L'amour, la tristesse, la colère, la rage,
Dans ton cœur, chaque émotion voyage.

À l'adolescence, il grandit,
Ses émotions deviennent des tempêtes.
Chaque battement, un ouragan qui vit,
Dans les profondeurs de son être en fête.

Il aime avec passion dévorante,
Il pleure avec des torrents de douleur.
Chaque injustice le fait hurler, pantelant,
Chaque injustice est un coup de cœur.

Oh, adolescent de sensibilité,
Tu ressens tout avec intensité.
L'amour, la tristesse, la colère, la rage,
Dans ton cœur, chaque émotion voyage.

À l'âge adulte, il porte sa sensibilité,
Comme une armure contre la froide réalité.
Chaque cicatrice est une leçon apprise,
Chaque émotion est une étoile qui brille.

Oh, adulte de sensibilité,
Tu ressens tout avec intensité.
L'amour, la tristesse, la colère, la rage,
Dans ton cœur, chaque émotion voyage.

Quand la vie éclaire son visage,
Il sait que sa sensibilité est son héritage.
Chaque émotion est une part de son être,
Dans ce monde, il vit et espère.

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Un enfant se réveille dans la lumière,
Dans le corps d'un archange, fier et solennel.
Son armure argentée brille de mystère,
Aux inscriptions dorées, un symbole éternel.

À sa droite, ses frères, des guerriers célestes,
Leurs regards brûlent d'une flamme sacrée.
À sa gauche, d'autres anges, une armée en fête,
Prêts à défendre les cieux de toute leur énergie.

Devant, la brume se lève, l'ombre des démons,
Dans la plaine, la bataille, un combat sans concession.
Tous les anges courent vers la lumière,
S'envolent vers la gloire, dans une danse guerrière.

Son épée de feu étincelle à sa ceinture,
Symbole de justice, de force et de vertu.
Il sent la rage monter, une force intérieure,
Pour protéger les innocents, pour combattre l'absolu.

Devant, la brume se lève, l'ombre des démons,
Dans la plaine, la bataille, un combat sans concession.
Tous les anges courent vers la lumière,
S'envolent vers la gloire, dans une danse guerrière.

Dans les cieux, Dieu surveille ses enfants,
Leur amour, leur courage, leur foi infinie.
Dans chaque combat, dans chaque tourment,
Il est leur guide, leur étoile, leur vie.

Devant, la brume se lève, l'ombre des démons,
Dans la plaine, la bataille, un combat sans concession.
Tous les anges courent vers la lumière,
S'envolent vers la gloire, dans une danse guerrière.

Dans la lumière, l'archange porte son fardeau,
Son cœur d'enfant, son âme de héros.
Pour l'éternité, il combattra avec foi,
Dans les cieux, là où règne la loi.

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Dans l'ombre, il erre seul,
Un homme aux dons maudits.
Il lit dans les esprits, un lourd fardeau,
Les souffrances, les désespoirs, les cris.

Chaque pensée est une lame,
Qui transperce son cœur solitaire.
Les murmures, les secrets, les drames,
Lui rappellent sa propre misère.

Oh, homme au don amer,
Qui ressent les peines de l'humanité entière.
Dans les esprits, il trouve un enfer,
Dans chaque regard, une prière.

Il voit la douleur dans chaque sourire,
L'angoisse cachée derrière les rires.
Chaque âme est un livre ouvert,
Où il lit des histoires de détresse, de désert.

Mais il est seul, misanthrope désenchanté,
Rejetant les liens qui le retiennent.
Dans son don, une malédiction est cachée,
Un fardeau lourd, qu'il ne peut feindre.

Oh, homme au don amer,
Qui ressent les peines de l'humanité entière.
Dans les esprits, il trouve un enfer,
Dans chaque regard, une prière.

Sous les étoiles, il cherche un répit,
Un instant de paix dans la tourmente.
Mais les pensées des autres l'envahissent,
Et le laissent seul, face à sa tourmente.

Oh, homme au don amer,
Qui ressent les peines de l'humanité entière.
Dans les esprits, il trouve un enfer,
Dans chaque regard, une prière.

Quand l'aube éclaire son visage sombre,
Il se perd dans les méandres de son don.
Une âme solitaire, un voyage sans nombre,
Dans les esprits, il trouve sa prison.

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Dans la lumière douce du matin,
Un homme sage, visage serein.
Sous les rides, des histoires sans fin,
Il donne son temps, tend la main.

Ses yeux brillent d’une sagesse rare,
Chaque geste, un acte d’amour.
Il partage sans compter, sans égard,
Pour ceux qui cherchent le jour.

Oh, homme de sagesse et de cœur,
Ton altruisme est une fleur.
Tu offres ton temps, ton énergie,
Pour illuminer nos vies.

Il marche lentement, sans hâte,
Chaque pas, une prière discrète.
Il écoute les âmes en peine,
Et trouve les mots pour leurs chaînes.

Les enfants, les vieux, les perdus,
Tous viennent chercher sa lumière.
Il leur donne espoir et vertu,
Son cœur, un trésor de la terre.

Oh, homme de sagesse et de cœur,
Ton altruisme est une fleur.
Tu offres ton temps, ton énergie,
Pour illuminer nos vies.

Sous les étoiles, il s’assoit,
Mécontent de ses propres besoins.
Son bonheur, c’est de voir la joie,
Dans les regards qu’il étreint.

Oh, homme de sagesse et de cœur,
Ton altruisme est une fleur.
Tu offres ton temps, ton énergie,
Pour illuminer nos vies.

Quand l’aube éclaire son visage,
Il sourit, prêt pour un nouveau voyage.
Car chaque jour est une mission,
Pour semer l’amour et la compassion.

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Dans son berceau, il ouvre les yeux,
Un bébé émerveillé, cœur en émoi.
Sur le mur, dansent des lumières, joyeux,
Reflets du soleil dans les voilages de soie.

Il sourit aux étoiles qui brillent,
Aux anges qui veillent sur son sommeil.
Dans ses rêves, des mondes défilent,
Un voyage céleste, un arc-en-ciel.

Oh, bébé de lumière et de rêves,
Dans tes yeux, la trace du ciel se lève.
Les reflets du soleil, les anges dansent,
Dans ton cœur, une magie immense.

Il tend les bras vers les nuages,
Comme s'il voulait les toucher.
Les éclats de lumière, un mirage,
Dans son esprit, un univers enchanté.

Il murmure des mots doux, des chants,
Comme s'il parlait aux étoiles lointaines.
Dans son cœur, un amour vibrant,
Pour les secrets du ciel, pour les sphères divines.

Oh, bébé de lumière et de rêves,
Dans tes yeux, la trace du ciel se lève.
Les reflets du soleil, les anges dansent,
Dans ton cœur, une magie immense.

Sous les étoiles, il sourit en dormant,
Portant en lui l'essence des cieux.
Son innocence, un cadeau du temps,
Dans ses rêves, il se sent heureux.

Oh, bébé de lumière et de rêves,
Dans tes yeux, la trace du ciel se lève.
Les reflets du soleil, les anges dansent,
Dans ton cœur, une magie immense.

Quand l'aube caresse son visage,
Il garde en lui ce doux présage.
Que son lien avec le ciel restera fort,
Dans son cœur, une étoile brille encore.

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Dans la nuit, il ferme les yeux,
Un homme brisé, cœur en deuil.
Sous la lune, il rêve à eux,
Ses enfants partis bien trop tôt.

Chaque nuit, il les retrouve,
Sa fille et son fils chéris.
Ils vivent des aventures douces,
Dans un monde où tout est permis.

Oh, papa, dans tes rêves tu les vois,
Tes enfants, tes étoiles d'autrefois.
Chaque nuit, une nouvelle histoire,
Mais au réveil, ils sont quelque part.

Ils courent dans des champs dorés,
Rient aux éclats, les cœurs légers.
Il les prend dans ses bras aimés,
Là où le temps semble s'arrêter.

Ils explorent des forêts enchantées,
Volent au-dessus des mers argentées.
Chaque instant est un trésor caché,
Un moment de bonheur partagé.

Oh, papa, dans tes rêves tu les vois,
Tes enfants, tes étoiles d'autrefois.
Chaque nuit, une nouvelle histoire,
Mais au réveil, ils sont quelque part.

Sous les étoiles, il pleure en silence,
Leur absence est une douleur immense.
Mais dans ses rêves, ils sont présents,
Ses anges, ses précieux enfants.

Dans la nuit, il ferme les yeux,
Un homme brisé, cœur en deuil.
Sous la lune, il rêve à eux,
Ses enfants partis bien trop tôt.

Chaque nuit, il les retrouve,
Sa fille et son fils chéris.
Ils vivent des aventures douces,
Dans un monde où tout est permis.

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Dans ses rêves, elle apparaît,
Une femme qu'il n’a jamais vue.
Depuis toujours, il sait,
Qu’elle est son âme attendue.

Ses yeux brillent d’un éclat rare,
Un amour pur, intemporel.
Il la cherche, elle est son phare,
Dans ce monde, une étincelle.

Oh, amour mystique et éternel,
Tu sais qu’elle t’attend dans l’au-delà.
Ton âme sœur, l’idéal,
Elle est plus loin, mais elle est là.

Chaque nuit, il la rejoint,
Dans des rêves doux et dorés.
Elle murmure des mots divins,
Des promesses d’un amour sacré.

Il sent sa présence partout,
Dans le vent, les étoiles, les cieux.
Il sait que son amour est fou,
Mais il croit en ce lien précieux.

Oh, amour mystique et éternel,
Tu sais qu’elle t’attend dans l’au-delà.
Ton âme sœur, l’idéal,
Elle est plus loin, mais elle est là.

Sous les étoiles, il prie en silence,
Espérant qu’un jour, elle viendra.
Son cœur bat avec persévérance,
Pour celle qui l'attend là-bas.

Oh, amour mystique et éternel,
Tu sais qu’elle t’attend dans l’au-delà.
Ton âme sœur, l’idéal,
Elle est plus loin, mais elle est là.

Quand l’aube éclaire son visage,
Il sourit, sachant qu’elle existe.
Elle est son ultime mirage,
Son amour platonicien, sa quête puriste.

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Dans les rues pavées de silence,
Un homme errant, visage las.
Sous la lueur d’une étrange danse,
Il voit le monde et son fracas.

Les sourires ont perdu leur éclat,
Les regards sont des miroirs vides.
Chaque jour, un nouvel écart,
Vers un abîme sombre et aride.

Oh, homme brisé par la folie,
Chaque pas, une mélancolie.
Voir le monde se désagréger,
Dans l’indifférence et l’égocentrisme figé.

Il cherche des traces d’humanité,
Dans les ruines de nos vies pressées.
Les cœurs se ferment, les esprits se taisent,
Sous le joug de l’ignorance déguisée.

Des enfants qui ne jouent plus dehors,
Des rêves enterrés sous les écrans.
Il pleure une époque d’or,
Perdue dans l’ombre des géants.

Oh, homme brisé par la folie,
Chaque pas, une mélancolie.
Voir le monde se désagréger,
Dans l’indifférence et l’égocentrisme figé.

Il lève les yeux vers les étoiles,
Cherchant une lueur de salut.
Mais le ciel reste un voile,
D’un noir profond et absolu.

Oh, homme brisé par la folie,
Chaque pas, une mélancolie.
Voir le monde se désagréger,
Dans l’indifférence et l’égocentrisme figé.

Quand l’aube perce l’horizon,
Il se fond dans la grisaille.
Un dernier soupir, une oraison,
Pour un monde en éternel dérail.

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Dans les rues, il marche seul,
Un homme au cœur lourd, désespéré.
Sous le poids du monde cruel,
Il voit l’humanité sombrer.

Ses yeux reflètent la tristesse,
De voir les rêves se briser.
L’égoïsme en maîtresse,
La bêtise qui semble régner.

Oh, homme perdu dans le tumulte,
Chaque jour est une insulte.
À l’espoir, à la bonté,
Dans un monde où tout semble effacé.

Il se souvient des jours de gloire,
Où l’entraide et l’amour régnaient.
Mais aujourd’hui, c’est une histoire,
De solitudes et d’âmes brisées.

Il crie, mais personne n’entend,
Sa voix noyée dans l’indifférence.
Les regards froids et fuyants,
Amplifient son mal et sa souffrance.

Oh, homme perdu dans le tumulte,
Chaque jour est une insulte.
À l’espoir, à la bonté,
Dans un monde où tout semble effacé.

Sous les étoiles, il cherche un sens,
Un rayon d’espoir, une délivrance.
Mais les ténèbres l’entourent,
Et chaque jour, il endure.

Oh, homme perdu dans le tumulte,
Chaque jour est une insulte.
À l’espoir, à la bonté,
Dans un monde où tout semble effacé.

Quand l’aube éclaire son visage,
Il cache ses larmes dans l’ombre.
Car au fond de son cœur sage,
Il sait que l’espoir sombre.

Sous les étoiles, il cherche un sens,
Un rayon d’espoir, une délivrance.
Mais les ténèbres l’entourent,
Et chaque jour, il endure.

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Dans les ombres, il marche seul,
Un archange, un héros.
Sous un ciel sombre et cruel,
Il porte l’armure d’un homme, incognito.

Son épée brille comme l’aube,
Chassant les ténèbres et la peur.
Il lutte pour la lumière,
Contre le mal dans chaque cœur.

Oh, Gabriel, guerrier céleste,
Dans la nuit, tu combats sans cesse.
Pour Dieu, tu incarnes la sagesse,
Contre le mal, tu mènes la promesse.

Les démons tremblent à son approche,
Il est la justice incarnée.
Pour chaque âme perdue et proche,
Il est l’espoir retrouvé.

Il traverse les champs de bataille,
Son regard, un phare dans la nuit.
Pour chaque homme qu’il sauve,
Il ravive la flamme de la vie.

Oh, Gabriel, guerrier céleste,
Dans la nuit, tu combats sans cesse.
Pour Dieu, tu incarnes la sagesse,
Contre le mal, tu mènes la promesse.

Sous les étoiles, il prie en silence,
Cherchant la force dans l’amour.
Chaque victoire est une délivrance,
Chaque jour un nouveau retour.

Oh, Gabriel, guerrier céleste,
Dans la nuit, tu combats sans cesse.
Pour Dieu, tu incarnes la sagesse,
Contre le mal, tu mènes la promesse.

Quand l’aube éclaire son visage,
Il disparaît dans la clarté.
Mais ses actes marquent chaque page,
D’un livre sacré, jamais oublié.

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Dans la nuit, il ferme les yeux,
Un homme rêveur, esprit en feu.
Sous les étoiles, il s'évade,
Créant des mondes, des escapades.

Son imagination, un univers,
Où il peut voler, franchir l’éther.
Chaque pensée, une galaxie,
Un voyage infini, une symphonie.

Oh, rêveur, bâtisseur de mondes,
Dans ta tête, l’infini gronde.
Tu voles au-delà des cieux,
Traversant l'espace merveilleux.

Il dessine des planètes nouvelles,
Des cités d’or, des merveilles.
Dans ses rêves, il est roi,
Maître des astres et des lois.

Il chevauche des comètes ardentes,
Traverse des nébuleuses scintillantes.
Chaque étoile, une nouvelle histoire,
Un univers forgé dans l'espoir.

Oh, rêveur, bâtisseur de mondes,
Dans ta tête, l’infini gronde.
Tu voles au-delà des cieux,
Traversant l'espace merveilleux.

Sous les étoiles, il trouve refuge,
Son esprit, un vaste déluge.
Il crée des royaumes enchantés,
Des mondes où tout peut arriver.

Oh, rêveur, bâtisseur de mondes,
Dans ta tête, l’infini gronde.
Tu voles au-delà des cieux,
Traversant l'espace merveilleux.

Quand l’aube éclaire son visage,
Il revient de ses voyages.
Mais ses rêves restent gravés,
Des univers qu'il peut toujours explorer.

Oh, rêveur, bâtisseur de mondes,
Dans ta tête, l’infini gronde.
Tu voles au-delà des cieux,
Traversant l'espace merveilleux.

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Dans l’ombre, il se tient seul,
Un homme brisé, cœur en larmes.
Sous la lune, il murmure une prière,
À sa mère, perdue dans le vacarme.

Ses yeux, des océans de tristesse,
Cherchent un écho dans la nuit.
Chaque souvenir, une caresse,
Chaque pensée, un cri.

Oh, maman, entends ma voix,
Dans le silence de l’au-delà.
Je t’aime encore, je t’aime fort,
Même si ton absence me dévore.

Il revoit ses sourires passés,
Ses doux mots, ses tendres bras.
Chaque instant qu’il veut garder,
Dans un cœur marqué par le froid.

Il crie à l’infini du ciel,
Espérant un signe, une lumière.
Pour apaiser sa douleur cruelle,
Pour sentir encore sa mère.

Oh, maman, entends ma voix,
Dans le silence de l’au-delà.
Je t’aime encore, je t’aime fort,
Même si ton absence me dévore.

Sous les étoiles, il pleure,
Cherchant la paix dans les souvenirs.
Son amour, un feu qui demeure,
Malgré la nuit, malgré le pire.

Oh, maman, entends ma voix,
Dans le silence de l’au-delà.
Je t’aime encore, je t’aime fort,
Même si ton absence me dévore.

Quand l’aube éclaire son visage,
Il ressent un souffle doux et léger.
Un murmure, une douce image,
De sa mère, veillant à ses côtés.

Oh, maman, entends ma voix,
Dans le silence de l’au-delà.
Je t’aime encore, je t’aime fort,
Même si ton absence me dévore.

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